Conclusion Raison Croyance

Jospin,ministre de l'éducation nationale saisi le conseil d'état,qui émettera un avis d'assemblée le 27 novembre 1989 en réaffirmant le principe de neutralité concernant les programmes scolaires et du personnel educatif ,mais aussi la liberté de croyance des élèves ,pourvu que le port de signe distinctif soit de nature discrete et n'affecte pas le fonctionnement normal du service public.C'est en ces termes que le ministre de l'education nationale s'exprimaient sur la mission de l'école :"intégrer

Dans les diapositives suivantes, nous préciserons en définissant les termes compris dans cette définition. Discours • Ce qui exprime la pensée Rationalité • Du latin ratio, qui signifie lien, relation. • être rationnel, c’est faire usage de sa raison c’est-à-dire faire appel à des arguments et établir des liens en respectant les règles de la logique. Rationalité par opposition à affectivité • On perçoit plusieurs réalités. • L’influence spontanée des réalités sur soi est notre affectivité. L’affectivité

qui nous permet de vivre ensemble au-delà de nos différences. La laïcité ce n'est en aucun cas la répression des croyances. Croire, n’est-ce pas avant tout se laisser guider par ses rêves et ses sensations, pour se créer un monde en dehors de toutes raisons. Cette croyance est privée et elle ne peux en aucun cas se soumettre à un collectif quelconque. Dans certaines croyances il y a des coutumes et le problème est pour les croyants de les accommoder avec les conditions de vie nouvelles et

satirique : - satire de la crédulité du public : en effet le prestige de l’autorité des médecins tient à l’habit. - satire sur les médecins et inefficacité médicaments - cet épisode a une valeur de fable : fonde fallacieusement des croyances et libertinage (thématique de la pièce) remise en cause de l’existence de Dieu. - Sganarelle reçoit le lien entre l’impiété de Dom Juan à l’égard de la médecine et du ciel : passage constant d’un sujet à un autre 3. Cette scène a scandalisé les

partisans de Socin, qui rejette la trinité et la divinité de Jésus-Christ. Une rivalité permanente s'installa entre le philosophe et l'évêque de Worcester : Stillingfleet. Ils ont eu une courte correspondance essayant de se convaincre mutuellement de leur raison. Stillingfleet mourut durant cette correspondance. C'était à son tour de répondre. Tous ces renseignements historiques permettent de mieux comprendre dans quelle contexte cet essai est apparu. Locke connaissait bien les personnalités de son temps

l’espoir d’arriver à une certitude véritablement indubitable. Les opinions ne sont pas de véritables connaissances, elles sont admises bien qu’elles ne soient qu’incertaines, probables et vraisemblables. On peut justifier une connaissance, en rendre raison alors que les opinions sont mal fondées et remettent en cause les fondements même de notre connaissance. D’où la nécessité du doute pour fonder notre savoir, Descartes va s’obliger à considérer comme faux tout ce qui recèle le moindre degré d’incertitude

justifier une quelconque existence de cette liberté. En effet, les preuves sont loin d'être évidentes et la possibilité même de cette existence est peut-être même douteuse. En effet, prouver c'est, et ce dès l'origine même des sciences, apporter des conclusions certaines, tirées de l'expérience et de l'expérimentation. Est-il possible alors d'entretenir un raisonnement, expérimenter cette entité conceptuelle, et en retirer des affirmations certifiées ? Car la liberté s'éprouve plus qu'elle ne se prouve

UNIVERSITE SAINT-JOSEPH IGE Voies de la Raison Examen Partiel Décembre 2014      Nom de l'étudiant: Abdel Rahim Soubra Texte d'Alain sur le fanatisme: Q: 1. Quel est l'objet de ce texte: son thème, la thèse de l'auteur? 2. L'auteur que trouve t-il d'admirable dans l'attitude des fanatiques? que leur reproche-t- il? et à quel niveau? 3. Les fanatiques sont logiquement cohérents avec eux-mêmes, sont-ils pour autant dans la vérité? 4. "Il y manque cette

ont en commun de manquer la vérité et la réalité, mais de façon différente : l’illusion est un mode d’être tandis que l’erreur est un mode de pensée. Commettre une erreur signifie seulement qu’on juge à partir d’une mauvaise information ou que la raison effectue un mauvais calcul (défaillance de la pensée) ; l’erreur est un énoncé contredisant la vérité. Etre dans l’illusion, au contraire, c’est être en dehors de la vérité. Le mot illusion vient du latin “illudere” : se jouer de , se tromper, se

Les Cyniques ........................................................................................................ 14  Le stoïcisme ......................................................................................................... 15  Conclusion : qu’est ce que la philosophie ? ............................................................................... 17  2      I NTRODUCTION   Il n’existe, semble‐t‐il aucun manuel d’histoire de la philosophie qui n’évoque pas Socrate,