Conflit Maitre Valet

Géronte.  Octave raconte à Scapin se qu'il a fait pendant que son père n'était pas là et que son ami Léandre,qui est le fils de Géronte, est lui tombé amoureux de Zerbinette. Hyacinte et Octave demandent alors à Scapin de les aider pour se sortir de ce conflit. Pour cela, Scapin va organiser plusieurs tromperies afin d'accomplir ce qu'il lui est demandé. Au final, ils apprennent que Hyacinte n'est autre que la fille de Géronte et Zerbinette la fille de Argante. J'ai choisi de raconter la fin car, pour

et Sganarelle ont des morales en parfaite opposition, puis, nous allons montrer qu’en plus d’être une scène comique, c’est aussi une scène mettant en place un discours argumentatif. En premier lieu, nous assistons bien à un conflit de valeurs entre le valet et le maître. Contrairement à Dom Juan, Sganarelle croît en la religion ainsi qu’au bien-fondé de l’ignorance. En effet, Sganarelle prétend que les études ne rendent pas plus savant: "pour avoir étudié on est bien moins sage le plus souvent"

air solennel. Il est le père de deux jeunes filles, ou d’un fils. Cultivé dans certains canevas, il se fait toujours exploité ou trompé par quelqu’un. Son « diable de valet », Arlequin se joue souvent de lui. Pantalon se fait certes facilement dupé, mais il est aussi très rancunier jusque dans son testament : « Je lègue à mon valet vingt-cinq bons coups de fouet bien sanglés, pour avoir fait un trou au fond de mon vase de nuit et m’avoir tout fait répandre dans mon lit. » N’ayant jamais été mort

circonstances difficiles, comme lors d'une tragédie par exemple. Ainsi, la comédie traite des sujets légers : mariage, conflits amoureux... le spectateur peut alors pleinement se détendre, et profiter d'une pièce simple et distrayante : il est dans un état d'esprit propre à la comédie, un état d'esprit facilitant le rire. Dans l'École des femmes, l'intrigue porte sur un conflit amoureux entre Arnolphe, Agnès et Horace. De plus, la règle du dénouement de N. Boileau imposant un mariage comme clôture

les modèles des choses, existant en soi, que l'âme contemplait avant son incarnation. Nous fabriquons les concepts, nous contemplons les Idées. C- Le conflit et la crise. • Les conflits et les crises mis en scène (Ionesco parle de « match ») => reflet des conflits et les crises de la société. Par exemple, les conflits entre le maître et le valet de Molière (Arnolphe qui ne se fait pas toujours respecter par Alain et Georgette) ou chez Beaumarchais (on pense à Figaro qui n'apprécie pas du tout que

quoi la pièce montre-t-elle l'imbrication du tragique et du comique ? I] Fin de partie, tragique et tragédie Il faut bien distinguer la notion de tragique, registre qui suscite terreur et pitié face au spectacle d'un personnage en proie à un conflit inévitable et insoluble en raison de la fatalité, et celle de tragédie comme genre défini par des règles dramaturgiques strictes. Fin de partie joue avec le souvenir des règles structurelles de la tragédie. Beckett respecte la règle des unités :

appartient Dom Juan ? Ce genre, quelle place hiérarchique occupe-t-il ? La comédie, jugée comme genre « bas », par rapport au genre noble de la tragédie. Quels sont les caractéristiques de la comédie ? En général, la comédie mêle les classes sociales (valets et nobles), est souvent centrée sur une histoire d’amour qui, d’abord contrariée, finit par pouvoir se vivre entre les amants, avec l’accord de la société. La pièce connaît un dénouement heureux. Que savez-vous de Don Juan ? Qu’il est un éternel séducteur

Résumé de l'action ; Dom Juan Dom Juan est un personnage possédant une bonne poignée de vices. La luxure, l'hypocrisie, le libertinage, et cela est directement montré aux spectateurs par un discours de Sganarelle, dévrivant son maître de « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », athé et anti-religieux (ce qui est très mal vu au XVIIè sciècle). Un discours sur l'amour est prononcé par Dom Juan, où il se dit prêt à toutes conquêtes, libertin. « Aimer une femme

air solennel. Il est le père de deux jeunes filles, ou d’un fils. Cultivé dans certains canevas, il se fait toujours exploité ou trompé par quelqu’un. Son « diable de . valet », Arlequin se joue souvent de lui. Pantalon se fait certes facilement dupé, mais il est aussi très rancunier jusque dans son testament : « Je lègue à mon valet vingt-cinq bons coups de fouet bien sanglés, pour avoir fait un trou au fond de mon vase de nuit et m’avoir tout fait répandre dans mon lit. » N’ayant jamais été mort

qu’il lui a faite de l’épouser, en échange d’une ancienne dette qu’il est incapable d’acquitter. Pour contrer les menées du Comte, Figaro, Suzanne et la Comtesse, mise au courant des projets de son volage époux, ourdissent leurs plans. Le valet fait remettre à son maître un billet anonyme l’informant que la Comtesse a rendez-vous avec un inconnu pendant le bal qui doit suivre la cérémonie. Quant à Suzanne, elle se décide à accorder un tête-à-tête au Comte, où elle enverra un jeune page, Chérubin, costumé