Conclusion Héros Romantique

premiers romantiques 3.2.1. le « mal du siècle » 3.2.2. une inspiration nostalgique 3.2.3. la compléxité du « moi » 3.2.4. les romanciers du « moi » 3.2.5. François René de Chateaubriand 3.2.6. Les premiers écrits romantiques en France 3.3. la poésie romantique 3.3.1. A l’écoute du moi souffrant 3.3.2. Des réponses au mal de vivre ? 3.3.3. Le poète et le monde 3.3.4. Alphonse de Lamartine 3.3.5. Alfred de Musset 3.3.6. Autres recueils poétiques romantiques 3.4. le drame romantique 3

et souffre du vide que produit en lui la mort de sa femme. Ses colères violentes rythment le roman, comme lorsqu’il brise le violon de Marin Marais, ou lorsqu’il refuse avec véhémence de jouer à la cour de Roi. Cette complexité en fait un véritable héros lyrique, mélancolique mais tout de même épris de la vie, et surtout de sa passion, la viole. C’est cette passion qui, à l’instar d’Orphée avec sa poésie, ramènera, en quelque sorte, sa femme à la vie, mais seulement à mi-chemin, comme dans le mythe

le spectateur. Cette définition regroupe donc les formes les plus comiques (farce, commedia dell’arte) et les plus fines (comédie romantique, comédie absurde, comédie grinçante, etc.). L'origine de la tragédie se situe dans les rites sacrificiels grecs destinés aux Dieux. Même aujourd'hui cette notion de "sacrifice" reste fondamentale dans ce genre théâtral. Le héros est en but à un système si solide qu'il n'a aucune chance de le renverser. L'ennemi est rarement représenté par un homme car il pourrait

désigne la narratrice, les lectrices mais aussi la princesse. Le " on " est impersonnel. Ensuite la situation s'inverse car c'est le duc qui regarde la princesse. Enfin, on a le regard de la foule pour faire écho. II - La présence du destin a) des héros complémentaires  Ce récit met en parallèle deux portraits et montre qu'ils sont faits l'un pour l'autre. b) l'événement La scène a lieu lors d'un bal royal. Il s'agit des fiançailles de la fille du roi au Louvre. Le duc suivi de nombreux nobles fait

restauration –> Côté réactionnaire, nostalgique, romantique (exotisme) Peu de reconnaissance dans le milieu culturel et intellectuel Contraste : importance de son œuvre romanesque et peu de reconnaissance -> auteur populaire Reconnaissance dans 2nd moitié du XIXème siècle : maître du roman réalisme à sa mort Pleine période du romantisme, il apparaît comme un romantique fourvoyé Le Lys dans la vallée : roman d’amour d’inspiration romantique Romantisme de ses romans dépassé : vœux de peindre

l’évolution des mœurs de son pays par exemple. Il voit Horace et Andromaque, et apprend ce que sont les trois unités, ce que sont les bienséances ; il voit Hernani, drame de Victor Hugo, et mesure l'écart qu'il y a d’une tragédie classique à un drame romantique, plein d'action et de passion ; il voit enfin Anéantis, pièce contemporaine de Sarah Kane, et perçoit la violence de notre société qui accepte de voir sur scène des hommes se torturer, se mutiler, se tuer. Le spectateur de théâtre peut aussi découvrir

le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à s’interroger sur l’ « effectivité » du phénomène décrit : rêve ou réalité ? Et au-delà de cette simple question, l’errance est-elle due à une « réelle » altération des sens (explication rationnelle) ou à une illusion forcée, voire surnaturelle (domaine de l’irréel) ? Ou encore la force obscure qui pousse le héros au-delà

le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à s’interroger sur l’ « effectivité » du phénomène décrit : rêve ou réalité ? Et au-delà de cette simple question, l’errance est-elle due à une « réelle » altération des sens (explication rationnelle) ou à une illusion forcée, voire surnaturelle (domaine de l’irréel) ? Ou encore la force obscure qui pousse le héros au-delà

la critique moderne à assimiler classicisme et respect des règles. L'écriture classique se veut fondée sur la raison. On y a parfois vu l'influence du rationalisme de Descartes mais il s'agit plutôt d'un intérêt pour la lucidité et l'analyse. Les héros et héroïnes classiques ne sont en général pas rationnels mais leurs passions, souvent violentes, sont analysées par l'écriture qui les rend intelligibles5. Le classicisme est donc davantage influencé par une volonté de soumettre le déraisonnable à

d'esprit et donc demande l'aide de Cyrano pour faire la cour à Roxane grâce à des lettres en vers : « Christian : il me faudrait de l'éloquence ! Cyrano : Je t'en prête ! Toi, du charme physique et vainqueur, prête-m'en : et faisons à nous deux un héros de roman ! ». Cyrano, ensuite, prend la voix de Christian et, dans la pénombre, cite des vers à Roxane, qui est séduite et lui avoue qu'elle l'aime. « Cyrano, parlant à mi-voix, comme Christian ». Cyrano, est pris de plaisir et écrit chaque