Conclusion De Soleil Couchant

Cette partie comporte trois poèmes, mais ce fut la partie la plus critiquée lors de la publication du recueil. Ces poèmes sont très virulents en particulier les Litanies de Satan. * La Mort : Elle tient en trois poèmes et forme une sorte de conclusion logique puisque c’est le spleen qui gagne. L’oeuvre est publiée en 1857, puis rééditée en 1861. Section « Spleen et Idéal » Les motifs récurrents L’amour, le voyage, la beauté femme et son inaccessibilité, le manque d’inspiration, la dépression

monde (v.22-23). Ce n'est même plus une curiosité archéologique. # Le poète est comme un vieux sphinx qui ne chante plus qu'au soleil couchant (contrairement à la statue de Memnon prés de Louxor; à la suite d'un séisme les vibrations du soleil levants lui vont faire un bruit). C'est un symbole, Baudelaire ne sait plus que dire de la mort et la disparition. Conclusion # Baudelaire en tant qu'homme et poète est victime du spleen: - Pour l'homme, sa mémoire est un cimetière où ne règne que l'ennui

poétiques les plus connues de Victor Hugo :Odes et Ballades : Publié en 1827, il est le recueil des poèmes de la jeunesse du poète parus de 1822 à1827.Les Feuilles d’automne : Un recueil de poèmes publié en 1831. Il regroupe six poèmes appelés « Soleils couchants ».Les Contemplations : C’est un recueil de poésie publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes rassemblés en six livres. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1830

élaboré par l'imagination), "miraculeux" ; -> le verbe "revêtir" (dont le sujet est le vin), renvoie au domaine de l'apparence. Le vin ne transforme pas la réalité, il l'a dissimule. Cependant, ce quintile s'achève sur un signe menaçant "comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux", cette comparaison annonce la nuit, l'obscurité et donc le retour au spleen. L'opium semble rendre toute chose plus grande, plus forte: il y a deux paradoxes qui le montrent et qui accentuent cette idée d'agrandissement

l'architecture est visible; (...) C'est cette décadence qu'on appelle renaissance. Décadence magnifique pourtant, car le vieux génie gothique, ce soleil qui se couche derrière la gigantesque presse de Mayence, pénètre encore quelques temps de ces derniers rayons tout cet entassement hybrique d'arcades latines et de colonnades corinthiennes. C'est ce soleil couchant que nous prenons pour une aurore.[12] La parte finale du chapitre, qui désigne l'œuvre écrite, somme de tous les livres, comme nouveau monument

Dardant leur oeil rouge. Ils méditent. Sans remuer ils se tiendront Jusqu'à l'heure mélancolique Où, poussant le soleil oblique, Les ténèbres s'établiront. Leur attitude au sage enseigne Qu'il faut en ce monde qu'il craigne

plaintif par son chant, comme des accès de chagrin. Atala exprime par son chant la peur de mourir seule, sans sa patri et de ne pas être enterrée avec les siens. Elle parle du Bonheur perdue. « Leurs tombeaux sont dans leur patrie, avec le soleil couchant, les pleurs de leurs amis et les charmes de la religion » (page 52), en nous parlant de ses amis et de sa patrie Atala nous fais comprendre qu’elle à tous perdue en s’exilant et quelle le regrette mais qu’elle ne peut pas faire le chemin inverse

tableau. Les teintes choisies me font penser à celles utilisées pour les vitraux des cathédrales. Ainsi la lumière vient non seulement du soleil couchant mais apparaît également par transparence, comme si le tableau filtrait une source de lumière. Dali n’était pas croyant, pourtant l’approche de la notion d’une force créatrice est omniprésente. Conclusion : L’œuvre de Dali marque une opposition politique par rapport au contexte historique d’une Espagne en guerre contre le FRANCISME. L’amour

se sent plus vivant, il est mort intérieurement et se sent isolé. Enfin il est comme un « vieux sphinx » qui ne chante plus qu’au soleil couchant « ignoré du monde insoucieux  oublié sur la carte », le poète fait référence à une légende égyptienne, il se présente comme un monstre sauvage et cruel et est insignifiant, isolé et oublié du reste du monde. Conclusion   : Baudelaire évoque les thèmes du temps, de la mémoire et de la mélancolie en exprimant le spleen par une accumulation de métaphores

adj finaux) = pathétique. V 8 : attributs antithétiques comparés > soleil « enfer polaire » + cœur poète « rouge et glacé » : B. figure la disparition du soleil estival en reprenant l'idée de mort (enfer) et de froid (polaire) ; la compare à son état d'âme en reprenant l'idée de la colère (rouge) + froid/mal être (glacé) > mélange de sentiments désagréables et douloureux pour le poète, à l'image de ce que devient le soleil à l'arrivée de l'automne. + idée de perte pour son âme avec adv de négation