Confronter La Doctrine Mercantiliste Et Celle Des Classiques

sectaire. Il s'est, peu à peu, substitué au FMI et à la Banque Mondiale comme "sorcière" de l'économie mondiale. Cette image est d'autant plus paradoxale que les textes ne recèlent aucune trace de l'idéologie libérale. En réalité, l'inspiration mercantiliste est beaucoup plus affirmée. Mais il s'agit d'un mercantilisme dominé, apuré de ses aspects les plus conflictuels, et actualisé par la pensée keynésienne. Le second chapitre approfondira la nature de ces fondements doctrinaux qui conditionnent

Qualificatif politique renvoi à l'étude de la nat° tte entiere ( polis = cité ). Eco pol = donc gestion des affaires du souverain ou de l'état --- > approche normative de l'éco qui précise comment bien gérer le patrimoine nationale. Avec les classiques , --- > approche positive en cherchant à décrire, représenter le système éco A.Smith , ds son essai «  nature et causes des richesses des nations » = éco la science des richesses . Approche centrée sur le T

LES MERCANTILISTES ................................................................................................................................................... 15 POINT COMMUN ENTRE CES MERCANTILISMES .............................................................................................................. 16 LES CATEGORIES ECONOMIQUES : CIRCUITS ET EXCEDENT FINAL ................................................................................. 18 LA MONNAIE CHEZ LES MERCANTILISTES ...

représentant du Mercantilisme et l’économie devient la science des richesses à la fin du XVIII ème siècle, elle est définie par son objet et l’idée science fait allusion aux sciences avec l’idée d’insérer l’économie dans les sciences. (COLBERT → mercantiliste français .On parle du retour du colbertisme pour la politique de Gaulle) Depuis la définition à évoluée et de nos jours on parle de l’économie que sciences des choix efficaces donnée en 1947 par Lionel ROBBINS. L’économiste a

la liberté des échanges. La Richesse des nations reste à ce jour un des ouvrages les plus importants de cette discipline (pour Amartya Sen, « le plus grand livre jamais écrit sur la vie économique[1] »). Il est le document fondateur de la théorie classique en économie comme sans aucun doute du libéralisme économique. GenèseAdam Smith entame la rédaction de la Richesse des nations en 1764, alors qu’il est tuteur d'Henry Scott, jeune duc de Buccleugh alors âgé de 18 ans (charge pour laquelle il est

Définition de la démarche scientifique Contrairement à une démarche courante, une hypothèse scientifique n’est pas vraie/vérifiée dans la réalité. Une proposition est scientifique lorsqu’elle est réfutable, c’est-à-dire quand il est possible de la confronter aux faits. Selon ce critère de Karl Popper, si les faits contredisent une hypothèse, on la rejette et on en recherche une autre. L’économie est une science dans la mesure où elle s’efforce de suivre une démarche scientifique, c’est-à-dire que si

que déductif et il est fondamentalement optimiste (il se fixe comme objectif le bien être et le confort plus que la justice idéale et la démocratie absolue). Son livre est construit par opposition aux deux grandes écoles de pensée que sont les Mercantilistes (partisans d’une économie dirigée) et les Physiocrates (pour qui la terre est seule source de richesse). Les fondements d’une pensée 1. Le libéralisme A. « La main invisible » Le premier des deux thèmes

Problématique : A partir de quelques notions extraites des théories économiques des auteurs classiques , nous tenterons de présenter l'évolution de la pensée économique depuis le XVIIe siècle. Plan de la dissertation : I - L'autonomisation des activités économiques Notions abordées : Définition de l'économie – le principe de rationalisation de Max Weber - le libéralisme II - Les classiques Notions abordées : La main invisibles d'Adam Smith – L'équilibre général de Walras– la baisse tendancielle

d'un bien ? »), essentiellement sous l'angle historique. Sujets étudiés : • le mercantilisme (XVIe-XVIIe siècles) p. 1 • la physiocratie (XVIIe-XVIIIe siècles) p. 2 • la révolution industrielle en Grande-Bretagne (1760-1830) p. 4 • Les classiques • Adam Smith (1723-1790) p. 5 • David Ricardo (1772-1823) p. 6 • Thomas Robert Malthus (1766-1834) p. 8 • Karl Marx (1818-1883) p. 8 • Les marginalistes ou néoclassiques • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques

n'est pas neutre, il ne se prive pas pour expliquer comment modifier les grands équilibres. Il se propose d'intervenier de manière politique car il a une conception particulière. Ce n'est pas la meme si c'est l'UMP ou le PS; ceci repose sur des doctrines politiques qui ont des contenus totalement différents. §2. Les méthodes de la sciences économique. A. Approche théorique et approche doctrinale. Il y'a trois dualités: Dans l'économie on peut développer une approche théorique ou doctrinale