Conclusion Alena

personnes, des marchandises et des services entre les États membres. (Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, France, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays Bas, Portugal, Royaume-Uni) Outre atlantique, né l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), en vigueur depuis le 1er janvier 1994, qui a permis de créer la plus vaste zone de libre-échange au monde, de stimuler la croissance économique et de hausser le niveau de vie de la population des trois pays membres (Canada, Etats-unis, Mexique )

régionaux pour profiter de relations de proximité : la régionalisation « démonstration, illustration » ( dynamisation des avantages de la progression des échanges par la coopération et la suppression des obstacles entre pays géographiquement proches (UE, ALENA) II La stratégie des FMN accentue le volume des échanges « argument» • augmentation des IDE dans le cadre de la mondialisation « démonstration, illustration » ( double volonté à travers ces investissements : celle d’accroître leur marché

États-Unis sont en effet la première puissance économique mondiale. Les États-Unis font partie de la Triade, ils réalisent 13% du commerce mondial et représentent 25,7 % du PIB mondial. Plusieurs traités de libre échange et de coopération économique (ALENA, APEC…) favorisent leurs échanges commerciaux avec le reste du monde. Les États-Unis sont aussi une grande puissance financière avec les plus grandes bourses mondiales sur leur territoire : le NASDAQ (pour les nouvelles technologies), la bourse de

financiers, commerciaux, migratoires notamment clandestins mais ils se défendent et s’organisent : -dans le cadre de la création d’organisations régionales destinées à régionaliser les flux parla construction de grands marchés régionaux (UE, ALENA, MERCOSUR) et à élaborer des coopérations régionales pour lutter contre les flux illicites, les migrations clandestines (espace Schengen), le terrorisme… 3) en rêvent de mettre en place une gouvernance mondiale Au point de vue politique

Cela conduit à renforcer les liens commerciaux avec leurs voisins en développant lescoopérations régionales à l’image de l’Union européenne, de l’Alliance de libre échange nord-américaine (ALENA), du Marché commun du cône Sud (MERCOSUR) ou de l’Associationdes Nations du Sud-est asiatique (ASEAN). En conclusion La mondialisation, en dépit de son nom, ne concerne pas le monde de manière identique et n’est pas acceptée par tous. Elle ne domine pas tout.

revendiquent pour une autre organisation mondiale B) Les regroupements régionaux attisent les concurrences. • Etats acteurs de la régionalisation de l’économie. • Création d’organisations éco régionales (200 Etats) (ex : UE, ALENA, ASEAN, MERCOSUR…)  CONCLUSION : Si la mondialisation n’uniformise pas le monde, elle crée de nouvelles divisions et suscite des oppositions, aujourd’hui existe un souci de fixer des règles afin de rendre le processus plus juste, d’où le succès des thèmes des altermondialistes

mondialisation. -> le poids des Etats dans le fonctionnement des organismes comme le FMI ou surtout l’ONU avec le conseil de sécurité. -D’autre part, ils encadrent et régulent la mondialisation. -> voir la constitution des grands ensembles régionaux (UE, ALENA…) qui permettent aux Etats de mieux gérer l’intensification des flux. 2.2/ Les Etats tirent profit de la mondialisation Les Etats qui hébergent les grandes métropoles où s’organise la mondialisation et où parviennent les profits profitent du phénomène

structurel. -Facteurs sociétaux => hippie (effet pervers de la conso de masse) / aliéna° système Taylorien. Réduite par : -Dispari° bloc soviétique 1991 => libéralisa° échanges mondials => Chine OMC 2001 -3eme révolu° indust. => New pôle éco. / NTIC Conclusion : -Dès 19eme, croissance repose sur développement des échanges internationaux. Royaume Uni importe matières premières de l'ensemble de la planète (colonies) et exporte produits manufacturés. (53% prod. mondiale de fer / 25% exportations mondiales)

part limitée des échanges : 20 % des échanges du mercosur, 10 à 15 % de la communauté andine, 60 % pour l’union européenne et 50 % pour alena. → le régionalisme se développe dès les années 60 : AELE (1960) ; Pacte Andin (1969). Mais c’est depuis les années quatre-vingt le mouvement s’est vraiment intensifié : extension de l’UE, Mercosur et Asean en 1991, Alena en 1992. Aujourd’hui, plus de 200 accords. Cependant, la plupart des accords sont bilatéraux et non pas régionaux. → le régionalisme contre

part limitée des échanges : 20 % des échanges du mercosur, 10 à 15 % de la communauté andine, 60 % pour l’union européenne et 50 % pour alena. → le régionalisme se développe dès les années 60 : AELE (1960) ; Pacte Andin (1969). Mais c’est depuis les années quatre-vingt le mouvement s’est vraiment intensifié : extension de l’UE, Mercosur et Asean en 1991, Alena en 1992. Aujourd’hui, plus de 200 accords. Cependant, la plupart des accords sont bilatéraux et non pas régionaux. → le régionalisme contre