Confrérie de charité

s’est aperçu que tous les hommes sont malhonnêtes et asservis à la tyrannie. Les métaphores, hyperboliques donnent une image concrète du rôle qu’il jouait, avec le champ lexical du costume ou du déguisement : « mes habits neufs de la grande confrérie du vice comme un enfant de dix ans dans l’armure d’un géant » ; « Mes vingt années de vertu étaient un masque étouffant » ; « L’humanité souleva sa robe et me montra […] sa monstrueuse nudité ». Sa relation avec Florence est un amour déçu

a déjà entendus chez Daumer et Feuerbach, qu’on retrouvera, et avec quelle véhémence, chez Gustave Tridon, que Flaubert lui-même reprend dans ses lettres quand il dénonce l’immoralité de l’Évangile et l’abandon du principe de Justice au nom d’une Charité douteuse. Les « déluges de sang humain » dont le christianisme est responsable font partie, on l’a vu, de l’arsenal critique antichrétien contemporain de Flaubert. Mais cela ne sortira pas des avant-textes du romancier. Gisèle Séginger précise que

mince. La liste serait longue des activités qui nous apparaissent inséparables de l’idée d’État et que les États féodaux, pourtant, ont radicalement ignorées. L’e nseignement appartenait à l’Église. De même, l’assistance, qui se confondait avec la charité. Les travaux publics étaient abandonnés à l’initiative des usagers ou des petites puissances locales : rupture entre toutes sensible avec la tradition romaine, voire avec celle de Charlemagne. Les gouvernants ne recommencèrent guère à nourrir de pareils

l'on plaisantait publiquement dans la ville sur son attachement pour l'espèce . M. Valenod était généreux comme un voleur, et lui, il s'était conduit d'une manière plus prudente que brillante dans les cinq ou six dernières quêtes pour la confrérie de Saint-Joseph, pour la congrégation de la Vierge, pour la congrégation du Saint-Sacrement, etc., etc. Parmi les hobereaux de Verrières et des environs, adroitement classés sur le registre des frères collecteurs, d'après le montant de leurs

savait que l’on plaisantait publiquement dans la ville sur son attachement pour l’espèce. M. Valenod était généreux comme un voleur, et lui, il s’était conduit d’une manière plus prudente que brillante dans les cinq ou six dernières quêtes pour la confrérie de SaintJoseph, pour la congrégation de la Vierge, pour la congrégation du Saint-Sacrement, etc., etc. Parmi les hobereaux de Verrières et des environs, adroitement classés sur le registre des frères collecteurs d’après le montant de leurs offrandes

savait que l’on plaisantait publiquement dans la ville sur son attachement pour l’espèce. M. Valenod était généreux comme un voleur, et lui, il s’était conduit d’une manière plus prudente que brillante dans les cinq ou six dernières quêtes pour la confrérie de Saint-Joseph, pour la congrégation de la Vierge, pour la congrégation du Saint-Sacrement, etc., etc., etc. Parmi les hobereaux de Verrières et des environs, adroitement classés sur le registre des frères collecteurs d’après le montant de leurs

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(1953), 249-276. 5020. F. WEYLAND, Amanvillers et ses annexes. Mém. de l'Acad. de Metz 91e année : 1909-1910 (1911), 119-255. Notamment le nom d'Amanvillers : 123-131. Anthroponymie 5021. J.-J. BARBÉ, Les prénoms révolutionnaires 1793-1794. Confrérie de Marie-Immaculée. Œuvre des vocations du Diocèse de Metz (1951), 16-18. 5022. A. BELLARD, Contribution à la connaissance des prénoms usités au XVIIe siècle dans le val de Metz. Annuaire de la Soc. d'Hist. et d'Archéol. de la Lorraine LII (1952)