Conclusion Sur Les Fondements De La Démocratie

le processus de la sécularisation, qui prive de tout fondement Georges Leroux 4 religieux l'énoncé de l'autorité légitime. Dans une société chrétienne comme la nôtre, ce processus a été à la fois très lent et peu analysé : c’est au terme d’une longue maturation que les institutions se sont dégagées de leurs origines religieuses, mais ce processus demeure inachevé. Notons ensuite, ce qui est un corollaire de la perte des fondements, la reconfiguration du tissu social, surtout dans les

certaines limites, car un homme n’a pas plus de droit qu’un autre, c’est le fondement même de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. De plus, la liberté d’expression est très importante pour l’homme, car elle lui permet de s’exprimer, de donner son avis sur des points qu’il l’intéresse ou non, de montrer son désaccord sur certaines lois votées ou au contraire les approuver… Tous ceci sont les bases de la démocratie. En effet, le droit de vote pour tous permet aux citoyens de pouvoir donner

européenne qui se déroule entre 1715 et 1789, marquée par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression était déjà fréquemment employée par les écrivains de l'époque, convaincus qu'ils venaient d'émerger de siècles d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et

chaque individu qui est partie au contrat était dépositaire d’un droit qui était lui-même illimité. Cela signifie que Hobbes tout comme Jean Bodin, est partisan d’une souveraineté étatique, absolue et indivisible. B La souveraineté en tant que fondement légitime du pouvoir de l’Etat C’est par la détention de la souveraineté que l’Etat arrive à assoir sa domination sur la population qui le compose. Si dans l’esprit des premiers penseurs de la souveraineté, cette souveraineté conduisait au pouvoir

La vertu c le civisme autrement dit le civisme accordait plus d’importance à l’intérêt collectif qu’a son propre intérêt. Montesquieu est plutôt favorable à la république aristocratique car ce type de Gouv selon lui c une forme propice, c’est la démocratie tempéré. Montesquieu dit : «dans ce type de régime, ceux qui n’ont pas le pouvoir sont si déshériter que les détenteurs du pouvoir n’ont pas intérêt à les oublier » La république démocratique, c’est un type de gouvernement ou le peuple dans son

Les cahiers bleus La démocratie participative au secours de la démocratie représentative ? Ali Bouabid Kamal Lahbib Mohamed Tamim N°16 2011 1 Collection «les cahiers bleus» N°16 - 2011 Disponible par Abonnement. Dépôt Légal : 2004 / 2093 ISBN : 1113 – 8823 Reproduction interdite sans avis préalable Prochainement : « Le Mouvement de 20 février : paradoxes et méandres » Erreur ! Des objets ne peuvent pas être créés à partir des codes de champs de mise en forme. 121

La démocratie participative au sein de l’Union européenne Le principe de la démocratie est reconnu par le droit communautaire sous la forme de la démocratie représentative,c’est-à-dire du droit des citoyens de participer à la gestion des affaires publiques par l’intermédiaire de leurs représentants élus.Pourtant ce système s’est trové d’être insuffisant pour réaliser tote lla principe de la dimocratie.C’est ce qui explique la recherche actuelle de nouvelle formes de

tous. Un régime Aristocratique qui se préoccupe exclusivement des intérêts des Aristocrates est une oligarchie. La démocratie selon lui « est un état dans lequel le gouvernement agit dans l’intérêt du grand nombre mais néglige les intérêts de l’élite aristocratique ». Aristote n’est pas partisan du régime démocratique pur. Il préfère un régime mixte combinant l’oligarchie et la démocratie. La plupart des penseurs de l’antiquité on eue une vision évolutive et pessimistes ; l’évolution cyclique des régimes

? Comment évoluent-elles ? I. Les fondements politiques A/ La double-royauté B/ La grande Rhètra C/ Le corps civique II. La réforme de Lycurgue A/ L’Assemblée des citoyens : Apella B/ La Gerousie C/ Les Ephores III. Les rapports de force entre les institutions A/ Une perte de pouvoir de l’Assemblée B/ Un renforcement de la Gerousie et une domination des éphores C/ Passage d’une oligarchie royale à une oligarchie citoyenne I. Les fondements politiques A. La double-royauté

Bernard Manin, né le 19 avril 1951 à Marseille, est un politologue français travaillant dans le domaine de la pensée politique et connu pour ses travaux sur le libéralisme et la démocratie représentative. Il est professeur des universités à l'Institut d'études politiques de Paris et professeur à la New York University. Formation et carrière Il entre en 1970 à l'Ecole normale supérieure, et est reçu à l'agrégation de philosophie en 1973. L'année suivante, il obtient une maîtrise de science politique