Conclusion Surendettement Ménages

partie avec laquelle, nous élaborons un cas précis sur la gestion du risque de crédit au Sénégal avec une grande banque de la place de Dakar, la CBAO du groupe marocain Attijari Wafa Bank pour finir par des suggestions qui seront formulées avant la conclusion. CHAPITRE I : Cadre théorique I. Problématique L'une des finalités d'un crédit est son remboursement. Or, dans de cas de plus en plus fréquents, les remboursements ne s'effectuent pas à l'échéance prévue. Des fois, ils se trouvent même

quotidiennes. Déceler les risques encourus par la banque. ■ RAPPELS PEDAGOGIQUES • • Diaporama : « Les risques nés de la relation avec les particuliers » ; Consigne : outil à votre main, à utiliser en fonction du groupe, au long de la journée, en conclusion, ou selon les questions du groupes. U5A-JF2-FO.doc 09206112800040ef [124] 0920611280302b97 V11.2 SEUQIGOGADÉP SLEPPAR 2AJ – SREILUCITRAP SED ÉHCRAM UD SERIACNAB SEUQINHCET 2 © CFPB 2010 OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES • • Réagir, par des mesures

__________________________________ 37 8.2. La politique de l’emploi_________________________________________ 37 8.3. La politique sociale ____________________________________________ 38 8.4. Enseignements pour le Maroc____________________________________ 38 Conclusion générale ________________________________________________________ 39 ANNEXES ____________________________________________________________ ____ 41 Synthèse Le développement social a toujours fait partie des préoccupations des pouvoirs publics

le dt commun du cautionnement et le droit des entreprises en difficulté et des surendettement se pose. Leur objectif premier : le sauvetage du débiteur. Une L de 85 considère que l'objectif premier du dt des entreprises en diff est le maintien de l'activité du débiteur (des emplois donc) et le dernier objectif est l'apurement du passif (paiement des créanciers de l'entreprise en diff). Dans le dt du surendettement, avec différentes L depuis 89 dont la dernière réforme en 2010, est lui aussi inspiré

différent : le « millésime » 2006 n’est pas le même que celui de 1996. En une décennie, le consommateur a beaucoup changé. Sa façon de vivre s’est modifiée. Il évolue au sein d’une population plus nombreuse qui vieillit inéluctablement. Le nombre des ménages augmente encore plus vite que la population. La natalité témoigne d’une vigueur qui contraste avec le pessimisme général. L’habitat devient périurbain, il se dédensifie, la durée et le nombre des trajets augmentent. Le temps devient alors plus précieux

guerre 5.2 Les conséquences économiques et sociales Chapitre 6 : La crise de 1929 6.1 L’origine complexe de la crise 6.2 Les phases de la crise américaine 6.3 L’internationalisation et le renforcement de la crise 6.4 La sortie de la crise CONCLUSION Il y a 2 systèmes économiques. : système de régulation système de surproduction 3 facteurs de croissance  capital, travail, institutions capital et travail  surproduction

jurisprudence avait largement assoupli ces interdictions. En effet la jurisprudence avait introduit une distinction entre les renonciations conventionnelles qui étaient concomitantes à la conclusion du contrat générateur de l’obligation inexécutée qui étaient prohibées ; et les renonciations postérieures à la conclusion du contrat qui étaient tolérées. Aujourd’hui cela a changé, le principe de l’impossibilité de déroger par convention aux règles légales se trouve largement atténué par la réforme des sûretés

subprimes = crédits immobiliers accordés à des ménages associés à un très fort risque d’insolvabilité. Ces ménages ne peuvent pas avoir accès au marché du crédit et donc pas de propriété immobilière. On accorde à ces ménages des crédits a très fort risque (revenu faible ou aléatoire), risque de ne pas être remboursé, de ne pas honorer la dette. Pour réduire le risque, ces crédits subprimes vont être associés à des modalités : Accordés à des ménages avec problèmes de solvabilité ce sont des crédits

commence dès 1877 aux USA. Beaucoup d’émission de valeurs industrielles durant ces 3 ans de 1879-82 ; en France, beaucoup de grands travaux comme le plan Freycinet et toujours rôle très important des banques d’affaires qui vont drainer l’épargne des ménages. Mais les grands travaux vont se ralentir, ce qui va faire un décalage entre les profits attendus et les profits réalisés →entraîne le krach de l’union générale (grande banque française qui fait faillite) →déclenchement de la crise de 1882 en France

politique •Il existait par ailleurs des terres « communes » vivrières, initialement allouées aux familles, mais souvent cédées plus tard par celles-ci à cause du surendettement. Il fallait de l’argent pour ensemencer les terres. L’argent était gagné par les bonnes récoltes, mais lorsque la récolte était mauvaise, c’était l’état de surendettement. •Ces terres étaient régulièrement redistribuées aux familles par le pouvoir, pour permettre la subsistance. •Cette redistribution empêchait a priori toute