Conseil régional de la Martinique

Laura TOUSSAINT Master I Management et Commerce International Option Tourisme 2009-2010 Comment améliorer la qualité touristique de la Martinique Hôtel BAKOUA, 97229 TROIS ILETS Tuteur de stage, Mr Pascal MEGARD Tuteur universitaire, Mr Laurent ARCUSET 2 Sommaire Remerciements ..................................................................................................................... 5 Résumé .........................................................................

l'assemblée. I-Des collectivités territoriales pourvues de compétences étendue . A-Des collectivités administrées par des conseils élus. Régions → collectivités depuis 1982 : Loi Defferre. Le nombre de personne élus a l'assemblée ( conseil régional ) est proportionnelle a la population de la région. Cette assemblé désigne des présidents qui forment l’exécutif régional : pendant 6 ans. B- Des compétences élargie. Ces régions exercent des compétences élargie depuis les années 80.

Biographie [modifier] Les jeunes années [modifier] Aimé Césaire faisait partie d'une famille de sept enfants ; son père était fonctionnaire et sa mère couturière. Son grand-père fut le premier enseignant noir en Martinique et sa grand-mère, contrairement à beaucoup de femmes de sa génération, savait lire et écrire ; elle enseigna très tôt à ses petits-enfants la lecture et l'écriture[2]. De 1919 à 1924, Aimé Césaire fréquente l'école primaire de Basse-Pointe, où son père est contrôleur des contributions

territoire (délimité par des frontières) et un pouvoir politique (qui représente la nation et élabore les lois et règlements). La tutelle de l’Etat s’exerce sur : le territoire métropolitain ; les départements d’outre-mer (DOM) ; (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion) ; les territoires d’outre-mer (TOM) (Nouvelle Calédonie, Polynésie française, Wallis et Futuna, Terres australes et antarctiques françaises) ; les collectivités territoriales (Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon). Les institutions de

territoire (délimité par des frontières) et un pouvoir politique (qui représente la nation et élabore les lois et règlements). La tutelle de l’Etat s’exerce sur : le territoire métropolitain ; les départements d’outre-mer (DOM) (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion) ; les territoires d’outre-mer (TOM) (Nouvelle Calédonie, Polynésie française, Wallis et Futuna, Terres australes et antarctiques françaises) ; les collectivités territoriales (Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon). Les institutions de

L’élection au suffrage universel direct assure l’exercice de la démocratie locale. Réforme comité Balladur : élection des représentants des EPCI au suffrage universel direct : donner une plus forte légitimité à leur mandat. Election des conseillers territoriaux au suffrage universel direct à 1 tour : légitimité renforcée, mais discussion sur le caractère « anti pluri- partiste » de ce mode de scrutin. ( Moyens supplémentaires de pression Législateur intervient pour améliorer la démocratie

pense aux s Antilles franç aises (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Saint Martin, Saint Barthé lemy), en mer des Caraï La Guadeloupe (et ses dé bes. pendances actuelles dont Marie Galante et La Dé sirade), dé couverte par Christophe Colomb en personne en 1493, a é colonisé par les Franç àpartir té e ais de 1635. L’île était habitée par des indigènes Caraïbes qui avaient réussi à faire échouer les tentatives espagnoles puis franç aises pré dentes. La Martinique dé cé couverte par Colomb en 1502 fut elle

Édouard Glissant Édouard Glissant, né le 21 septembre 1928 à Sainte-Marie en Martinique et mort à Paris le 3 février 2011[1] est un écrivain, poète et essayiste français. Fondateur des concepts d'« antillanité », de « créolisation » et de « tout-monde », il était « Distinguished Professor » en littérature française, à l'université de la Ville de New York et président de la mission de préfiguration d'un Centre français consacré à la traite, à l'esclavage et à leurs abolitions. 1 Biographie

Histoire de la Martinique L'histoire de la Martinique est relativement récente en raison de son peuplement tardif. L'île est habitée de façon intermittente par différents peuples amérindiens jusqu'à leur extermination par les occidentaux à la suite de l'installation des Français en 1635. À partir des années 1670, la déportation massive d'esclaves noirs africains bouleverse une nouvelle fois la composition de la population de l'île. L'histoire de la Martinique est marquée par les guerres d’influence

1979 (début de l'élection du Parlement au suffrage universel direct)[9]. Aux conseils régionaux, la proportion de femmes est de 48 % (902 femmes) en 2010, et était de 47,6 % en 2004, 27,5 % en 1998, 12,1 % en 1992 et 9 % en 1986. Au conseils généraux, elle est de 13,1 % (264 femmes) en 2008, et était de 8,6 % en 1998, 4,1 en 1988, 4,3 % en 1979, 1,3 % en 1970 et 1,1 % en 1961. Enfin, la proportion de femmes dans les conseils municipaux est de 35 % en 2008 (181 608 femmes), contre 21,7 % en 1995, 14