Conquête musulmane du Maghreb

dispute entre grandes puissances. Ils semblent avoir perdu une carte majeure qui leur donnait du poids dans les relations internationales. Cette civilisation arabo-musulmane est prise entre la fidélité d'un passé, référence des fondamentalistes, et la nécessité d’évoluer dans les domaines techniques et vers la démocratie. Alors que le Maghreb est plus attiré, traditionnellement francophone, par et lié à l’Europe, le Machrek, anglophone, qui a connu six guerres majeures depuis 1948 et une dizaines d’autres

recoupe tous les droits latins, les droits germaniques, les droits scandinaves, les droits slaves, y compris le droit soviétiques d’avant 1991. Elle recoupe aussi tous les droits d’Amérique du Sud & Centrale, elle influence toute l’Afrique francophone (Maghreb, Afrique Noire). Elle influence aussi les deux grands Etats arabisés : La Turquie & l’Iran. Le droit privé japonais & Indonésie & Thaïlande, Madagascar & l’Ethiopie. Cet esprit commun est le fondement du droit dans ces pays ; la règle est écrite

dieux et aux prophètes [1]», semble, paradoxalement, les voir réapparaître à travers des discours qui prônent la référence aux textes sacrés en tant qu'unique critère de l'organisation de la vie publique: revendications de territoire, tentatives de conquêtes du pouvoir, militantismes volontiers violents visant à restaurer l'ordre social. Les revitalisations religieuses aux prétentions politiques font saillie sur le mur uniforme de la rationalité formelle désenchantée. La sociologie, qui avait eu tendance

Puma qui, pour souligner les quarante ans des Émirats Arabes Unis, a créé et mis en ventes une chaussure à l'effigie du drapeau national. Toutefois, le produit est aussitôt retiré suite à l’indignation de la population, car, dans les pays arabo-musulmans, la chaussure, étant constamment en contact avec le sol, est de manière symbolique en contact avec les impuretés : le drapeau symbolique ne peut donc se mêler à cet aspect dégradant que véhiculent les pieds et la chaussure. L’article La maladresse

celui des pertes civiles (88) de plus de 85% (633 en 2002). Le terrorisme s’établit à un niveau sans commune mesure avec les années 1993-1998. Pour autant, le Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), rebaptisé Groupe Al-Qaeda au Maghreb islamique, continue à frapper de plus en plus régulièrement, et fait de nombreuses victimes (attentats du 11 avril 2007, 3 attentats en septembre 2007, attentat du 11 décembre 2007 qui a fait plus de 40 victimes, 2 attentats en janvier 2008, 3 attentats

s’élabore dans la douleur du côté des indiens. En effet, cette même année 1946, des heurts sanglants opposent les indiens hindouistes et les indiens musulmans. Sous l’impulsion de leur leader Mohamed Ali Jinnah, chef de la Ligue musulmane, les indiens de religion musulmane veulent obtenir une partition de l’inde pour créer leur propre Etat musulman et indépendant. De leur côté, pressés d’en finir, les anglais finissent par donner leur accord à ce projet. Et c’est le célèbre lord Louis Mountbatten

DES INSTITUTIONS ET DU DROIT FRANÇAIS 5 e-18e SIÈCLES INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT - d’autre part les nombreux systèmes juridiques qui existent ou ont existé ailleurs dans le monde : ainsi les droits non occidentaux, surtout les droits musulman, hindou, chinois et africains. [cf. encadré p. 6-7] • De manière plus générale, les sources de l’Histoire (et donc de l’histoire du droit), ce sont les documents qui permettent de la connaître : outre les objets, qui relèvent plutôt de l’archéologie

d’une ambition démesurée. Fin de l’immense empire français. Napo, par ses victoires successives, voulant vaincre l’Angleterre, avait créé le blocus continental pour ruiner commercialement l’Angleterre, ce qu’il l’a conduit à une succession de conquêtes qui ne tenaient pas compte des réalités politiques de l’Europe. Rêve fou de transformer Europe en jardin français. 1811 : France a 111 départements. Des chefs lieux hallucinants : Hambourg, Rome (bouches du Tibre). L’Empire : les Etats vassaux :

Mahomet[1], né à La Mecque en 570, le 12 du mois de Rabî`a al Awal, et mort à Médine en 632, est un chef religieux, politique et militaire arabe (de la tribu de Quraych) qui a fondé l'islam. Les musulmans le considèrent comme le dernier des prophètes du monothéisme, au sens où il termine et scelle le cycle de la révélation monothéique abrahamique[2]. Ses biographies rapportent qu'il récitait à ses premiers compagnons (sahabas) les versets du Coran qu'il présentait comme la parole même de Dieu

structure familiale, les institutions politiques, les concepts philosophiques, les éléments religieux ou rituels, les arts plastiques et graphiques, les arts du mouvement, le son et le verbe. Nous ne nous étendrons pas sur la vocation africaine du Maghreb et de l’Arabo-bérbère. Bien que la plupart des spécialistes de l’Afrique, surtout en littérature, sont en retard de plusieurs “phases” littéraires - ils tournent encore autour des thèmes archi-connus, archi-typés et archi-périmés, de la “négritude”