Concerto pour clarinette de Mozart

on retrouve le piquant par exemple dans Etudes australes (1974). Furent tentés aussi des décloisonnements entre artiste et public. Si Cage regrettait qu’il n’y eût pas eu « assez de réactions du public », même indignées, lors de la création de son Concerto pour piano (1958), c’est que pour lui l’œuvre était autant dans la salle que sur la scène. Cependant, la méfiance envers toute intention personnelle, et la démarche de retrait en général, culminaient déjà dans son célèbre 4’33’’ (1952), pièce silencieuse

strictement subjectif (certains préfère le sucré d'autres le salé) un point c'est tout. En revanche la beauté est plus objective, en effet les beautés sont universels on apprécie encore aujourd'hui les statuts grecs, les masques africains, la musique de Mozart. Alors que nos sociétés n'ont plus rien a voir avec les époques qui on crée ces œuvres. Certes on pourrait objecter que tout le monde n'apprécie pas ces choses, mais, peut être que c'est simplement parce que le goût de ces personnes n'a pas été formés

théâtre musical » p. 269 B) Allez-hop : un récit mimique de Calvino et Luciano Berio p. 273 Les scénarios d’Allez-hop, en 1958 et en 1968 p. 277 La puce comme élément générateur p. 281 Les chansons d’Allez-hop p. 282 C) D) E) La Zaide de Mozart et le texte de Calvino pour Adam Pollock (19791981) p. 285 La solution proposée par Calvino à l’histoire de la Zaide p. 287 La Vera Storia, une action musicale d’Italo Calvino et Luciano Berio (1977-1982) p. 294 Analyse du livret de La Vera

Cool! RotorOrgan Demo Cool! Galaxy Electric Piano Demo ModernHarp & Sweet Soprano Demo Hallelujah Chorus Ave Maria Nocturne op.9-2 For Elise Maple Leaf Rag Jeanie with the Light Brown Hair Amazing Grace Mona Lisa (Jay Livingston and Ray Evans) Piano Concerto No.21 2nd mov. Scarborough Fair Old Folks at Home Ac Ballad (Against All Odds: Collins 0007403) Ep Ballad Boogie Woogie Rock Piano Salsa Country Piano Gospel R&B Medium Swing Jazz Waltz Medium Bossa SlowRock (Can’t Help Falling In Love: George David

particulier – 63 – ceux de Mozart pour qui il professait une prédilection passionnée. Il avait coutume de dire en riant : « Pour les allegros, je ne dis pas ; mais dans les mouvements lents, je vaux Rubinstein. » Il disait cela d’un ton si bonhomme qu’on ne pouvait y voir vanterie ; et en vérité je ne crois pas que ni Rubinstein, dont je me souviens à merveille, ni qui que ce fût au monde, pût jouer la fantaisie en ut mineur de Mozart, par exemple, ou tel largo d’un concerto de Beethoven, avec une plus

gradins et l’orchestre que forment les jeunes musiciens s’installe : les uns au piano ou à un orgue électrique, d’autres devant une batterie, d’autres s’assoient sur une chaise, tenant dans les mains un saxophone, une trompette, une guitare, une clarinette... Les partitions des morceaux de jazz qu’ils vont exécuter et travailler sont disposés sur les pupitres. « Un, deux, un deux, trois » et les premières notes retentissent dans l’auditorium. C’est merveilleux de voir des élèves de notre âge jouer