Conception Du Voyage

« Charles Baudelaire » : L’albatros (1) Charles BAUDELAIRE (1821-1867) L'albatros Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche

L.C Son cheminement, ses origines ? L’influence d’une littérature sur une autre ? L’influence d’un auteur sur un autre ? Développement de la L.C ? La thématologie ? L’imagologie, l’intertextualité ? (voir théories de la littérature, les récits de voyages, les mythes) BIBLIOGRAPHIE A CONSULTER Tout ouvrage parlant de la L.C., de l’influence d’une littérature sur une autre, même en arabe ou en anglais). la littérature générale comparée, Daniel, Henri Pageaux, édit. Armand Colin, Paris 1994. Précis

Les voyages dans l’antiquité. Voyage dans l’Antiquité Conception du voyage chez les anciens  Les Grands voyageurs : Enée Jules César Alexandre le Grand Les Grecs ont la vocation du voyage et de l'aventure, ils y sont contraints. Ceux qui se déplacent sont essentiellement des négociants, qui pourront pratiquer, le commerce au long cours. Dans l'antiquité Les moyens de transports étaient très peu variés, les Grecs se déplaçaient à pied ou par la mer. Le plus souvent ils étaient à pied, ils

(1963). Voici l'extrait de la relation de voyage : http://www.academie-en-ligne.fr/Ressour … nce-01.pdf (aux pages 81 et 82 du livre) Voici ma lecture analytique : Voyageur célèbre pour la qualité de ses récits, Nicolas Bouvier (1929-1998) nous narre un voyage entrepris avec son ami Thierry Vernet, dessinateur. L'usage du monde est un livre empreint de la découverte du monde, et de la découverte de soi : découvrir et se découvrir. Il nous est raconté le voyage des deux compagnons, effectué en Fiat-Topolino

grands salons parisiens, il a bcp verve, brille ds ces salons (sait raconter histoires) voyages : attrait pour orient, parti en Belgique, en France, d’abord en diligence ensuite en train, bateau à vapeur (révolution industrielle) qui lui permettent d’aller plus loin, fascination par capacité de voyager de plus en plus vite. moyens : Gautier jamais riche, trouve des «sponsors», écrit livres et journaux sur voyages (moyen de financement) et profite des invitations. superstition : très superstitieux

question, car il ne peut se fier à ce qu’il a appris. 3. Après avoir voyagé pendant plusieurs années, que conclut Descartes de cette expérience du « Grand livre du monde » ? Il décidera de voyager pour comparer sa culture et son bon sens à d’autre pays, car la conception de l’être humain est différente selon les civilisations. Il découvre qu’il existe plusieurs conceptions différentes, mais toutes les conceptions sont acceptées malgré leur différence. Comme conclusion, Descartes affirme

Les deux pigeons Jean de la Fontaine Les deux axes : Le récit du voyage Deux conceptions opposées Introduction C’est en 1678 que La Fontaine fait paraître son second recueil de Fables, dédié à Mme de Montespan, favorite du roi, dans une nouvelle tentative pour se concilier les faveurs de Louis XIV. Il le fait précéder d’un « Avertissement » dans lequel il explique avoir « cherché d’autres enrichissements » et avoir « étendu davantage les circonstances de ces récits ». Ainsi

« sauvages ». 4. L’état des lieux : Avant le dix-huitième siècle, les grands voyages et récits de ceux-ci, sont à l’origine du mythe du «  bon sauvage ». Dès la fin du quinzième siècle, Christophe Colomb en 1492, Vasco de Gama en 1497, Magellan en 1519, Jacques Cartier en 1534, avaient respectivement traversé les océans, vers l’Amérique, Les Indes, ou le Canada. Leur carnet de voyage nous révèlent l’existence d’autres peuples,d’autres coutumes,d’autres religions,et plus largement

vont plaider pour cette idée. Montesquieu a toujours voulu trouver le gouvernement idéal, comme nous pouvons le constater dans son oeuvre "l'esprit des lois" de 1948. De plus, en tant que grand voyageur, il a effectué de nombreux voyages comme en Perse, où suite à ce voyage, il a effectué une critique de la monarchie absolue dans les "Lettres Persannes". Il a également pu découvrir les différents types de régimes tels que la monarchie, la démocratie, la République ou encore le despostime. Cependant

vers sont souvent des alexandrins. La conception qui oppose les deux mondes (la mer et le navire) transparait dés notre première lecture c’est pourquoi nous nous y intéresserons en premier lieu, puis nous verrons la construction judicieuse du poème et en final nous nous pocherons sur les allégories qui submerges le poème. 1) Deux conceptions du monde qui s’opposent : Lors d’une première lecture, on trouve que l’auteur oppose deux conceptions différentes, pour ne pas dire opposées, du