Concordat

d’état du 18 Brumaire (novembre 1799), puis Empereur des français sous le nom de Napoléon Ier (1804-1815) s’emploie à stabiliser la Révolution et à réconcilier la tradition révolutionnaire et celle de l’Ancien Régime. Il négocie avec Rome et signe le Concordat du 15 juillet 1801, où chaque partie est censée trouver son avantage : financement public pour l’Église et neutralisation politique de celle-ci pour l’État. En résumé, le bilan de cette politique religieuse à deux aspects : la paix avec Rome et que

jusqu’aujourd’hui. Premièrement nous expliquerons le contexte qui a emmené l’école à devenir un symbole de la laïcité, pour ensuite aborder l’évolution du débat. Alors que la France se trouvait encore liée à l’Eglise catholique et au Vatican par le concordat signé par Napoléon Bonaparte en 1801, les républicains veulent un pays laïc. Pour l’instant, tout ce qui était éducation et santé était confié à cette institution, laquelle en profitait bien sûr pour transmettre ses valeurs. C’est en effet ce qui

Adèle et Clarisse le général Antoine Guillaume Delmas né à Argentat, chef du bataillon des volontaires corréziens sur l’armée du Rhin, puis combattant dans l’armée de Bonaparte en Italie, est en désaccord avec celui-ci lors de la signature du concordat en 1801.Contraint à l’exil pendant 11 ans, il demande à réincorporer l’armée pour servir la Nation, ce qu’il fait malheureusement il perd la vie à la bataille des Nations à Leipzig en 1813. 7 Personage important d’argentat

une religion ou une croyance. Son article 1 stipule que « la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public. » Elle met fin au Concordat napoléonien de 1801 (créant des relations officielles entre l’État français et la papauté) qui régissait les rapports entre le gouvernement français et l'Église catholique. []Inventant la laïcité à la française, elle proclame la liberté de conscience

suivra de nombreuses modifications (notamment des vitraux), au cours du XVIIème -XVIIIème siècle. De nombreuses statues furent détruites durant la période révolutionnaire. En 1802, Notre-Dame est rendue au culte catholique romain suite à un nouveau concordat. Un peu plus tard, en 1844, le Roi Louis-Philippe 1er annonce la restauration de l’édifice et la création d’une sacristie, confiés à deux architectes (Eugène Viollet-le-Duc et Jean-Baptiste Lassus. Cependant, en 1857, la mort de Lassus laisse Viollet-le-Duc

la société d’Ancien Régime et met la société d’ordres (Abolition des privilèges et DDHC art.1) B°une société parquée par la laïcisation et par de nouveaux rapports avec l’Eglise (liberté de conscience, tolérance,déchristianisation de la Terreur, concordat ) C°des mesures qui privilégient les petits propriétaires et les bourgeois (Le chapelier, achats des biens du clergé par les paysans riches, livret ouvrier) D°l’œuvre napoléonienne de rénovation de l’Etat (préfets, Etat fort impérial centralisé)et

plus en plus autoritaire Bonaparte mène une politique de réconciliation nationale pour rétablir la paix en France : - Pour satisfaire les royalistes, il accepte, sous conditions, le retour des nobles émigrés pendant la Révolution et signe un concordat avec le pape en 1801 ; - Pour les révolutionnaires, il rétablit le suffrage universel. - Il réorganise l'État et l'administration : crée la Banque de France, les préfets ; réforme les impôts ; instaure le Code civil en 1804. Ce texte est d'essence

la Révoltion a permis d’instaurer la laïcité dans la sociétés Française, et d’arrêter les discriminations et les persécutions religieuses (conflits entre protestants et catholiques en France, nuit de la St Barthélémy au 16eme siecle), grace au concordat. Cette volonté de laïcité de l’Etat a été totalement établie en 1905 avec la séparation des églises et de l’Etat avec le député socialiste Aristide Briand qui fait voté cette loi. Néanmoins, ce principe est l’oin d’être appliqué au niveau mondial

face au souverain pontife en ne rendant pas les biens confisqués au clergé et en faisant des prêtres des fonctionnaires de l’Etat, en outre, toutes les religions deviennent égalitaires dans le pays. L’encadrement religieux est officiel depuis le concordat de 1801 qui ramène la paix religieuse en France, Napoléon y voit une occasion de vaincre les Vendéens et les Chouans. C’est la fin de la Constitution Civile du Clergé et le retour à une religion officielle avec des prêtres fonctionnaires payés par

l’Autriche (1801) et avec l’Angleterre (1802), pour la première fois la depuis 1792, la France n’est plus en guerre. Pour ôter aux royalistes leur soutien religieux, il conclut avec le pape Pie VII le Concordat de 1801, s’arrogeant un droit de veto sur les nominations ecclésiastiques. Ce Concordat, qui n’instaure pas le catholicisme comme religion dominante et qui aurait put être vu comme une volonté de retour à l’Ancien Régime, permet à Bonaparte d’obtenir une nouvelle légitimité et d’asseoir un