Conclusion De Soleil Couchant

↪ aide un peu républicains (armes). Italie avec Franco. Brigade Internationale soutien les républicains. Tableau Picasso : « Guernica ». Extrait : Bombardement de Madrid V.1 à 2 : Fin de la journée, pas de soleil couchant. Lumières des bombardements. Impression que le feu est partout. Madrid est vide, tout le monde fuit. Description V.3 à 4 : Description. Ca se passe en novembre V.5 à 7 : Description des flammes avec champ lexical du feu. V.7 à 9 : Champ lexical

passages aux pages 35 et 36). · Le troisième chapitre, les eaux dormantes , nous présente des collines où elle rencontrait des falaises rocheuses et on la voyait qui tournait tout étincelante autour du soleil couchant. Sur l’étendue d’eau, vive, immense, plus loin encore, resplendissait. Déjà le soir y soulevait de grandes colonnes de vapeurs tièdes. (nous pouvons lire ce passage aux pages 73). · Le quatrième chapitre, le montreur

yeux fermés" (v1) ce qui montre que le lecteur a accès à une vision intérieure, l'intériorité du poète. → Il s'agit d'un moment propice apprécié par Baudelaire en raison de l'obscurité "soir" (v1), de la chaleur "chaud" (v1) "chaleureux" (v2), soleil couchant en automne. Une circonstance propice au rêve et à la méditation. → Sensualité provoquée par le moment, c'est le sein de la femme qui en est la source. → Correspondance : Conjonction de subordination "quand" indique la simultanéité entre les

douloureuse condition du poète. Lecture du texte : J'ai longtemps habité sous de vastes portiquesQue les soleils marins teignaient de mille feux,Et que leurs grands piliers, droits et majestueux,Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.Les houles, en roulant les images des cieux,Mêlaient d'une façon solennelle et mystiqueLes tout-puissants accords de leur riche musiqueAux couleurs du couchant reflété par mes yeux.C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes,Au milieu de l'azur, des vagues

regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton oeil le couchant et I'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui fait le héros lâche et

laisse beaucoup de doutes sur la cause et les circonstances réelles du décès. Beaucoup de suspicions planent sur la version officielle à cause notamment de plusieurs éléments : le fait que le ministre soit allé seul à la tombée de la nuit -le Soleil se couchant à 17 h 22 ce jour là- sur un lieu relativement isolé, le fait qu'il n'y ait aucun témoignage parmi les passagers du train -hormis celui du journaliste Oussama Benjelloun qui manque de précision-, qu'aucune autopsie ne fut pratiquée pour déterminer

l'illusion : « un coteau », « un château », « une dame ». L'adverbe « peut-être » renvoie également au rêve au v .15. Registre romantique grâce à l'art de la musique et de la poésie : le soleil couchant, rêverie, mélancolie, paysage flou de la rêverie = cliché poétique → romantisme. Jeu des couleurs. Conclusion Ce poème met en parallèle la musique et le jeu de correspondance entre la perception auditive et visuelle qu'on pourrait rapprocher à d'autres oeuvres tels que Chateaubriand: le chant de

collage Conclusion : - Une seule couleur présente : le mauve ð ≠ du poème romantique - Le paysage participe à l’action « Automne » = saison mentale d’Apollinaire (x3) - A l’analyse, le poème parait discontinu, disparate, alors qu’à l’oral on perçoit une musicalité, une continuité. Au final ð mélancolie qui coule - Nostalgie du bonheur présumé de l’enfance, de l’insouciance - Clichés retournés, renversés ð automne : « Soleil couchant », de Victor

antérieure s’empare d’un thème qui a été déjà développé. Ainsi dans Phèdre, Racine réécrit la pièce d’Euripide qui s’appelait aussi Phèdre, il reprend les mêmes thèmes que lui. Il ne change pas d’évènements. Victor Hugo avait déjà traité dans « soleil couchant » le thème de la fuite du temps, de l’homme victime du destin de la mort. Apollinaire dans Le pont de mirago, le recycle pour faire voir le poids du temps sur l’homme. Réécrire c’est aussi se souvenir des personnages et les modéliser. Kafka dans

Ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Et l'on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton oeil le couchant et I'aurore ; Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui fait le héros lâche et I'enfant