Conjuration de Catilina

privilèges de l’aristocratie. Il sera assassiné. La guerre sociale Guerre des alliés contre Rome en raison de l’assassinat d’un tribun de la Plèbe Livius Drusus en 91 av JC qui voulait donner la citoyenneté à tous. Les Marses vont prendre la tête de la conjuration des italiens. Ils souhaitent en finir avec la puissance dominante. Ils constituent un véritable Etat fédéral avec pour capitale Italica qui doit supplanter Rome. Il y a même une création de monnaie où on voit le Taureau terrassant la louve. -> Finalement

se faire des ennemis et le premier d’entre eux est Lucius Sergius Catilina. Ce dernier candidat malheureux lors des élections pour le consulat ne rêve que d’une chose, prendre le pouvoir. Cicéron, en homme d’État prudent, est tenu au courant des plans de son adversaire et parvient à le mettre hors d’état de nuire. Quatre ans plus tard, le parti populaire qu’il avait mis hors d’état de nuire a un nouveau chef après la mort de Catilina. Profitant des circonstances favorables, Clodius fait perdre le pouvoir

Première Catilinaire, exorde1 On vient de dévoiler à Cicéron, consul (69 av. J.-C.), les plans de la conjuration de Catilina. Cicéron met Rome en état de défense contre cette tentative de prise de pouvoir, et comme Catilina ose venir au Sénat, il prononce contre lui devant tous les sénateurs un discours véhément, la Première Catilinaire : « Jusques à quand abuseras-tu de notre patience, Catilina ? Combien de temps encore serons-nous ainsi le jouet de ta fureur ? Où s’arrêteront les emportements

Première Catilinaire, exorde1 On vient de dévoiler à Cicéron, consul (69 av. J.-C.), les plans de la conjuration de Catilina. Cicéron met Rome en état de défense contre cette tentative de prise de pouvoir, et comme Catilina ose venir au Sénat, il prononce contre lui devant tous les sénateurs un discours véhément, la Première Catilinaire : « Jusques à quand abuseras-tu de notre patience, Catilina ? Combien de temps encore serons-nous ainsi le jouet de ta fureur ? Où s’arrêteront les emportements de

la mort de l’empire s’est posé bien avant que celle-ci n’intervienne. On analysera cette décadence en termes de prolétariat intérieur et extérieur (Toynbee). Il en va de même pour la décadence athénienne telle qu’éclairée par Salluste (La Conjuration de Catilina). Une explication d’ordre religieux : si les ennemis extérieurs demeurent les barbares, les ennemis intérieurs deviennent les péchés : l’idée de décadence s’alourdit de tout le poids d’une faute. Au XVIe siècle, l’Antiquité est valorisée

chef de la religion romaine. Tous les Empereurs ont été Grands Pontifes. En 2 av. J.-C, il reçoit un titre honorifique : il est proclamé pater patriae c’est-à-dire Père de la patrie. C’est un titre républicain, donné à Cicéron en 43 après la Conjuration de Catilina. C’est pour remercier des services rendus à l’Etat. Cette accumulation de pouvoirs acquis progressivement n’est pas très bien acceptée par l’élite. Mais A. Renforce leur prestige. L’élite sent bien qu’elle perd son pouvoir politique mais

hyperspécialisation des métiers à cette époque à Rome. Cette population est souvent mal loger, endetté, elle connait des problèmes alimentaire régulier se qui peut expliquer la présence de ces citoyens pauvres au sein de complots, de conjurations. Par exemple la conjuration de Catilina qui tente de prendre le pvr par la force. Face à cette menace les autorités on mit en place des distributions de blé à prit réduit. En 123 av JC c'est la première loi frumentaire = distribution de blé à prit réduit pour abaissé

passé. De ce fait, même les régimes les plus autoritaires parviennent de plus en plus mal à cacher à leur population les réalités - et notamment les réussites - du monde extérieur. Comme l’écrivait l’historien romain Salluste au début de sa Conjuration de Catilina, « les choses humaines ont un commencement, mais aussi une fin ». L’État moderne, qui a commencé sous les auspices de l’absolutisme monarchique, et abouti à l’État-nation démocratique et contemporain, a sans doute épuisé sa force créatrice

pour Stoïcisme (Rhodes, Vertu recherchée par maitrise de soi et courage) et de l’épicurisme (Lucrèce le représente bien). Intrusion de la vie à la grecque. => ainsi souvent luxe serait la cause du déclin de Rome cf. Caton, Salluste conjuration de Catilina Chapitre 6 | Crise et fin de la république | Guerres serviles, guerres sociales, crise gracquienne, ensuite souci ambition personnelle. Dernier siècle de la république : VIOLENCE domine + effondrements des valeurs traditionnelles

lieu à un nouveau siège, à de nouvelles violences. Par la suite, les factions politiques et aristocratiques s’affrontent pour le contrôle de la Ville. En 63, la conjuration de Catilina fait peser la menace d’un coup d’Etat. Cicéron affirme redouter (non sans quelque exagération parfois) des actions violentes qu’auraient fomentées Catilina. Le complot est dénoncé et la répression frappe ses partisans. Peu après, dans les années 50, la lutte fait rage dans les rues de Rome livrées aux bandes de Clodius