Conclusion Sur Les Poilus

l'horreur déjà représentée dans son oeuvre. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

à l'horreur déjà représentée dans son œuvre. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

conflit. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

secondaire. Une fièvre peut également apparaître suivant l’importance de l’infection. Traitements Les traitements privilégiés afin de mettre fin à l’infection sont les crèmes et les shampoings insecticides à appliquer sur les zones poilues du corps à l’exception des cheveux. Il est aussi important de laver les vêtements, la literie et les serviettes à l’eau chaude ou en les mettant dans un sac hermétique pour quelques jours pour éviter la contamination indirecte. Demander au partenaire

Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD. DESCRIPTION I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

sculpté). ***Prédelle : C'est la partie inférieure du retable DESCRIPTION I. Les éléments qui sont représenté Panneau de gauche : des soldats armés portant un sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité(anonyme), avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

sculpté).***Prédelle : C'est la partie inférieure du retableDESCRIPTIONI. Les éléments iconiques (ce qui est représenté)Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités.Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

peau ! La chanson de Craonne (1917) décrit un épisode des troubles qui affectent l’armée française après l’échec de l’offensive du Chemin des Dames et de Craonne en avril 1917, cette chanson fut en réalité composée en 1915, sans doute par un poilu du midi. Au départ, elle évoque le secteur sanglant de Lorette, en Artois. Il était ensuite facile de l’adapter aux circonstances en remplaçant Lorette par Craonne. I. Présenter l’œuvre - Il s’agit d’une chanson créée en 1917. Son auteur est

8 / 9 Conclusion La mort brutale et massive, d'affreuses blessures corporelles et psychiques, ont été au cœur de l'expérience combattante lors de la Première Guerre mondiale au front. Jamais un conflit n'avait atteint une telle intensité dans la violence et causé de pertes humaines aussi massives Un seuil dans la violence est franchi pendant cette guerre. Les combattants sont confrontés à une bataille de matériels, produits industriellement à l'arrière. Cette industrialisation de la guerre

principaux est appelée triptyque description I. Les éléments représentés Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : l'arrière plan du panneau central