Conception Du Bonheur Rousseau

l’autorité s’impose à nous = argument) La morale c’est d’abord faire ce qu’on nous demande de faire c’est Ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie  Devoir moral : suivre les règles prescrites par une autorité. Quelle autorité ? Morale de l’autorité. Idée d’une source supérieure de la morale : Dieu

(Système de la nature, 1770) ses principaux défenseurs. Un nouveau venu, Jean-Jacques Rousseau, fils d'un modeste horloger genevois, incarne le versant démocrate des Lumières. Persuadé que tous les hommes naissent bons et égaux, il exalte l'état de nature et la libre expression des sentiments, réclame la protection des droits naturels de l'homme. Si après 1775 les grands écrivains disparaissent (Voltaire et Rousseau en 1778, Diderot en 1784), c'est le moment de la diffusion maximale, tant géographique

philosophique critique indirectement la société contemporaine de son auteur. Voltaire énonce dans l'utopie Candide ou l'optimisme, à travers les tribulations malheureuses du héros et de ses accolytes Pangloss et Cunégonde, qu'il y a toujours un bonheur à trouver dans le malheur.Candide, héros éponyme du célèbre conte de Voltaire, peut ainsi, d'un chapitre à l'autre, traverser de nombreux pays et autant de situations que l'écrivain veut dénoncer : en quelque trente chapitres, le personnage

nos instincts idée de l’homme totalement libre. On n’est pas seulement lié par notre intelligence vis-à-vis des dogmes, mais on peut également se maitriser et maitriser nos désirs. La modernité sera d’appliquer au droit et à la politique cette conception de l’homme comme un cogi (homme cogito = homme pensant. Etre sujet c’est être soumis ou à l’origine de (ce qui va nous intéresser). A partir de là, la modernité philosophique va se développer, et va se développer une philosophie qui donnera toute

contraire, admettre qu’il favorise, plutôt la liberté du citoyen ? Le pouvoir de l’État est-il facteur de liberté ou d’oppression ? I. L’HOMME HORS DE L’ETAT 1) L’homme considéré à l’état de nature Selon certains théoriciens comme Spinoza ou Rousseau, il existe une liberté élémentaire que l’homme possède à l’état de nature. Il ne fait alors que croître et s’embellir tant qu’il ne rencontre aucune force s’y opposant ; en effet, la nature lui apporte tout ce dont il a besoin, et par ce concept

l’obéissance. Mais psychologiquement, la transgression est prévisible Le mal est inscrit dans la liberté humaine comme possibilité dès qu’elle est pensée comme libre arbitre et placée face à un interdit. La critique spinoziste C’est contre cette conception de la liberté et du mal que s‘élève Spinoza. Pour lui la liberté au sens de libre arbitre n’existe pas : c’est une illusion qui fait prendre l’hésitation avant l’action comme une preuve de notre indétermination fondamentale alors que cette hésitation

Philosophes des lumières, notamment Rousseau et sa théorie du contrat social. Les philosophes des lumières sont intéressant parce qu’ils considèrent que l’individu existe par lui-même en dehors même de tout corps social. Puisque l’individu existe par lui-même, et qu’existant par lui-même il va rechercher pour son propre compte, son propre bonheur. Comment cette recherche du bonheur individuel (épanouissement personnel) va pouvoir se concilier avec la vie en société ? Pour Rousseau, les Hommes naissent naturellement

posséder cette voiture ou cette demeure ». C’est ici qu’apparaît le désir. Cette idée est en fait la recherche du plaisir mais cette recherche enveloppe aussi la douleur. Dans le texte de Schopenhauer, il est expliqué que la satisfaction ou le bonheur ne vient pas seul, qu’il n’y a satisfaction que parce qu’il y a désir en premier lieu. L’auteur explique que le malheur ou la souffrance existe elle aussi grâce au désir, par le manque. Tentons a présent d’expliquer le texte en détail. Dès les premières

Note : 12/20 « L’Etat doit-il s’occuper du bonheur des citoyens ? » Dans Le meilleur des mondes d’Aldous Huxley, l’Etat mondial administre à ses sujets la « Soma » comprimé distribué au travail dont l’ingestion garantit aux personnes le bonheur individuel. Le roman dystopique suggère ainsi que la prise en charge par l’Etat du bonheur des citoyens peut mener à la destruction des consciences individuelles et de leur liberté. Le bonheur est en effet un état subjectif, profondément individuel

Le bonheur Introduction 2 La difficulté à définir le bonheur (Kant) 2 Le bonheur est-il concret ou abstrait ? 3 Le bonheur est-il durable ou éphémère ? 4 I. Bonheur et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier