Conclusion La Parure

feindre d'adorer sans être présent dans l'adoration. Le remède correspondant, c'est que le fidèle s'occupe de préserver ses secrets intimes pour que les lumières de son for intérieur embellissent les actions extérieures. Il sera alors embelli sans parure, respectable sans admirateur, fort sans son clan. C'est la raison pour laquelle le Prophète (B&S sur lui) a dit : « Celui qui corrige sa vie intérieure (sarîra), Allah corrigera sa vie extérieure ('alâniyyatuhu) ». 14°- Une des maladies de l'âme

majesté, de Nemours, de Clèves formules impersonnelles associées au bruit, « il se fit un assez grand bruit » => rencontre dans un cadre public et convenu = bienséance b. Portraits des perso conventionnels Termes mélioratifs « beautéu, parure, air brillant » => peu de detail, regle de bienséance lien entre le verbe danser et arrivé du duc de Nemours, la danse encadre son arrive => « comme elle dansait, elle s’acheva de danser », pas curieuse de son arrivée c. Le discours des

elle en tire les conséquences et si elle retrouve ses dignes priorités. Mais je doute ! Cette femme, très antipathique, n'est ni mère ni épouse. En une centaine de pages, l'auteur a su créer une atmosphère, des personnages, une intrigue et une conclusion, dans une cadence fluide, très active et sans répit pour le lecteur. Un livre que je recommanderai. Irène Némirovky fait partie de ces "phénomènes de librairie" que je voulais lire, sans pour autant commencer par le fameux Suite Française. J'ai

impose la valeur de la lettre solitaire, pure qui cherche à se développer non vers ses sœurs mais vers la métaphore sans fin de sa propre forme individuelle pour devenir un symbole infini. La lettre est un objet heureux, un mixte de femme et de parure, elle est à la fois une forme totale et immédiate qui perdrait son sens si on l’analysait, mais elle est en même temps un combinat analytique de parties dont chacune a déjà un sens, par ce double fonctionnement, Erté interpelle deux niveaux rationnels

francisé. Précédemment dans le roman, il est dit que Brunner a été élevé à la française (chapitre 17, page 114) = addition culturelle. - Culture allemande et française : idée de Cécile à la ligne 19 prend cette « physionomie » c'est-à-dire cette parure, allure et attitude de F.B comme dit le texte, « le superlatif romanesque » à la ligne 20. Périphrase pour désigner F.B comme l’incarnation, le plus haut degré d’un personnage romanesque, son air rêveur, son allure (vu dans la description) apparait

des plus célèbres poètes du XIXème siècle, il à rendu célèbre le poème en prose. Il appartient au genre classique et tente dans ses poèmes de montrer le lien entre le mal et la beauté ou encore le bonheur et l’idéal inaccessible de la vie. En conclusion Baudelaire est un auteur qui à vécu en opposition totale des codes normaux de son époque. Il n’est pas reconnu de son vivant et cela lui procurera une grande tristesse mais il sera ensuite apprécié a sa juste valeur par ses successeurs « le vrai

9 La fidélité à la composition du tableau 9 Lumière & Palette 10 L'érudition lexicale 10 Une véritable transformation : de l'idéalisme à un théâtre de la cruauté 11 Le goût de l'épouvante 11 Le goût du morbide 11 Salomé à la torture 12 Conclusion 13 Bibliographie 14 1 2 Introduction L'idée de ce dossier m'est venue d'un exercice proposé par mes professeurs et qui m'a enchantée : l'analyse comparée d'une sculpture La Comédie Humaine d'Ernest Christophe et d'un poème qui lui rend

répandent. Bien évidemment, les premières influences déterminantes seront les écoles italiennes, sur une durée de deux siècles (à partir du XVIe siècle pour culminer au siècle suivant), pour en dégager les caractéristiques principales et proposer des conclusions sur la distinction entre art religieux et art profane. Lorsque l’on consulte des livres d’art sur les œuvres d’un artiste, prenons le Titien, les références aux tableaux de Vénus, sur la table des illustrations, viennent juste avant celles concernant

l'entendre, et mon ivresse La revoit dans tous les objets. Ce bouquet, dont l'éclat s'efface, Toucha l'albâtre de son sein ; Il se dérangea sous ma main, Et mes lèvres prirent sa place. Ce chapeau, ces rubans, ces fleurs, Qui formoient hier sa parure, De sa flottante chevelure Conservent les douces odeurs. Voici l'inutile baleine Où ses charmes sont en prison. J'aperçois le soulier mignon Que son pied remplira sans peine. Ce lin, ce dernier vêtement... Il a couvert tout ce que j'aime ;

19 3.4 Les modalités/procédés de l'adaptation/réécriture: 20 3.4.1 Étude de la 1ère de couverture et du titre: 20 3.4.2 Suppression 20 3.4.3 Ajout 22 3.4.4 Permanence 23 3.4.5 Reformulation 24 3.4.6 Transformation 24 CONCLUSION 25 Bibliographie 26 Introduction Le conte est le genre littéraire le mieux connu des enfants, celui auquel ils sont le plus exposés dès la petite enfance: ils le connaissent par imprégnation avant même qu'on parle d'acculturation. Dans