Concierge Appro

- Avant l’entrée de sa mère dans l’asile, ils habitaient ensemble. Maintenant il vit seul parce que sa mère est morte ; - Il est un employé et il appartient à une classe sociale moyenne ( « vos salaires sont modestes ») • Le concierge : il essaye d’avoir un dialogue avec Meursault mais il ne repond pas. • Le directeur : il cherche à le consoler et à l’aider comme si Meursault était son fils : il organise l’enterrement de la femme. Le dialogue qu’il a avec Meursault peut-

des moments clés de l’intrigue. Un jour d’avril à Oran, Oran est une ville commune dans laquelle ne vivent que des personnes quotidiennes qui ne donnent aucun sens à leur vie. en Algérie, le docteur Rieux découvre un rat mort sur son palier. Le concierge de l’immeuble du docteur Rieux tombe malade, et, malgré les soins du médecin, il meurt d’une maladie mystérieuse. la population s’organise pour faire face au fléau, qui de jour en jour prend des proportions monstrueuses. Grand, un employé de mairie

>>Ses phrases sont simple et structuré sens superflu. A la fin du deuxième chapitre et début du troisième <<Le lendemain du 30 avril, une brise déjà tiède soufflait dans le ciel bleuet humide. >>ce passage est consacré a la mort du concierge .L’intérêt de sa chronique dans les dates, la description de la maladie, des gens et de la ville. Dans ces lignes il décrit sont ambiance ,son atmosphère . Cela se rapproche de se ue fait Tarrou . rieux fait une forme de description lyrique avec

infirmière. (§9) Le concierge arrive qui lui propose d’ouvrir le cercueil, mais Meursault n’y tient pas. L’infirmière quitte la pièce et le concierge s’assied derrière Meursault. (§10) Meursault et le concierge veillent ensemble. Ce dernier répond volontiers aux questions posées par Meursault et précise qu’il est en fonction depuis cinq années. (§11) Parisien et âgé de soixante-quatre ans. (§12) Il est arrivé dans l’asile comme indigent, puis s’est proposé pour occuper le poste de concierge. Meursault se

candidats qui ne peuvent pas obtenir un permis de conduire en raison d'une déficience comme l'épilepsie. La propriétaire d'un immeuble locatif informe son concierge qu'elle refuse de louer des logements aux marocains. Une personne d'origine marocaine se présente, ayant vu l'annonce d'un appartement à louer, et le concierge lui dit qu'il n'y a pas de logements disponibles, bien que ce ne soit pas vrai.

indication est le métier du mari, écrivain. Il publie un livre révélant les déboires des hommes influents de Paris dont M. Duveyrier (le second propriétaire) ce qui ajoute encore à la haine que les locataires portent à cette famille. M. Gourd, le concierge, dit à son sujet : « Des horreurs ! continua-t-il, d'une voix écœurée. C'est plein de cochonneries sur les gens comme il faut. [...] Et, vous voyez, ça roule carrosse, ça vend leurs ordures au poids de l'or ! ». C'est le reflet de ce que Zola a subi6

Ce livre raconte une histoire se déroulant en avril 194. à Oran, une ville “fermée” qui “tourne le dos à la mer”. Première partie Oran, un jour d’avril 194 , le docteur Rieux découvre le cadavre d’un rat sur son palier. Le concierge, monsieur Michel, pense que ce sont des mauvais plaisantins qui s’amusent à mettre ces cadavres de rats dans son immeuble. A midi, Rieux accompagne à la gare son épouse qui, malade, part se soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse

William Rodriguez un survivant des explosions du World Trade Center : Il était le concierge de l’une des tours, il avait le passe, le bâtiment était en feu, il est resté avec les pompiers, les a emmenés vers le sommet. Il a aidé des centaines de gens à sortir, puis il est revenu et le bâtiment s’est effondré sur lui et il est le dernier civil à avoir été retiré des décombres. Ce n’est pas là que le courage s’arrête. C’est là qu’il commence. William Rodriguez a été reçu à la Maison Blanche,

gamin ne peut imaginer que son père est non seulement parti, mais qu’il l’a aussi bel et bien abandonné. Dès les premières images du film, on comprend que le jeune garçon est à la recherche de son vélo. On le voit appeler encore et encore le concierge de l’ancien appartement de son père, sans perdre espoir ou du moins sans perdre sa détermination naïve sans borne si propre à l’enfance. En allant sur les lieux, il est évident que Cyril commence à comprendre que son père est parti sans le prévenir

que sa mère vivait heureuse dans son établissement .Meursault n’avait pas a se reprocher de l’y avoir laissé il y a déjà trois ans. Il fut emmené dans la salle où se trouvait le corps de sa maman. Une salle « très claire, blanchie a la chaux » Le concierge, un vieil homme d’une soixantaine d’année et d’un accueil sympathique lui propose de regarder une dernière fois le visage de sa mère .Meursault répondit par un nom. Il refuse de voir sa mère, attitude qu’il n’arrive pas a justifié lui-même .Ensuite