Conclusion Libre échange Ou Protectionnisme

entre la politique et l'économie. Entré au parlement britannique en 1819, après avoir acheté un siège de pair représentant de Portarlington, une pairie d'Irlande , Il siège jusqu'en 1823, l'année de sa mort. En tant que député, Ricardo défend le libre-échange et l'abrogation des Corn Laws votés en 1815. L'Economiste[modifier] Ricardo est un autodidacte de la pensée économique. Il correspond en abondance avec Jeremy Bentham, Thomas Malthus et Jean-Baptiste Say, sur des sujets tels que le rôle des propriétaires

au doute sur la pertinence même de la libéralisation multilatérale comme paradigme de croissance. A Cancun, la géographie des peurs opposait : l’agriculture du Nord à la paysannerie du sud ; les industries du sud au géant chinois ; la doctrine libre-échangiste des institutions multilatérales aux attentes concrètes des pays en développement sur le terrain de l’aide. Ce doute est profond et, au-delà de Cancun, pourrait se figer dans une préférence collective pour le statu quo actuel à l’OMC.

franche, zone de libre échange : cadre théorique……………………………………………………………………..3 Section I: généralités sur les zones franches………………………………….3 Section II: généralités sur le libre échange…………………………………...5 Chapitre I : les zones franches……………………………………………….10 Section I: les zones franches au Maroc……………………………………...10 Section II: bilan de la ZFT après dix ans de fonctionnement……………….14 Chapitre II : le libre échange………………………………………………...17 Section I : présentation des accords de libre échange (Maroc-USA)

pauvreté et inégalité, économie extravertie et duale,…) B et des situations spécifiques (tous les PED ne sont pas logés à la même enseigne) II Des explications diverses : A simple retard ou des blocages qui alimentent les difficultés B libre échange et/ou protectionnisme pour mieux maîtriser son ouverture C des facteurs socioculturels (des cultures plus ou moins propices à la croissance, des dirigeants plus ou moins soucieux de sortir leur pays du mal développement,…) . Montrer que les difficultés des

une incertitude sur son évolution : faut-il aller vers un État fédéral, par exemple? I. Du marché commun au marché unique A. Le marché commun Prévu dans le traité de Rome, c’est l’un des objectifs initiaux. Mise en oeuvre d’une zone de libre-échange dès les années 1960 qui portait sur le commerce international de biens et/ou de marchandises. 1968 suppression des droits de douane entre les membres sur les marchandises (mise en oeuvre progressive). À partir des années 1970, l’Europe connaît

déterminants politiques 5 C. Les déterminants économiques 6 D. Les déterminants technique 7 1. Internet 7 2. Développement des transports 8 3. Hausse des capacités de production 8 E. Le phénomène d’agglomération 9 F. Le hasard 9 Conclusion 9 Bibliographie 10 * Introduction Il existe aujourd’hui un nombre important d’entreprises multinationales aussi appelées firmes multinationales, qui rayonnent à travers le monde, portées par la mondialisation et maintenant par la globalisation

pays extérieurs. * Les échanges internationaux * Les relations monétaires internationales I. Les échanges internationaux a. Approches empiriques * Ouverture croissante des économies : caractériser pas des exportations qui augmentent plus vite que la production. Une part de plus en plus importante de la production est consacrée aux exportations. 1958 : 58 milliards 2007 : 13 770 milliards Elle est d’abord lié à une politique de libre échange organisée au niveau mondiale

économique commerciale du monde avec 45 % des exportations mondiales, loin devant les Etats Unis et le Japon. A) Le Marché Unique : * Le principe : Le marché unique est défini comme « un espace sans frontière intérieures » ou est garantie la libre circulation des marchandises, des services, des capitaux, et des personnes des pays membre de l’Union Européenne. * Les conséquences : * Pour les consommateurs : Les consommateurs disposent d’une plus grande diversité de produits et de

un domaine où la mondialisation est particulièrement forte, c’est dans le domaine de la finance. Pour les autres secteurs économiques et social ; il y a certes internationalisation des échange mais pas dans tous les domaines en même temps, ni toute la population. La mondialisation a pour but de pratiquer des échanges entre les nations sur plusieurs domaines, celle-ci permet une interaction forte entre plusieurs pays qui permet à ceux-là de s’enrichir culturellement socialement et économiquement. Dans

gagnants et les importateurs sont des perdants).   LIMITES DU COURANT     Les limites du courant mercantiliste portent autant dans leur conception de la richesse (accumulation des métaux précieux) que dans leur compréhension du commerce extérieur (protectionnisme). L’application de leurs préceptes par la France, l’Angleterre, le Portugal et l’Espagne s’est soldée par un appauvrissement de ces derniers. De plus, le commerce entre les nations n’est plus perçu comme facteur d’enrichissement mutuel, mais comme