Conception De Thrasymaque

 le fils d’Aristote et le jeune frère de Platon et d’Adimantes. Il est un des  disciples de Socrate et est présent dans ​ Le Parménide ​ et apparait  également dans ​ La  République​  comme le principale interlocuteur de Socrate. Il est également porte­parole  de Thrasymaque, un autre sophiste. Cet extrait est un monologue de Glaucon. Celui­ci  aimerait démontrer que l’Homme n’est pas naturellement juste mais qu’il se comporte de  manière correcte uniquement par crainte du châtiment. Glaucon n’est pas totalement  d’accord

L1 - Lire La République de Platon M. Gibert Plan de La République de Platon1 Plan général A. Préambule : critiques des opinions reçues sur la justice (Livre I) 1. Introduction : Socrate & Céphale (327a-336b) 2. La thèse de Thrasymaque (336b-354c) 1. 1. La justice est l’intérêt du plus fort (336b-347e) 1. 2. L’injustice est-elle plus profitable que la justice? (347e-354c) B. La justice dans l’État & l’individu (livres II-IV) 1. Introduction : la méthode de Socrate (357a-369b) 2. Genèse et

raisons qu’on peut invoquer pour la justifier. C’est en ceci que cette partie démontrera d’une part les limites de la démocratie et d’autre part, les critiques auxquelles elle fait face. 10 Chapitre I : Les limites liées à la démocratie La conception que nous nous faisons de la démocratie est généralement déterminée par deux attentes à l’égard de ce type de régime. Nous attendons que la démocratie soit le système politique qui associe chacun à la décision publique. Mais nous souhaitons également

cette antinomie : l’une est docile aux rênes, l’autre, la Grecque, brise de ses mains les courroies du char auquel on a voulu les attacher toutes deux. Pour Eschyle et Hérodote les guerres Médiques sont le symbole de cet affrontement entre deux conceptions du monde. À la bataille des Thermopyles la foule barbare avance sous les coups de fouet 4. Le récit de la bataille par Hérodote montre bien, dans l’esprit d’un Grec, la différence avec les Barbares : « Les Lacédémoniens combattirent d'une façon

pas forcément si sa faute avait semblé jusqu’à présent tolérée pas l’autorité à laquelle il est soumis. Toute décision suppose un choix et donc une participation de la volonté qui tranche entre plusieurs possibilités. Il y aurait donc plusieurs conceptions légitimes de ce qui est juste, si l’on doit en décider. La légalité ne doit pas être confondue avec la légitimité. Il se peut qu’une loi soit injuste, il se peut aussi qu’elle soit juste, mais appliquée injustement. Il ne faut surtout pas négliger

Platon veut mettre fin aux autres régimes , sauf l'aristocratie >Quand Platon parle de Aristocratie, il ne parle pas des familles, mais veut un gouvernement des sages, c.e épitocratie ( accès à un savoir perpétuel) E) Débat sur la justice Conception classique: la justice = rendre à chacun ce qui lui revient? Non! Elle consiste en la chose suivante: le respect des hiérarchies sociales et fonctionnelles: chacun remplissant dans la Cité et pour la Cité la fonction qui est sienne -Pour qu'une

sensibles, cela avec une sagesse et dans une perception globales. D'une part, « le philosophe a envie de sagesse, non d'une sagesse et pas d'une autre, mais de la totalité de ce qu'elle est »6. Cadre dramatique Personnages du dialogue Socrate, Thrasymaque, Céphale de Syracuse et son fils Polémarque, Glaucon et Adimante, frères de Platon. Platon fait dire par Socrate qu'« il est l'homme le plus valeureux envers et contre tous »7 Clitophon, homme politique athénien Citations Les Sept contre Thèbes

majeur de ce dialogue est celui de la justice ou : comment organiser la cité ? Le livre est organisé en 10 livres distincts, durant lesquels Platon présente les différents aspects de sa cité idéale, de la place des philosophes dans la cité à la conception de la subjectivité en passant par l’éducation des enfants. Livre 1 de la République : Dans le Livre I, Socrate donne deux définitions distinctes de la justice. La première est fournie par Polémarque, qui suggère que la justice consiste à “faire

conduire les âmes par le truchement de la parole, porte-t-elle sur tous les sujets et s’adresse-t-elle à tous ou bien se limite-t-elle aux procès et aux assemblées politiques ? (« Socrate : La rhétorique ne serait-elle donc pas (…) Phèdre : (…) ou de Thrasymaque ou de Théodore une sorte d’Ulysse. » 261a-c, p.273-274) 2) La rhétorique est l’art du débat contradictoire, c’est-à-dire l’art de faire apparaître les mêmes choses avec des propriétés opposées. (« Socrate : Peut-être. (…) Phèdre : Tout à fait

qui constituent une phase de transition : Gorgias (examen de plusieurs questions éthiques et critique des sophistes), Ménon (discussion sur la nature de la connaissance), Lysis (discussion sur l’amitié) et le premier livre de la République (ou Thrasymaque, discussion sur la justice). 3.3 Dialogues de la deuxième et de la dernière période Les dialogues de la deuxième et de la dernière période de la vie de Platon présentent le propre développement philosophique de Platon. C’est à celui-ci qu’on