Confédération allemande des syndicats

effectifs des ouvriers: 4 M en 1882, 8.5M en 1910. Question ouvrière devient de + en + importante → organisat° de partis politiques socialistes et communistes ainsi que de syndicats ouvriers. Encore aujourd’hui et malgré importants changemts politiques, l’Allemagne dispose d’un mouvement ouvrier actif. Quels sont les partis et syndicats soutenant les ouvriers ? Comment ont-ils évolué jusqu’à nos jours tout en conservant leur dynamisme ? Définitions: Parti politique: groupement de personnes partageant

1. PRÉSENTATION syndicat, groupement de personnes exerçant leur activité dans une même branche de métier ou dans un même secteur d’activité, visant à assurer la défense de leurs intérêts professionnels et de leurs conditions de travail. Les fonctions des syndicats et leur importance dans les relations de travail dépendent des traditions nationales, elles-mêmes étroitement conditionnées par l’histoire et par les conditions d’émergence du mouvement syndical. Ainsi, hormis le modèle qui prévalait

B)TRAVAIL DE RECHERCHE SUR LES SNDICATS Syndicats Salariés 1) Confédération générale du travail(CGT)  Origine Historique: Création au Congrès de Limoges en septembre 1895, par l'union de 28 fédérations syndicales, de126 syndicats et de18 Bourses du travail 2)Confédération générale du travail-Force ouvrière (CGT -FO)  Origine historique: En 1945, le rapport des forces est nettement favorable aux ex-unitaires ; ils contrôlent 21 fédérations sur 30. Les ex-confédérés sont

SOCIALISME, COMMUNISME ET SYNDICALISME EN ALLEMAGNE AU 1875  Rappels :  -Karl Marx (Manifeste du parti communiste 1848) + Friedrich Engels  -1871-1918 : Empire allemand -1918-1933 : République de Weimar, -1933-1945 : 3e Reich -1945-1990 : Allemagne réunifiée  -Industrialisation s’accélère en Allemagne en 70s  : 4% de la pop allemande est active en 1850 et 40% fin XIX. Des hommes politiques, des artistes, des intellectuels commencent à s‘intéresser à la lutte ouvrière.  Communisme : mot désignant

sociale : Les syndicats = organisations ayant pour but de défendre les intérêts des travailleurs dans le domaine professionnel. Les partis politiques issus de l’idéologie marxiste : il s’agit du socialisme et du communisme. → MOUVEMENT OUVRIER L’histoire de l’Allemagne est particulièrement intéressante : L’Allemagne est une grande puissance industrielle. Elle est le pays de Karl Marx, soit le fondateur du mouvement ouvrier. Karl Marx – philosophe, économiste et politologue allemand – écrit en

rapport au pouvoir ont été les plus nourris, celui où la construction du modèle social allemand, la plus intense et où la remise en question actuelle, loin d’être stupéfiante n’est pas sans continuité avec le choix réformiste du XIX ème siècle ( cf doc 1 et doc 2 page 84-85 de Marx à Schröder ) Il faut donc traiter le cas allemand dans une perspective européenne sans négliger la spécificité du cas allemand… [Le recours à l’histoire de l’art est presque un parcours obligé tant les œuvres

manuel p. 109) : socialisme, syndicat, communisme, révolution/réformes, social-démocratie. Totalitarisme PROBLÉMATIQUE Quelles furent les divisions et les mutations du mouvement ouvrier allemand né à la fin du XIXe siècle, dans ce « siècle de crises » que fut le XXe siècle ? VOCABULAIRE Bourgeoisie ; prolétariat ; SPD ; ADGB (syndicat) ligue spartakiste, KPD conventions collectives Front allemand du travail (organisation nazie) RDA : SED ; Stasi ; Jeunesse allemande libre (FDJ) ; économie socialiste

20e : Le Marxisme. L’Allemagne a constitué le terreau expérimental : - du socialisme réformiste prendre pouvoir de manière diplomatique - du socialisme révolutionnaire prendre le pouvoir par la force La particularité du socialisme allemand est sa proximité avec les organisations syndicales. Au 21e, les socialistes ont pour objectifs ; l’abolition de l’exploitation sous toutes ses formes, la revendication du suffrage universelle, la liberté de réunion et de presse, une justice

fameux pacte, valable pour dix ans. Ni Staline, ni Hitler n'imaginaient qu'il durerait autant. Mais il fallait gagner du temps pour abattre d'abord les démocraties occidentales. Dans la nuit du 23, Staline en personne, connaissant «combien le peuple allemand aime son führer», portait un toast à sa santé. Une annexe secrète déterminait, bien avant Yalta, les sphères d'influence. La Pologne serait partagée et les pays Baltes, ainsi que la Finlande et la Bessarabie, appartiendraient à la zone soviétique

très modérée selon le modèle de Bernstein et qui se retrouve dans la bureaucratie et les syndicats et la tendance plus radicale , marxiste et révolutionnaire . Seule la première guerre peut empêcher l’éclatement du parti socialiste. Le syndicalisme allemand s’impose avec difficulté. Au départ il n’y a que des mutuelles et des coopératives et en 1892 une seule Confédération Générale des Syndicats allemands (ADGB). Cette organisation encadre et défend la classe ouvrière. Des grèves sont organisées