Conclusion Théatre Classique

Textes fondateurs du drame romantique Stendhal, Racine et Shakespeare (1823) : Stendhal y compare le théâtre racinien et shakespearien afin de montrer que le théâtre de Shakespeare est supérieur. Stendhal demande aussi aux dramaturges de renoncer à la versification. Hugo, Préface de Cromwell (1827) : Hugo y définit ce que doit être un drame romantique. L’opposition aux règles classiques, le héros romantique Refus de la règle des trois unités : les romantiques veulent se libérer de la forme

Susanna en 1582 puis deux jumeaux en 1585, Judith et Hamnet. Ce dernier , son seul fils, décèdera à onze ans, inspirant sans doute au dramaturge le personnage de Hamlet. Comédien de profession, il devient, en 1592, sociétaire de l'un des principaux théâtres londoniens, le globe Theater. Ensuite, Shakespeare se tourne vers l'écriture de pièces dramatiques. Celles-ci prendront deux directions. D'une part, il compose des pièces historiques, relatant sur un mode épique de l'histoire de l'Angleterre à la

des récits), règle des trois unités unité de lieu, unité de temps et unité d’action. Shakespeare : L’auteur Shakespeare appartient au mouvement marqué par le baroque, mouvement de la mort ou l’instabilité (XVII siècle), il fait bien partie du théâtre elizabethain . Les caractèristiques du baroque sont inconstance, paradoxe, émotion, illusion, mort et violence, merveilleux (fantômes, magie, …), surnaturel, transformations, mélange des genres, des registres (tragi-comédie), ornementation, métaphore

Le théâtre classique se compose de deux genres principaux : la tragédie la comédie Le théâtre classique est régi par la règle des trois unités : -le temps : la scène se passe en 24 heures maximum -le lieu : il n’y a qu’un seul décor dans toute la pièce -l’action : il n’y a qu’un seul problème a résoudre Dans le théâtre classique ce sont des personnages royaux. Ils sont tiraillés entre le devoir et la passion. Il y a le destin, la fatalité. Le spectateur a pitié des personnages. Au début

confusion volontaire entre un décors tragique (palais) et un dispositif comique (échange entre les deux valets). Telle que la pièce nous est parvenue, elle comporte très peu de didascalies. Dès l’exposition, Molière met à nu les conventions du théâtre, et met en jeu ces conventions : cela concerne non seulement la double énonciation, mais aussi la construction de l’exposition. Les premiers mots de la tirade mentionnent Aristote et la philosophie, et semblent donc annoncer une pièce qui va traiter

s’interdit le recours à des scènes familières ou comiques. La tragédie classique répond à : La règle des trois unités et la règle de bienséances (unités de temps, d’action et de lieu) Elle est composée de cinq actes Il y a une progression dramatique (exposition, nœuds, dénouement) Les plus grands dramaturges de la tragédie sont Corneille « Le Cid »1636 et Racine « Andromaque »1667 La comédie, désignant d’abord le théâtre en général, s’oppose à la tragédie, elle cherche à faire rire, à divertir

Bossuet, La Bruyère... Ces écrivains sont regroupés sous le noms d'auteurs classiques car ils sont liés par une communauté de goûts cités par Boileau dans L'art poétique : imitations des auteurs de l'antiquité ( les Anciens ), recherche du naturel, du vraisemblable, célébration de la vertu, blâme du péché, finesse dans la morale psychologique, clarté du style, respect des règles de bienséance … ) En art, les maîtres classiques sont les Italiens comme Raphaël, Palladio, Titien, Bramante, mais aussi

Règles du théâtre classique Le théâtre est soumis à une série de règles, la bienséance, la vraisemblance, et les trois unités (unités de temps, de lieu, et d'action). La vraisemblance - (adjectif vraisemblable) ce qui semble croyable dans l'attente du public. La vraisemblance doit se distinguer de la vérité. La vérité présente ce qui est, la vraisemblance ce qui devrait être. La bienséance (adjectif bienséant) - ce qu'il est permis de montrer sur la scène sans choquer le public de l'époque. 

appartient à la première esthétique ! On considère parfois aujourd’hui que c’est une des pièces les plus baroques du XVIIème, avec L’illusion comique, « étrange monstre » de Corneille. Quelques éléments pour appuyer ceci : Les 5 règles classiques sont bafouées ! - unité de lieu : on en change à chaque acte ! voire deux ou trois fois par acte !! - unité de temps : au moins 36 heures au lieu de « l’espace d’une journée » - unité d’action : combien de péripéties peuvent sembler (et

commis par Oreste venu lui en rendre compte.: celui-ci , foudroyé par la haine de son amante et l'absurdité de son acte, ne résiste pas a la nouvelle du suicide d'Hermione et perd la rayons . III) Personnages: IV) Respect des règles classique: Le théâtre classique s'est donné un certain nombre de règles auxquelles les auteurs devraient se conformer : A- La règle des trois unités: L'unité de temps: La durée de l'histoire doit coïncider au plus près avec celle de la représentation et ne doit pas