Concile de Jérusalem

"L'appel de Clermont d'Urbain II dans le récit de Robert le Moine" L’extrait que nous étudions ouvre le récit de Robert le Moine, abbé de Saint-Rémi de Reims qui assista au concile de Clermont en 1095, et accompagna la première croisade en Palestine. Ce récit nous est parvenu par le recueil des historiens des croisades intitulé Gesta Dei per Francos établi en 1611 (par le savant critique (et calviniste) Jacques Bongars). L’appel de Clermont, est considéré comme le point de départ des croisades

Le Concile de Clermont (1095) A la fin du Xème siècle, l’Europe perd son unité politique à la suite du démembrement de l’empire de Charlemagne. Néanmoins elle trouve une unité religieuse, la plupart des peuples se convertissant à l’Evangile. Fort de cet engouement, le pape Urbain II (successeur de Grégoire VII, il est sacré le 12 mars 1088 et meurt en 1099) décide de réunir un concile à Clermont en 1095. Un concile est une assemblée d’évêque généralement constituée pour statuer sur

croisade remonte à 1095 mais ce terme n’apparaît qu'au VIIIè siècle, jusque là, on parlait de voyage à Jérusalem ou de pèlerinage Quelles sont les causes et les conséquences de la première croisade ? D'abord nous verrons l'origine de la croisade et le discours de Clermont, puis nous étudierons les motivations de la première croisade et pour terminer le pèlerinage en Terre Sainte Le concile de Clermont termine son discours par le fameux appel aux armes d'Urbain II qui connaît un succès retentissant

Teutonique, ou Ordre des Chevaliers Teutoniques de l'Hôpital Sainte-Marie de Jérusalem, trouve son origine dans un hôpital installé à Saint-Jean d'Acre, par des bourgeois de Brême et de Lübeck. En 1198, ce qui n'était alors qu'une confrérie hospitalière, s'organise en un véritable Ordre pour les chevaliers allemands de Palestine, dont la vocation est de combiner le règlement hospitalier des Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem (futur Ordre de Malte) avec les obligations militaires des Chevaliers de

Cette première croisade débuta donc en 1096 et dura 3 ans : les plus grandes batailles ont eu lieu à Constantinople, Antioche, Edesse, et Jérusalem. Cette croisade aboutit à la prise de la ville entière de Jérusalem en 1099. Sur les 25 000 templiers présents, on compta seulement 3 000 survivants. Une fois la ville prise, Godefroy De Bouillon fût désigné Roi de Jérusalem. Il refusa ne voulant pas porter une couronne d’or là où le Christ porta une couronne d’épine, et forma de son coté l’Ordre des Chanoines

Etat en terre d’Israël. (Sion = Jérusalem). 1917 : déclaration Balfour, ministre des affaires étrangères britannique se déclare en faveur de la création d’un foyer national juif en Palestine, encouragement fort au sionisme. 1942-1945 : mise en œuvre de la Shoah c’est-à-dire la destruction des juifs d’Europe, 5,5 millions selon Raoul HILBERG (historien allemand). 1948 : création de l’Etat d’Israël. Premier chef Ben Gourion et capitale Tel-Aviv (ville moderne, Jérusalem ville de la tradition). 1961 :

appelés les Templiers. Cet ordre fut créé le 22 janvier 1129[1] à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers

grégorienne, le conflit entre Boniface VIII et Philippe le Bel, le concile de Trente et enfin le pontificat de Léon XIII. Basílique Saint-Pierre de RomeSommaire[masquer] 1 L'Église embryonnaire du premier siècle 1.1 L'Église Primitive des catholiques 1.1.1 L'essaimage de l'Église dans le monde romain 1.1.2 Les premières communautés chrétiennes 1.2 Le Christianisme ancien des historiens 2 Le développement de l'Église jusqu'au concile de Nicée (100-325) 2.1 La progression géographique du christianisme

Bernard de Clairvaux ; ce sont également des expéditions militaires qui visent à délivrer Jérusalem des Turcs seldjoucides (musulmans comme les Arabes abassides, mais refusant contrairement à ceux-ci les pèlerinages chrétiens). Il faut remarquer qu'un souverain pouvait mener sa propre croisade, comme le fit Frédéric Barberousse. La vision traditionnelle identifie l'époque des croisades à la période 1095-1291, du concile de Clermont à la prise de Saint-Jean-d'Acre, et se limite aux expéditions qui ont eu

tous des juifs. Pour eux, Jésus et les événements de sa vie, de sa mort et de sa résurrection accomplissaient les promesses et les annonces faites dans les Écritures Saintes (Nouveau Testament). Ils allaient toujours à la synagogue et au Temple de Jérusalem. Ils ne pouvaient pas rompre avec les juifs mais les convaincre que le Messie était venu. Ils attendaient le retour du Christ avec joie et considéraient cela comme un événement libérateur du mal et la nouvelle création du monde.Les premiers chrétiens