Conseil de stabilité financière

PROJET DE COMMUNIQUE DE PRESSE PARTIE UEMOA Le Conseil a, dans le cadre de la surveillance multilatérale, examiné la situation économique et financière des économies de l’Union en 2008 et les perspectives qui en ressortent en 2009. Il s’est préoccupé des conséquences de la crise économique actuelle, qui affectent déjà les économies de l’Union, à travers divers canaux. Il a également noté qu’en dépit de l’accroissement de la production vivrière, la hausse des prix des denrées alimentaires persiste

institutionnelles * 5.1 Évolutions nées de la crise grecque * 5.1.1 Création d'un mécanisme temporaire de gestion des crises autour du Fonds européen de stabilité financière et de la coopération avec le FMI * 5.1.2 Une évolution du rôle de la Banque centrale européenne * 5.2 Renforcement du pacte de stabilité * 5.2.1 Grandes lignes * 5.2.2 Critiques et le débat au parlement européen sur la question * 5.3 Pacte pour l'euro * 5.3.1 Grands traits

Sujet : L’OMC et le FMI la Complémentarité entre ces deux institutions Introduction : L’OMC et le FMI sont deux organisations internationales qui visent à assurer l’ouverture des pays au commerce international et assurer la stabilité financière des pays membres. Chacune d’entre elles a ses caractéristiques et ses objectifs qui la distinguent mais finalement ces deux institutions sont complémentaires. C’est quoi l’OMC ? Sur quoi portent ses accords ? Et quelles sont ses activités ?

surveillance des économies : afin de maintenir la stabilité et de prévenir les crises du système monétaire international, le FMI examine les politiques économiques des pays, ainsi que l’évolution économique et financière à l’échelle nationale, régionale et mondiale. Le FMI prodigue des conseils à ses 187 États membres, encourage des politiques visant à assurer leur stabilité économique, à réduire la vulnérabilité aux crises économiques et financières, et à accroître les niveaux de vie. Par exemple

Nationales des Etats membres de la zone euro. Quant au Système européen des banques centrales (SEBC), il contient en plus les BCN des autres Etats de l’Union Européenne, qui n’ont pas adopté l’euro. La BCE a pour principal objectif de maintenir la stabilité des prix à moyen terme, favorisant alors une croissance économique soutenue. Garder un faible taux de chômage et une inflation inférieure à 2% sont ses deux priorités. La BCE doit remplir quatre missions fondamentales, selon son site officiel :

grandes phases intégralement opposées dans la mise en œuvre de sa Politique Monétaire. D’abord, une phase qualifiée de Répression Financière, allant de l’indépendance à la fin des années 80, caractérisée par une politique basée sur des procédés d’interventions à caractères réglementaires contraignants. Puis, une deuxième phase, qualifiée de Libéralisation Financière, allant du début des années 90 à nos jours, durant laquelle, nous assistons plutôt à une orientation vers une politique monétaire

d’assurance et les mutuelles afin de protéger les clients et les assurés, et de garantir la stabilité financière. Institution de la République, la Banque de France rend des services qui contribuent à l’équilibre des relations entre les acteurs économiques : médiation du crédit, traitement du surendettement des particuliers, gestion de fichiers de renseignements. La Banque de France, garant de la stabilité monétaire. Formé par la Banque centrale européenne (BCE) et les banques centrales nationales

de garantir la stabilité financière, de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi, à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté[1] ». Le FMI a ainsi pour fonction d'assurer la stabilité du système monétaire international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l'organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système

1999) : le mieux serait que les chocs économiques soient communs à la zone. Le flottement du taux de chance de la monnaie servirait de variable d’ajustement. * Deuxième critère : celui de Ingram en 1959 : il souligne l’importance de l’intégration financière et donc de la mobilité des capitaux dans la zone. * Troisième critère : celui de McKinton en 1963 : plus les économies commercent entre elle, plus il est pertinent de créer une ZMO. Car une ZMO supprimerait les taux de changes entre ces pays

sur les exigences en matière de solvabilité bancaire et d’autre part, sur la surveillance du risque de liquidité, est très structurante pour les banques. Les banques françaises favorables à ce projet dont les enjeux sont essentiels pour la stabilité financière, s’inquiètent cependant des conséquences de certaines propositions inadaptées voire excessives qui pourraient avoir un impact négatif sur la croissance en Europe. Il est en effet essentiel que la réforme permette de maintenir la capacité des