Conclusion Sur Le Discours De La Servitude Volontaire

Sq 1 - LA 1 – La Boétie Discours de la servitude volontaire Intro : La Boétie : 1530-1563  Conseiller au Parlement de Bordeaux où il rencontre Montaigne, connu pour son amitié avec Montesquieu, rapporté par Montaigne dans Les Essais. Montaigne éditera l’œuvre de son ami qui meurt à 33 ans. Il n’a que 18 ans lorsqu’il écrit ce Discours de la servitude volontaire, publié à titre posthume en 1574 ; C’est un texte très vigoureux, publié pour la première fois en 1574 par le camp protestant au moment

FICHE DE LECTURE DE LA SERVITUDE VOLONTAIREEtienne de la Boétie commence son discours par une citation d’Ulysse : “Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul ; Qu’un seul soit le roi”. Etienne de la Boétie nous dit qu’Ulysse aurait seulement pu dire qu’il n’était pas bon d’avoir plusieurs

monde, ou il retrace son histoire. Ici il va expliquer ce que la peste représente pour lui, on va voir que pour lui c’est une métaphore une allégorie du mal qui fait qu’on est complice de la mort des autres Il s’agit d’une sorte de confession au discours direct dans laquelle il se confit longuement à Rieux. C’est Tarrou seule qui parle. C’est confession prend une valeur argumentative. Il a la volonté de nous faire nous même réfléchir. Premier paragraphe : Il se répète pour bien transmettre ce qu’il

DISCOURS SUR LA SERVITUDE VOLONTAIRE ETIENNE DE LA BOETIE Etienne de la Boétie écrit son essai Discours sur la servitude volontaire en 1549 en réaction à la tyrannie exercée sur le peuple suite à la tentative du roi François 1er d’uniformiser l’impôt sur le sel (la gabelle) sur tout le territoire. Ce jeune humaniste tente de trouver une explication aux succès que rencontre le despotisme de son époque. Cependant, E. de la Boétie va à l’encontre de la tradition en ne visant pas directement

cet extrait. Rédigé par Etienne de La Boétie alors qu’il n’avait que 18 ans, Le Discours de la servitude volontaire appartient au mouvement de l’humanisme. Ce courant européen de la Renaissance met l’homme et ses caractéristiques essentielles au centre de ses réflexions. Il cherche à mieux le connaître afin de le rendre meilleur et de lui permettre de prétendre au bonheur. Le Discours de la servitude volontaire revient ainsi sur les raisons qui peuvent pousser un homme à se soumettre à un autre

Le Discours de la servitude volontaire constitue une remise en cause de la légitimité des gouvernants, que La Boétie appelle « maîtres » ou « tyrans ». Quelle que soit la manière dont un tyran s'est hissé au pouvoir (élections, violence, succession), ce n'est jamais son bon gouvernement qui explique sa domination et le fait que celle-ci perdure. Pour La Boétie, les gouvernants ont plutôt tendance à se distinguer par leur impéritie. Plus que la peur de la sanction, c'est d'abord l'habitude qu'a le

La Boétie, Discours de la servitude volontaire Introduction : La Boétie est né à Sarlat en 1530 et fait ses études au collège de Guyenne à Bordeaux. Il est nommé conseiller au parlement de Bordeaux en 1553 où il rencontrera Montaigne : c’est le début de leur amitié. C’est un partisan de l’autorité royale, c’est un conservateur : il dénonce ici non la royauté mais la tyrannie. Montaigne à la mort de La Boétie, renonce à publier Le Discours car les polémistes protestants l’utilisent comme pamphlet

Résumé de texte « Discours de la servitude volontaire »Consignes : 1) Choisissez deux questions parmi les quatre au choix. Ne pas résumer tout le texte ! 2) Pour chacune d’elles, faire une réponse d’ environ 300 mots. Maximum 700 mots en tout. Indiquez le nombre total de mots à la fin. Un travail trop long sera refusé. 3) Pas d’introduction, ni de conclusion. Écrivez seulement le numéro

FICHE DE RÉVISION Explication linéaire 1 : Discours de la servitude volontaire (1576), Etienne de La Boétie Intitulé du parcours : écrire et combattre pour l’égalité (Les actes et les œuvres de l’auteur l’inscrivent dans le parcours étudié) INTRODUCTION : -Texte argumentatif dans lequel l’auteur défend sa thèse et son point de vue. -Étienne

l’épanouissement aurait réussi cet exploit : supprimer la domination hiérarchique au profit d’une domination invisible. Les salariés, en quête d’autonomie, de responsabilité et d’épanouissement, seraient devenus les victimes consentantes d’une « nouvelle servitude ». Le commandement et la hiérarchie seraient devenus inutiles : l’envie de se « réaliser au travail » serait un appât suffisant qui conduirait directement les salariés dans le piège de l’autoasservissement. Une forme de « barbarie douce » (Jean-Pierre