Concerto pour clarinette de Mozart

descriptive marquée par le goût de l’époque pour l’Orient : Sur un marché persan fait entendre l’arrivée d’une caravane de chameaux, les cris de la populace sur la place du marché, l’approche d’une princesse (symbolisée par un thème langoureux à la clarinette, au violoncelle, puis à tout l’orchestre), les jongleurs et charmeurs de serpents, l’irruption du calife sur la place du marché, le retour au calme… Reprises. Sur un marché persan a été repris en 1970 par Joe Dassin dans L’Amérique. En 1977

rugby fumantes et violentes, l’outrance et l’excès encore dans des 3ème mi- temps de légende avec adversaires et partenaires volant d’un lieu de plaisir à un autre. Tout aussi heureux le lendemain écoutant avec les mêmes un délice de concerto de clarinette de Mozart. C’est la même personne, le même être vivant, le même animal assoiffé de connaissances et peut être de reconnaissance, s’inquiétant du trou dans la couche d’ozone et amoureux de vitesse et de puissantes automobiles dans le même mouvement

(1835-1921) : On compare souvent, et à juste titre, la précocité de Camille Saint-Saens à celle de Mozart. A 2 ans et demi, cet enfant prodige apprend déjà le piano, et à peine plus tard, à 3 ans, il improvise de petites mélodies sur son instrument. A 5 ans, il maîtrise parfaitement la technique du piano et compose sa première pièce. C'est à l'âge de 11 ans qu'il joue en public un concerto pour piano de Mozart, départ d'une carrière de concertiste qu'il n'a jamais interrompue jusqu'à sa mort en 1921. Après

Mozart Biographie Wolfgang Amadeus Mozart (né à Salzbourg, , le 27 janvier 17561 – mort à Vienne le 5 décembre 17911) est généralement considéré comme l’un des plus grands compositeurs de la musique classique européenne. Bien que mort à trente-cinq ans, il laisse une œuvre importante (626 œuvres sont répertoriées dans le Catalogue Köchel) qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît

'''Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) ''Les Lettres de Mozart,'' Trad. Henri de Curzon, Genève-Paris, Minerva, 1986. '''[À sa femme] Samedi soir, dix heures et demie. [8 et 9 octobre 1791] [Certains critiques datent cette lettre des 5 et 6 novembre, ce qui en modifie la portée et la rend encore plus pathétique.] Bonne petite femme chérie, C'est avec la plus grande satisfaction, le plus vif sentiment de joie, que j'ai trouvé ta lettre, en rentrant de l'opéra. Bien que le samedi soit

s’intéressant vraiment qu’à un nombre limité d’entre elles, principalement les dernières. La symphonie est le vrai genre en vogue durant la période 1750-1800 : on estime le nombre de symphonies écrites durant cette période à environ... 15 000 ! Haydn et Mozart n’ont donc composé qu’un pour cent de cette production gigantesque. C’est avec la symphonie que naît la salle de concert, et un type d’organisation bien spécifique : les différents mouvements, ayant chacun une fonction bien précise, contrastent les

induira une accentuation originale, articulant l’œuvre d’une manière toute particulière. 4) Deux familles instrumentales sont utilisées. Les instruments à vent avec prédominance des cuivres et présence de deux instruments de la famille des bois (clarinette en mi bémol, flûte traversière). Les instruments à percussion (métaux, bois, peaux). Deux instruments inhabituels : le tambour à corde (lion’s roar) et la sirène. Notons cependant que l’ensemble des percussions associe instruments originaux et instruments

monumental, le grandiloquent, le symbolisme. Au même moment, les salles de spectacle se multiplient, augmentant la taille de l'auditoire. Parallèlement, les orchestres deviennent de plus en plus importants, la qualité des instruments s'améliore (cuivres, clarinette, piano). Cette nouvelle conception musicale inaugure une ère qui sera celle de la suprématie allemande. Poètes et musiciens nous livrent les amertumes, le tragique de leur existence, ou bien leurs sentiments intimes en présence d'un être aimé, d'une

Les compositeurs développent l’harmonie (chromatismes, altérations), la mélodie (qui peint les sentiments), le rythme (superposition de triolets… et apprécient les timbres instrumentaux proches de la nature comme ceux de la flûte, du cor ou de la clarinette. I. Les débuts du romantisme Autant le XVIIIème siècle voyait la musique comme une imitation de la nature, autant la génération suivante la hausse au rang de langage absolu, d’art. Les romantiques donnent aussi la priorité à l’instrument

thème présente d’abord l’allure d’une valse triste au rythme syncopé, exposée aux cordes, puis peu à peu amplifiée à tout l’orchestre. Parvenu à son point de tension maximal, il est arrêté par l’entrée du second thème, aérien. D’abord exposé à la clarinette, ce dernier est varié selon des combinaisons particulièrement raffinées des bois. Mais le cli- mat s’assombrit bientôt pour finalement faire resurgir l’angoissante sonnerie du début qui, allant crescendo, aboutit à un formidable fortissimo.