Consequence De La Polygamie

la bigamie La polygamie est interdite en France, si le mariage est célébré en dépit de cette précaution alors qu’un des époux est déjà engagé dans les liens du mariage on dit qu’il y a bigamie. Le second mariage doit être annulé; deux fois sur trois la bigamie et sanctionnée (1 an d’emprisonnement et 45 000€ d’amende). Elle plus fréquente lorsque le mariage est célébré à l’étranger entre une française ou un français et un étrangers dont la loi personnelle autorise la polygamie. Selon la jurisprudence

d’Afrique et d’Europe, sous quelle forme assurer l’égalité entre l’homme et la femme sous le rapport de la succession ab intestat ? Le conjoint survivant tient-il sa vocation successorale d’un lien de parenté avec le de cujus ou celle-ci est-elle une conséquence du mariage ? Le droit d’usufruit du conjoint survivant doit-il être transformé en droit en pleine propriété ? Dix sept ans environ après sa promulgation, la loi du 30 décembre 1989 a-t-elle atteint les objectifs qu’elle s’était fixés ? Les textes

perdait la garde de ses enfants si elle se remariait. Ce n’est plus le cas depuis quatre ans. La nouvelle Moudawana a aussi relevé l’âge légal du mariage pour la femme, de 15 à 18 ans, comme pour les hommes. Enfin, si elle n’a pas interdit la polygamie, elle a rendu ses conditions plus compliquées. Une véritable avancée pour les femmes… sur le papier, en tout cas. Car si personne dans le pays ne remet en question le bien-fondé de cette réforme, elle peine à s’appliquer correctement, faute de

principale victime. En effet, on entend par grossesse précoce, une grossesse qui survient en bas âge, CAD avant 18ans ; quant la jeune fille sort à peine de l’enfance ou est encore enfant elle-même. Naturellement les causes en sont multiples, et les conséquences très fâcheuses, d’où l’urgence d’extirper ce mal social. Elles sont très nbreuses les jeunes femmes à donner la vie. A la Réunion, en avril 2008, un comité de pilotage mise en place par le préfet, planche sur le sujet afin d’élaborer des actions

examiné en vue de son mariage. Les résultats n’étaient communiqués qu’à l’intéressé et pas au futur conjoint, avec toutes les conséquences que cela pouvait avoir. Désormais, le certificat prénuptial à disparu. Les interdits matrimoniaux. La loi pose traditionnellement deux interdits : Interdictions des mariages polygamiques L’inceste La polygamie. Selon une expression du doyen Carboni « le principe de monogamie est une clé de voute de la civilisation européenne

significative de la complexité des problèmes juridiques que pose l’immigration en général et celle des musulmans en particulier. L’accueil du droit musulman de la famille rencontre plusieurs difficultés que le juriste Jean Déprez a mises en relief : « Polygamie et répudiation, inégalité de l’homme et de la femme dans les rapports entre époux et l’exercice de l’autorité sur les enfants, survivances du patriarcat, conditions de religion en matière de succession, de mariage, de garde d’enfants, refus de la

se différencient puisqu’elles reflètent l’expérience vécue de peuples séparés géographiquement, n’ayant pas les mêmes besoins et impératifs de survie. Ainsi l’ethnologie révèle des différences notables dans les structures de parenté (monogamie, polygamie…), dans les rites de politesse ou l’expression des sentiments amoureux, etc. Cette diversité n’est pas un hasard : les cultures « cultivent » leurs différences. Lévi-Strauss a révélé que plus la proximité géographique est grande, plus la différenciation

conjoints………………………… 12 3. Types de mariages……………………………………………………………………… 13 B. Causes du mariage précoce au Maroc : 1. Causes légales 12 2. Causes religieuses 15 3. Causes logistiques 17 4. Causes socio-économiques 19 C. Les conséquences du mariage précoce au Maroc…………………….20 Partie II : Solutions au problème : A. Solutions juridiques……………………………………………………….22 B. La sensibilisation…………………………………………………………..24 C. Nos propositions…………………………………………………………24 Partie III :

jeune f i l l e e t l e mariage, l a v i e f a m i l i a l e dans s e s d i f f é r e n t s c o n s t i t u a n t s e s t abordée: l e cadre de v i e e t particulièrement l'espace, les s t r u c - t u r e s matrimoniales oh prédomine l a polygamie, les r e l a t i o n s conjugales q u i placent l a femme en s i t u a t i o n de dépendance; l a fécondité, plus f o r t e i c i qu'en m i l i e u r u r a l , confirme l a femme dans son r ô l e reproduct e u r , e n f i n les a c t i v i t é s

famille sur l’enfant, en ne se limitant point à transformer son affectivité en vue de l’accommoder à la vie de la communauté, dépouille celui-ci de toute fonction sociale (Rwenge, 1999). La multiplication des foyers monoparentaux à la faveur de la polygamie et des ruptures d’union et des recompositions en une structure acéphale ou sans lien parental, on assiste à la déstructuration de l’entité familiale qui a pour corollaire la perte de contrôle sur la progéniture (Ngueyap, 1997 ; Rwenge, 2000). La