Congrégation pour les évêques

1780, la noblesse combat l’absolutisme puisqu’elle a été exclue du jeu du pouvoir. Le droit divin est une conception beaucoup plus ancienne que l’absolutisme. Il est là, sous-jacent de la monarchie dès le 751, du sacre de Pépin le Bref par les évêques. Il a fallu attendre le 16ème siècle pour que ces théories soient explicitées (en réaction aux guerres de religions, et aux théories protestantes qui cherchent à minimiser l’autorité royale). Il s’agit d’une réponse aux thèses protestantes. §1->

socialistes de Millerand, le ministre du commerce de ce gouvernement. Il agit dans un sens vigoureusement républicain : Dreyfus est grâcié. Les chefs nationalistes sont poursuivis. La loi de 1901 établit la liberté d' association sauf pour les congrégations religieuses, qui doivent demander l'autorisation de la chambre des députés pour exister. Sous l' impulsion de Millerand, on constate quelques avancées en matière de législation sociale. Ce gouvernement reste en place trois ans, jusqu'aux élections

10e et 11e siècles se prolonge. Si les foires de Champagne déclinent, c’est au profit de celles de Chalon-sur-Saône, de Lyon et de Beaucaire. Comme il est normal, la renaissance du commerce crée un besoin de numéraire. Les grands seigneurs et les évêques frappent des monnaies d’argent ; les villes italiennes, comme Venise, qui s’enrichit par le commerce avec Byzance, parfois des monnaies d’or. Saint Louis donne prééminence à la monnaie royale d’argent et la fait accepter dans tout le royaume. En

institutionnels et juridiques de l’Empire romain. Elle va choisir le diocèse et installer un évêque par diocèse. De chaque district, elle fera une paroisse avec un prêtre dans chaque paroisse (Il a le soin des âmes d’où le terme « Curé »). L’Eglise est centralisée, c’est l’héritage romain. A sa tête, un chef unique élu à vie et qui recevra de l’Eglise, l’autorité qu’il exercera sur elle. Seuls le pape peut désigner des évêques qui éliront les prêtres. La structure du pouvoir judiciaire sera empruntée à l’Empire

régions en 1790. Le Brabant se soulève dans un mouvement qu’on pourrait qualifier de réactionnaire. La principauté de Liège, aux mains d’un prince-évêque conservateur, voit apparaître une révolte à caractère plutôt progressiste. Les Autrichiens ont repris en main le contrôle de la situation : ils ont reconquis le Brabant et rétabli le prince-évêque à Liège. Cependant, cela serait sans compter avec l’expansion de la France révolutionnaire… B. LE RÉGIME FRANÇAIS 1. L’annexion par la France

articles organiques. Ils concernent l’église catholique mais aussi les églises protestantes. Seuls les Juifs restent à l’écart. Cette réorganisation s’opère. Côté catholique, synthèse de l’église constitutionnelle et réfractaire. On nomme de nouveaux évêques. On fait table rase du passé. Côté protestant, organisation d’églises pour les calvinistes et une autre pour les luthériens. L’objectif pour eux tous, est que l’Etat est un droit de regard sur les cultes. Contrôle de l’Etat sur les religions. Contrôle

restent des Allemands. Une partie d’entre eux (comme en France les gallicans) rejettent le dogme de l’infaillibilité. Leur persécution risque de nuire à l’unité : le tiers des Allemands est catholique. Les mesures. Bismarck s’appuie sur les évêques allemands restés hostiles à l’infaillibilité pontificale d’autant que les « vieux catholiques » ont subi l’assaut des ultramontains en se voyant interdire l’enseignement de la théologie dans les séminaires. Il prend toute une série de mesures contre

curés et évêques des fonctionnaires. À la fin de l'Empire, les classes populaires parisiennes sont assez hostiles au catholicisme, très lié au régime impérial et aux conservateurs. L'anticléricalisme a été revigoré par la propagande blanquiste, très athée, et par l'attitude du pape Pie IX face à l'unification de l'Italie. Le 2 avril, la Commune décrète la séparation de l'Église (catholique) et de l'État, la suppression du budget des cultes, la sécularisation des biens des congrégations religieuses

théologie LE MINISTÈRE SACERDOTAL   INTRODUCTION I LA CONDITION SACERDOTALE DANS LE MONDE DE CE TEMPS A) LES SYMPTÔMES DE LA CRISE ACTUELLE 1. Abandons multiples du ministère sacerdotal 2. Diminution du nombre des vocations 3. Conflits entre évêques et prêtres B) CHANGEMENTS DE MENTALITÉ ET RACINES SOCIOLOGIQUES DE LA CRISE 1. Vues générales 2. Aspects particuliers a) Modification de l’image classique du prêtre à l’intérieur de l’Église b) L’Église et le monde c) Crise de l’Église NOTES :

sur la foule. Il passe à l’ennemi chez les Autrichiens en août 1792. Il sera emprisonné jusqu’à la fin de la Révolution. • Les « malins » -Sieyès (1748-1836) : il organise le coup d’Etat de Brumaire. -Talleyrand (1754-1838) : évèque. Personnage intelligent mais sans scrupule. Homme de la Constituante. Pousse l’Eglise à donner ses biens à la Nation (deviendront donc des biens nationaux). Il est un des hommes clés du parti anglais. -Barras : homme fort du directoire.