Conclusion Sur La Condition Ouvrière

l’économie moderne, est le seul classique anglais à avoir une vision optimiste de l’économie ; les autres auteurs principaux sont fortement influencés par le pessimisme de Malthus. Ces deux points de vue sont plus ou moins poussés, impactant la conclusion de leurs travaux et conduisant les derniers à voir un futur compliqué en perspective. Dans quelle mesure le pessimisme des auteurs classiques prévoit-il un sombre avenir pour l’économie ? Les auteurs pessimistes prévoient une période de croissance

souligne l’intensité, être humain animalisé ; il subit son travail, atmosphère angoissante - Champ lexical du corps => souffrance physique - Aucun dialogue => travail prend tout le temps c) Une peinture de la condition ouvrière du XIX siècle : - Hyperbole => conditions intolérables - Tournures négatives => dévalorisation et critique, population démunie, dépouillée - Phrases longues => action interminable - Phrases déclaratives, aucune ponctuation forte => aucun évènement

société (p.10) A) Un fléau social (p.10) -Regain de violence et de criminalité -Drames familiaux et sociaux B) Des conséquences spécifiques selon la « classe sociale » (p.11) -Les soldats, les paysans et les urbains -La classe ouvrière et les femmes III) La prise de conscience face à l’alcoolisme (p.12) A) Un intérêt croissant des médecins et savants (p.12) -Magnus Huss et le concept de l’alcoolisme -Hygiénistes et médecins français : analyse des méfaits de l’alcool

LES RELATION COLLECTIVES AU TRAVAIL La négociation collective PLAN : 1) Introductions 2) Les parties prenantes de la négociation collectives 3) Les conventions et les accords collectifs 4) Conclusion Problématique : Est ce que les syndicats sont vraiment apte a défendre les intérêts des salariés ? 1) INTRODUCTION Les salariés, pour défendre leurs intérêts, ont créé des syndicats. Alors, les patrons (les chefs d'entreprise), ont créé d’autres organisations

fonctions, au sexe, et aux origines familiales et géographiques. Ainsi, en proclamant la liberté du travail et celle du capital, le libéralisme laisse des salariés démunis face à la puissance du patronat. Cela entraîne des tensions sociales et la misère ouvrière. Le marxisme sert alors de cadre à la Révolution Industrielle et la vision de Karl Marx estime que les bourgeois sont les exploiteurs puisqu’ils détiennent les unités de production, et les ouvriers, les exploités car ils sont prolétaires. Après

ouvrier, Tome I : 1830-1871 (1948) Table des matières Préface de Lucien Febvre Première partie : Chapitre I: Éveil La misère et l’espérance I a) Une vision quotidienne de la misère b) La condition ouvrière dans toute la France La durée du travail. L'insécurité de l'existence ouvrière : les salaires. Le coût de la vie, l'alimentation et la race. Le logement et les ateliers. II III IV Chapitre II : a) Une classe nouvelle La réaction contre la révolution industrielle I

Présentation de la SITI ………………………… .11 Fiche d’identité ……………………………….12 Historique……………………………………13 Organigramme………………………………..15 Départements ou services……………………...16 Savoir faire…………………………………..20 III. Les travaux effectués et les apports de stage ……...22 Conclusion………………………………………25 REMERCIEMENTS Avant d'entamer ce rapport, je tiens à adresser mes profondes reconnaissances et mes extrêmes gratitudes à Mr OUTHMANE EL BAROUDI , le directeur administratif et financier de l’entreprise

La révolution industrielle bouleverse ce fondement économique traditionnel et tout ce qui va avec. C’est un bouleversement proressif. Thèmes liés à l’industrialisation selon Nisbet : Conditions de vie et de travail des ouvriers (amélioration des condition) Changement de nature de la propriété (aristocratie ouvrière, bourgeoisie capitaliste) Naissance des cités industrielle (urbanisation) Découvertes technologiques Organisation du travail en usine (changement entre le travail du paysan et l'émergence

des grévistes, effectué dans le but d'obtenir la satisfaction de revendications d'ordre purement professionnel (amélioration des conditions de travail, du salaire, de la sécurité sur les lieux de travail…). Le droit de grève est un droit constitutionnel, reconnu à tout salarié dans l'entreprise. Cependant, pour être valable, une grève doit respecter certaines conditions : -Il suffit de deux personnes. Il n'y a pas grève si l'arrêt de travail concerne un seul salarié sauf s'il s'associe à une grève

Dans une période de grave crise économique et d’inquiétude sociale généralisée, sa capacité à contribuer à assurer la régulation sociale est déterminante. Ainsi, le syndicalisme joue un rôle majeur dans la vie du citoyen, au-delà de ses origines ouvrières et purement revendicatives. Nous pouvons dès lors établir la problématique suivante et à laquelle nous tâcherons de répondre : « Comment adhérer à un syndicat ? » Il s’agira dans un premier temps d’étudier l’organisation même d’un syndicat