Concurrence Imparfaite Nuit Au Consommateur

(le consomm.) - U.E. directives qui obligent de légiférer d’une certaine façon, cela a pour but une harmonisation des législations. Ex. : loi sur le crédit à la consommation : régit tous les prêts, crédits entre professionnels du crédit et les consommateurs contrats qui échappent à la T.G.O. Si problème pas résolu par loi sur crédit à la consomm. on va voir dans la loi sur les pratiques du comm. qui régit tous les services entre profess. et particuliers Si on ne trouve toujours pas C.C. dispositions

valeurs, sa culture et ses objectifs globaux. Dans le quatrième chapitre, nous expliquerons comment analyser l’environnement général, le marché et le contexte interne de l’entreprise. Nous verrons comment étudier en particulier la demande (les consommateurs ou les clients) et l’offre (les concurrents directs et indirects). Cela nous permettra de conclure ce chapitre en montrant comment se © Groupe Eyrolles 6 Le plan marketing fait une synthèse des forces et faiblesses de l’entreprise, et

(appellation d'origine contrôlée) AOP (appellation d'origine protégée) APPEL (produit d’) APPEL (rayon d’) APPEL D’OFFRES APPRENTISSAGE (courbe d’) ARCHIMEDE ARGUMENT ARGUMENTAIRE ARGUMENTATION ASILE colis ASILE courrier ASSOCIATIONS de consommateurs ASSORTIMENT (définition) ASSORTIMENT (largeur) ASSORTIMENT (politique d’) ASSORTIMENT (profondeur) ASSURANCE crédit ASSURANCE foire ASSURANCE prospection ASSURANCE risque de change ASSURANCE risque économique ASSURANCE risque politique

d’environnement concurrentiel Un environnement complexe et turbulent L’organisation industrielle L’organisation des transactions L’analyse industrielle Le paradigme SCP Le groupe stratégique La vulnérabilité L’analyse de filière L’analyse de concurrence 128 129 129 132 135 139 139 143 146 149 CHAPITRE 7. L’ORGANISATION Les approches rationnelles La différenciation des tâches L’intégration des individus 156 158 159 160 7 Michel Marchesnay Les approches contingentes

turbulent 129 L’organisation industrielle 132 L’organisation des transactions 135 L’analyse industrielle 139 Le paradigme SCP 139 Le groupe stratégique 143 La vulnérabilité 146 L’analyse de filière 149 L’analyse de concurrence CHAPITRE 7. L’ORGANISATION 156 Les approches rationnelles 158 La différenciation des tâches 159 L’intégration des individus 160 7 Michel Marchesnay Les approches contingentes

notion d’environnement concurrentiel Un environnement complexe et turbulent L’organisation industrielle L’organisation des transactions L’analyse industrielle Le paradigme SCP Le groupe stratégique La vulnérabilité L’analyse de filière L’analyse de concurrence 128 129 129 132 135 139 139 143 146 149 CHAPITRE 7. L’ORGANISATION Les approches rationnelles La différenciation des tâches L’intégration des individus 156 158 159 160 7 Michel Marchesnay Les approches contingentes Les approches volontaristes

TABLES (2012) il existe 2 grandes limites : Ce n’est pas une mesure parfaite de la richesse. Il ne mesure que la richesse et le niveau de vie et peut inclure des dimensions non monétaires. Quels que raisons des critiques du PIB : C’est une mesure imparfaite de la richesse. On ne compte que ce qui a une valeur marchande. C’est dur de comptabiliser les Services publics et tout ce qui est produits dans le pays, qui ne transite pas par le marché → mauvaise vision. Le PIB n’est pas une mesure du revenu

aussi le fait de rendre des décisions en permanence. 5- I. Kirzne définit l’éco comme la science de la coordination des actions humaines. Il y a donc deux aspects : coordination : le fait de rendre compatible les décisions des producteurs et des consommateurs. A) L’Economie : Economie : Lutte organisée contre rareté. Economie politique : Organisation solidaire de la lutte contre rareté. Lutte : veut dire que l’économie nécessite de la part de l’homme, un effort. Le plus évident dans cette lutte

rendements d’échelle constants) 0 0 F (K, L) = FK (K, L) ∗ K + FL (K, L) ∗ L Si w est le salaire horaire réel (c’est-à-dire la quantité de blé qu’il faut payé par heure de travail), et r le coût réel du capital. En faisant l’hypothèse de concurrence parfaite sur le marché des facteurs de production. L’entreprise représentative maximise max F (K, L) − wL − rK K,L (3.4) On trouve 0 r = FK (K, L) 0 w = FL (K, L) Le rix d’un facteur de production est sa productivité marginale. Cette

5 Première et deuxième transformation 3.6 Conditionnement – distribution p.25 p.30 p.37 p.46 p.49 p.62 4.PRINCIPALES CARCTERISTIQUES DES ÉVOLUTIONS EN COURS Concentration et uniformisation des moyens de production De nouvelles attentes des consommateurs p.65 p.66 P.71 5. RECOMMANDATIONS 2 1.Introduction 1.1Objet du travail, modalités d’organisation, auteurs L’étude présentée dans ce document a été réalisée à la demande de l’Académie des Technologies et l’Académie d’Agriculture de