Concile plébéien

d’intermariage entre personnes). Exigence morale interdiction d’union incestueuse. Conditions relatives au statut juridique de la cité. Périgrains «  étrangers » doivent obtenir concessions. Conditions sociales, pas de mariage entre patricien et plébéien. Le mariage doit répondre a des exigences de droit. I) Les aspects socio-religieux Le mariage a des aspects socio-religieux, culte de l’ancêtre (gence) la femme va quitter le culte de sa famille et rejoindre celui de la famille de l’époux

fondamentale s'est opérée au 16ème siècle avec la séparation en: catholiques (catholique signifiant « universel » en grec, terme utilisé en fait dès le concile de Constantinople (381), dans la "règle de foi": « Nous croyons l'Eglise une, sainte, catholique »), protestants. L’Eglise catholique a réuni en 1545, un concile à Trente, dit concile de la Contre-Réforme, en réaction à la réforme protestante, au cours duquel est née la "Réforme catholique". Au 18ème siècle, l'Eglise a eu de gros problèmes

Nazareth dans le langage courant. Il est considéré par les Chrétiens comme le Messie et le Fils unique de Dieu. Il tient des rôles divers dans plusieurs courants chrétiens aux croyances diverses. Les Catholiques, les Orthodoxes des Églises des sept conciles le célèbrent comme étant à la fois vrai homme et vrai Dieu, deuxième personne d’une Trinité. Les Églises protestantes européennes le confessent de même, tout en reconnaissant la liberté de conscience à leurs fidèles ; elles présentent donc des conceptions

verdadeiro cristianismo das superstiçoes e das misturas de crenças. Mesmo se os conflitos a preposito de crença em Cristo eram numerosos, a definiçao de uma dotrina e de um culto catolico dou cada vez mais força a fé crista no Occidente. Varios conciles reuniram as elites ecclesiasticas e politicas em fim de definir a verdadeira fé em Cristo. O primeiro foi o de Nicée em 325. Pela primeiro vez o poder politico entrou na discussao de questoes religiosas que eram daqui em diante primordiales para

économique, sociale, intellectuelle… Une datation flexible… De la chute de l’Empire Romain d’Occident en 476, à la chute de Constantinople en 1453 ou à la fin du XV° avec les grandes découvertes. Du point de vue religieux : de 476 à la Réforme ou au concile de Trente (1545-1563). Période non unie, âge intermédiaire, construction tardive des humanistes italiens (Pétrarque). Débat sur le rapport de la raison et de la foi, grandes inventions (imprimerie…), grands penseurs (Abélard, saint Thomas…)

Histoire médiévale : Canons du 2e concile du Latran (8 Avril 1139) 1er concile du Latran : 1123 Introduction : Nature et auteur : Nous avons là 7 (alors qu’en tout il y en a 30) canons du concile œcuménique du Latran qui a eu lieu le 8 Avril 1139 sous la présidence d’Innocent II. Il s'y trouva environ mille prélats, tant patriarches qu'archevêques et évêques qui y étaient venus de toutes les parties du monde chrétien. Durant ce concile qui regroupe une assemblées de tous les évêques appartenant

Commentaire de texte : Ordonnance de Louis VII (1155), établissant la paix pour 10 ans dans tout le royaume. Ce texte est un extrait de l’Ordonnance du roi Louis VII (fils de Louis VI), écrite suite au concile de Soissons le 10 Juin 1155. De par sa nature, ce texte établissant une loi, a vocation à s’étendre à l’ensemble du royaume. Louis VII, dit Le jeune, bien qu’élevé pour être plutôt moine ou clerc, devient roi en 1137, en héritant de la part de son père, d’un royaume presque

de Dieu, est un ministre de Dieu chargé de le servir en vue du bien de ses sujets. Le roi doit gouverner pour le bien de ses sujets et doit répondre à Dieu de la manière dont il gouverne. Dans le domaine ecclésiastique, c’est lui qui convoque les conciles ou tout au moins qui en permet la tenue, il légifère en matière ecclésiastique, nomme les évêques et mêmes les excommunie. L’apport du royaume wisigothique est extrêmement intéressante pour observer l’évolution de la conception du pouvoir en Occident

tribunal de l’évêque est défini par les conciles des IVe-Ve siècles. Jusqu’au milieu du XIIe siècle, les évêques jugent en « chapitre », « église », « conciles » ou « synode ». Lors de ces assemblées, il peut être question de conflits portant sur les limites des diocèses, d’affaires disciplinaires susceptibles d’impliquer la déposition d’un évêque ou d’un abbé, de l’occupation jugée illégitime d’un siège épiscopal, etc. Exemple : en 796, à l’occasion du concile de Tours, Joseph du Mans est jugé pour

Malte. Un concile est une assemblée d'évêques de l'Église catholique (romaine ou non) ou orthodoxe. Il manifeste une dimension essentielle de toute Église chrétienne : la synodalité ou organisation hiérarchique du corps en vertu de laquelle les prélats chargés du gouvernement de chaque portion de l'Église (évêques) sont susceptibles de se réunir pour prendre ensemble des décisions qui engagent la foi et la discipline de tous sous l'autorité d'un primat. les conciles généraux ou œcuméniques