Conclusion La Bete Humaine

La Bête Humaine de Zola p. 179 à 183 Situer le passage : Le passage se situe juste après que Séverine soit montée dans le train que Jacques conduisait, afin de se rendre à Paris. Arrivée alors à Paris, Séverine rend visite à M. Camy-Lamotte, secrétaire général au ministère, pour s’assurer de sa protection concernant l’affaire Grandmorin. Afin d’y parvenir, Séverine use des ses charmes et séduit Camy-Lamotte. Cependant, ce qu’elle ne sait pas c’est que Camy-Lamotte est déjà convaincu de la culpabilité

l'ai voulu ainsi » Le mimétisme de l'écrivain par rapport au scientisme ambiant est frappant dans cette déclaration liminaire à « but scientifique » l 18. De même, il prive ses personnages d'humanité en usant d'un oxymore audacieux l 6 « brutes humaines » et le souligne encore l 7 à l'aide d'un déictique dénonciateur « ces brutes ». Les tirer vers l'animalité la plus sommaire leur confère une identité de rats de laboratoire susceptibles de toutes les expérimentations, ce que confirme Zola, appliqué

grandes villes prennent des traits humains : On semble entendre des moteurs vivants grâce à des personnifications « vivaient, halètement », les objets deviennent vivants encore grâce à des personnifications « ventre, auteurs, s’inclinant ». On remarque dans ce texte une orientation fantastique. En effet, la ville s'anime, se réveille. Elle passe d'un état mécanique à un état animal. La ville "murmure", "ronronne", "halète", elle émet des bruits animaux et devient une bête. Le trolleybus, avec "son ventre"

houspille pour les corriger (il est plus optimiste sur la nature humaine que son ami) - il refuse les défauts des hommes à l’excès (morale d’Alceste : « Qui veut faire l’ange fait la bête. », Pascal), à la différence de Philinte (morale de Philinte : « La parfaite raison fuit toute extrémité, et veut que l’on soit sage avec sobriété. »). C’est un Misanthrope (l’expression de sa misanthropie est très explicite : « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait »). • Il est ridicule

houspille pour les corriger (il est plus optimiste sur la nature humaine que son ami) - il refuse les défauts des hommes à l’excès (morale d’Alceste : « Qui veut faire l’ange fait la bête. », Pascal), à la différence de Philinte (morale de Philinte : « La parfaite raison fuit toute extrémité, et veut que l’on soit sage avec sobriété. »). C’est un Misanthrope (l’expression de sa misanthropie est très explicite : « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait »). • Il est ridicule : il est toujours

« Son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche » = énumération, accentue l’aspect négatif de la situation. « Une bête de Méduse gaie » allégorie du personnage bouc-émissaire « grand, bien fait, agile, nullement difforme si ce n’est son visage » = adjectifs mélioratifs pour tenter de positiver sur son aspect physique

à rendre le raisonnement plus solide. Bien sûr, trois parties dominent : l’introduction qui permet de situer le lecteur et de piquer sa curiosité, ensuite vient le développement où les principaux arguments sont présentés et appuyés et enfin, la conclusion vient rappeler et renforcer la prise de position. ________________________ Texte 1. Contre la peine de mort (Introduction) Rappelons que la justice a déjà condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, exécutant ainsi plusieurs individus

des titres humains. Pers. ambigus --> véritable personnification du bestiaire. B/ Les parties dialoguées La Fontaine cède la parole aux différents intervenants. Donne la parole au lion au discours indirect libre. Discours direct entre le Lion et le Cerf = scène. de dialogue. Tout discours est une scène. Temps de narration = Temps du récit. Une des morales du récit --> pouvoir de la parole. La Fontaine donne la parole --> personnages --> donne beaucoup de vie au récit. Mots humains utilisés par

toutes les combinaisons possibles et donc le peu de justification de la guerre : si l'on se bat sans raison, l'allié peut facilement devenir un ennemi et vice versa. - L'ironie, présente dans tout le texte, est particulièrement sensible dans la conclusion, introduite par "Le merveilleux" est se terminant par "exterminer son prochain"… Evidemment, il s'agit là d'une antiphrase. - Le paradoxe : quand l'auteur affirme que les puissances qui se battent ont un même point de vue, il les met en réalité

veillées, devant le feu. Le conte se différencie de la fable, qui a une conclusion moralisante, de la parabole, qui est une métaphore développée,  des légendes, qui ont un fondement historique déformé et des mythes, qui racontent une histoire unique et originaire, un événement prodigieux, terrifiant, au début du temps. Au contraire le conte arrive à n’importe qui, vous et moi. Les personnages n’ont pas de nom (la Belle et la Bête, le Chat Botté, le roi, le prince, un pauvre bûcheron...) ou un nom simplement