Conclusion Fable Sur Le Renard

fédéré par une triple cohérence : - autour d’un thème, susceptible de concerner et d’intéresser les élèves : le rapport à l’argent. - autour d’un genre, la fable, que les élèves auront abordé avec l’apologue (compris dans l’objet d’étude « Convaincre, persuader et délibérer »), l’intérêt du corpus étant de souligner la fortune moderne de la fable, notamment avec la reprise par Jean Anouilh d’un des poèmes les plus célèbres de La Fontaine. Deux des fables proposées sont en vers (elles sont au demeurant

Fable, la Fontaine : Lecture Analytique 2 : Les animaux malades de la peste Problématique : Qu'es que la fable montre de l'exercice de la justice dans la société ? I. Une fable dans l'exerce de la justice A. De la justice divine à la justice humaine : la figure du bouc émissaire • thème injustice associé au champs lexical du mal, de la maladie et de la mort : v.1,2,3 et 6 'terreur, fureur, crime, guerre'. • v. 1 'mal' est significatif, 2 sens : - la description est faite au v. 4 'la

récit court sous forme allégorique et qui renferme un enseignement/une morale) Court récit en vers ou en prose / histoire fictive où figure souvent des animaux = registre fantastique / moralité qui permet un enseignement général. " Le corps est la fable, l' âme la moralité ." Double but : plaire et instruire. Fables de La fontaine. 12 livres : l' oeuvre de toute une vie. Début écriture en 1665 : 1ère édition en 1668 / Edition postume en 1685. Rôle pédagogique, à destination des enfants

Texte1 : Les animaux malades de la peste de Jean De La Fontaine, Fable VII,1, 1678 1). Distinction des divers actes de la fable. Vers 1 au V. 14 : Présentation de la peste V.15 au V.33 : Le discours du Lion V.34 au V.42 : Le discours du renard V.43 au V.48 : Les autres animaux V.49 au V.54 : La condamnation de l’âne Négation=> ne pas ; ni ; n’ ; nul ; plus ; plus d’ ; plus de La peste apporte une négation de vie, tout les instincts sont anéantis : se nourrir (V.10 ; V.12), l’instinct

ArgumentA) Comment faire une fable ?1. Tout d'abord, décrire le cadre de l'histoire. Premièrement, il est important d'indiquer la saison, le lieu et l'endroit où se passe la fable (souvent dans un château, une forêt ou à la campagne).2. Ensuite, présenter les personnages, souvent des animaux, dotés de la parole et d’un caractère clairement identifié. le problème, les événements. ... et il doit y avoir une problématique, simple à comprendre et a identifier.3. Enfin : une conclusion & une morale.B) Rimes

(1678) Biographie : Jean de la Fontaine est né en Juin 1621 à Château Thierry. Il décédera le 13 Avril 1695. Jean de la Fontaine à donc fait partie du mouvement du classicisme puisqu’il a vécu au 17° siècle. Il était principalement écrivain de Fable, de conte et de poème. Le thème principal : La peste est le thème principal qui se dégage le plus du texte. Date de parution : « Les animaux malade de la peste » a était publié en 1678. Vocabulaire : Chimérique : illusoire

s’accuse. Néanmoins, le seul qui sera reconnut coupable est celui qui aura fait preuve de la moins grande faute. Comment cette fable, au contexte simplifié et aux apparences enfantines, permet-elle de délivrer un message fort sur les injustices de la société ? Tout d’abord nous étudierons la mécanique de la fable, puis la manière d’illustrer la justice injuste. I) Comment la Fable est elle écrite a) Le bestiaire typique qui va du plus fort au plus faible Ici, la pyramide sociale est respectée, chaque

maitresse du roi. 1. Le côté plaisant La Fontaine nous communique ses idées par le biais de nombreux animaux. Cette fable est un bestiaire. Les animaux ont chacun un symbole propre : L’ours symbolise la maladresse. Le Lion, l’autorité, la puissance, la violence ; il représente le roi Louis XIV. Le Singe est un courtisan flatteur. Il est obséquieux (= politesse excessive). Le Renard représente l’intelligent et le dissimulateur. Ses animaux représentent des courtisans de la cour de Louis XIV. Ils

se situe avant l’oeuvre. L’auteur s’appuie sur Esope, sur ses connaissances sur le genre de l’apologue dans l’antiquité Gréco-latine pour promouvoir la fable, un genre qu’il revisite à sa façon et qu’il remet au goût du jour. Il s’agit de faire l’éloge de l’apologue (qui est particulièrement adapté aux enfants), d’en démontrer les bienfaits. La fable permet de s’accoutumer de bonne heure à la sagesse et à la vertu, mais également de faire passer un message sur un mode plus imagé et plus approprié (« ces

LF n'adapte pas ici une fable d' ésope, son modèle grec habituel, mais reprend une tradition médiévale; on trouve en effet une histoire semblable dans les apologues de Haudent en 1547: la confession de l'asne, du renard et du loup. Après un tableau sombre des ravages de la peste v1a14, LF donne la parole au lion qui propose, pour apaiser la colère du ciel, que chacun confesse ses fautes pour que le plus coupable soit puni v15-24 et donne lui-même l'exemple v25-33. Le renard v34a48 excuse les fautes