Conclusion Ias 16

lyonnais, notamment la famille Gadagne) Coût d’une opération ordinaire de crédit : 8 à 12% Crédits accordés à la couronne : jusqu’à 20% 1543 : François 1er confie au Cardinal de Tournon la négociation d’un important emprunt, qui accepte un taux de 16 %, par volonté de maintenir les banquiers italiens à Lyon, du fait de la concurrence d’Anvers et Amsterdam. Besoins royaux de plus en plus pressants (campagnes militaires, candidature du roi à la couronne du saint empire Germanique, fastes de la cour

un réseau de magasins en propre sous le label « Home & Cook » afin de compléter son dispositif commercial dans les zones peu ou non couvertes par les circuits modernes ou traditionnels. Il s’engage en parallèle dans le e-commerce, en plein essor ; * 16 en mars 2011 (Imusa et Umco) avec l’acquisition d’Imusa en Colombie. 8 DOCUMENT DE RÉFÉRENCE ET RAPPORT FINANCIER ANNUEL 2010 GROUPE SEB poursuivant son expansion internationale unique, tant dans les pays matures que dans les marchés émergents,

- le titre hybride peut être considéré comme des capitaux propres, dans ce cas les intérêts viennent en diminution des capitaux propres à l’image des dividendes versés par l’entreprise Le traitement de ces instruments est défini dans la norme IAS 32, AG6 du référentiel IFRS, il est clairement défini qu’un instrument perpétuel versant des intérêts doit être considéré comme un passif financier : « Les instruments d’emprunt «perpétuels» (tels que les obligations «perpétuelles» et les effets

Committee, depuis la réforme de 2001). Les normes de l’IASB (connues sous l’appellation International Financial Reporting Standards : IFRS (pour les normes publiées à partir du 1er avril 2001, celles publiées avant cette date conservent l'appellation IAS ) n’ont aucune force de loi ; cet organisme ne dispose d’aucun pouvoir de contrainte pour faire adopter ses normes. Toutefois, les accords conclus en 1995 et 2000 entre l’organisation internationale des commissions de valeurs mobilières (IOSCO) et l’IASB

risque ......................................... 35 4. Conclusion ..................................................................................... 61 Chapitre 2. Le déroulement de la crise et ses effets ................................ 63 1. Le déroulement de la crise ............................................................ 65 2. Les effets à moyen terme ............................................................... 83 3. Conclusion ......................................................

Sommaire PARTIE 4 CHAPITRE 12 CHAPITRE 13 CHAPITRE 14 L’investissement et le financement Les projets d’investissement Les modalités de financement Le choix d’une structure de financement 313 315 359 422 PARTIE 5 CHAPITRE 15 CHAPITRE 16 La trésorerie La gestionde trésorerie de groupe La gestion des risques financiers 459 461 501 PARTIE 6 CHAPITRE 17 CHAPITRE 18 CHAPITRE 19 CHAPITRE 20 CHAPITRE 21 Ingénierie financière La politique de dividende La gestion de la

finance et de la comptabilité N°11 N°12 N°13 N°14 N°15 – – – – – Analyste crédit Analyste financier Gérant de portefeuille Opérateur de marché Responsable du middle office p. p. p. p. p. 67 71 75 79 83 Conseil N°16 – Auditeur externe N°17 – Conseiller en fusion-acquisition N°18 – Expert-comptable p. 89 p. 93 p. 97 POUR ALLER PLUS LOIN Associations, fédérations professionnelles Établissements de formation Publications Sites Internet p. p. p.

.................................................................... Les outils utilisés pendant la mission ................................................................................................................................... 13 14 16 16 28 36 36 39 53 53 58 Chapitre 2 Les audits de la GRH ........................................................................................................................................................................... 1. Les audits de la

Caisse d’Epargne 7.2 Les Consommateur Français face à la crise, qu’attendent-ils de leurs Banques ? 7.2.1 : Les Banques 100% en lignes, répondent-elles à de nouveaux besoins ? 7.3 Une Banque Frileuse : Une prise de décision compartimentée Conclusion Introduction  L’imprudence des banques dans leur recherche de rentabilité a parfois conduit à des crises importantes. Dans ce contexte est survenue une perte de confiance de la part des investisseurs et des clients, liée à la stratégie des

............................................................................................................ 32 4.9 NOUVELLES OPPORTUNITES ................................................................................................... 33 V- CONCLUSION .......................................................................................................................... 35 Page 2 www.cdvm.gov.ma Introduction Le système financier international est passé par plusieurs mutations profondes