Conclusion La Parure

Bal, La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette,1678 Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisaient au Louvre. Lorsqu’elle arriva, l’on admira sa beauté et sa parure. Le bal commença ; et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu’un qui entrait et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser ; et, pendant qu’elle cherchait des yeux

qui évalue son personnage, puis, c'est Ménippe lui-même qui s'apprécie par rapport aux autres. Dans les dernières lignes, La Bruyère nous montre, à l'occasion de rencontres, comment Ménippe juge les autres et est jugé par eux formant ainsi une conclusion, ou plutôt un résumé qui condense le mécanisme d'ensemble qui fait agir le personnage. L'art de La Bruyère vise contradictoirement à l'extrême condensation du sujet et à la variation infinie à partir de ce matériau d'abord très circonscrit. Le texte

mystérieux, comme nous le montre la phrase : « il avait […] un air dans toute sa personne « ; ici, l’emploi du terme indéfinissable « air » donne une dimension mystérieuse, secrète au personnage de M. de Nemours : c’est un peu un prince charmant. Conclusion : Mme de La Fayette, en proposant au lecteur le portrait d’un séducteur, prépare les futures rencontres et les futures intrigues du roman. Elle prépare aussi le terrain pour mettre le lecteur du coté de M. Nemours ; de ce fait, elle nous montre

suite de leur stupidité qui culmine à la simplicité et la platitude. De façon générale, si l’on analyse le comportement des protagonistes dans les nouvelles de Maupassant, on découvre des gens marginaux : Mme Loisel, la personne principale dans « La parure » symbolise plus ou moins une héroïne tragique au sens classique. Elle tâche de payer toutes ses dettes et à la fin, elle y réussit. On rencontre chez le nouvelliste d’autres types : la folle, l’aveugle, le vagabond, le soldat lâche…etc. Maître Hauchecorne

ressentir par les couleurs. Les hommes sont vêtus de couleurs vives, éclatantes. L'Horace du premier plan porte du rouge qui exprime la puissance, le courage ; du blanc, symbole divin et de pureté ; du bleu, sagesse et vertu. Les femmes portent des parures plus ternes qui évoquent leur langueur, leur tristesse et leur incapacité d'action. Elles leur donnent à nouveau une importance moindre. Les couleurs accentuent, en plus des lignes, les différences fondamentales qui existent entre les deux sexes.

ailleurs, il est le premier à fabriquer des outils dans l’os (aiguille, harpon) et il met au point, pour la chasse, le propulseur et la sagaie. L’homme moderne témoigne également de l’essor de la pensée symbolique puisqu’il est à l’origine des parures et des premières manifestations artistiques : art mobilier (statuettes…) et art pariétal (les grottes de Lascaux, de Chauvet et de Cosquer, par ex.). Quant à l’habitat, il témoigne d’une vie sociale de plus en plus développée, avec les traces de

Figaro" est l'événement central de la pièce autour duquel tous les personnages vont agir (on pourrait l’intituler les « noces de Figaro » vu que c’est plus centré sur les noces que sur le mariage proprement dit). Cependant, le mariage n'est que la conclusion de l'histoire. Deuxième titre proposé 2) Autre titre proposé : « La Folle journée » où sont réunis tous les personnages et toutes les situations. Le qualificatif de « Folle » pourrait se qualifier par le désordre des faits survenant en une

insuffisamment théorisées et complètes pour qu'on puisse réellement parler de LA sociologie du corps. Définition du corps : " organisme in situ, en actes, agissant, parlant, appréhendant et modelant son espace, modulant ses gestes ". D'où deux conclusions : Toute pratique sociale est mise en jeu du corps. Cette mise en jeu sociale est simultanément production du corps. Le corps est présent dans le discours de toutes les civilisations. Le monde se dit à travers le corps et le corps

* Eikhenbaum : Métaphore de la flèche ou du projectile qui est parlant. Le dénouement apparaît alors comme un moment fondamental. Elan pour la fin est important. Cela vaut pour la nouvelle à intrigue. Dimension réduite, accent mis sue la conclusion. * Chklovski : nouvelle à chute à fin ouverte. 1914 le groupe d'Étude du Langage Poétique (OPOYAZ). Nuance entre dénouement et l’impression qu’en a le lecteur. Plusieurs nouvellistes confirment la chose. On commence à écrire une nouvelle

Conséquences économique : Tout d’abord, comme vous le savez avant la guerre, Berlin étais un modèle économique de l’Allemagne mais ceci grâce à Berlin-Est. Effectivement, l’ouest, appartenant aux occidentaux, quand à elle n’était qu’une parure, à cause de ses différences par rapport a Berlin est. Les soviétiques eux qui occupent la parti de l’est tente de couper les ravitaillements terrestre réparti en secteur soit anglais, américain et français, et l'Allemagne occidentale.