Consequence Negatives 30 Glorieuses

2. La division du travail selon Adam Smith. Adam Smith montre l’intérêt de la division du travail dans son livre La Richesse des nations (1776). Pour lui, « l’opulence naît de la division du travail », car la division du travail a pour conséquence positive d’accroître la production et la productivité de chaque travailleur. La division du travail augmente l’efficacité du travail humain dans la mesure où l’on constate : - l’accroissement de l’habileté des travailleurs lié à la spécialisation

Cours La France en ville Centres, périphéries et dynamiques urbaines en France G. Makhlouf Introduction Définition de la ville : objet difficile à définir et à délimiter depuis les années 30. flou entre les limites ville/campagne. comment délimiter la ville ? par des critères statistiques, qualitatifs … ? Rappel : définition de l'INSEE aire urbaine = pôle urbaine + couronne périurbaine Pôle urbain : unité urbaine (+ de 2000 habitants agglomérés, pas+ de 200 m entre chaque habitation)

Économique Supra-Étatique * Association d’États qui acceptent de délaisser certains pouvoirs dans le but de mettre en commun des intérêts pour agir sur la sphère macroéconomique. Les mesures adoptées peuvent mener à des répercussions positives ou négatives sur les pratiques et structures des différents acteurs nationaux. Points Communs : Agissent au-delà des frontières nationales Influencées pas des intérêts nationaux Mises sur pieds et contrôlées par des gouvernements Contexte Historique :

L’accroissement naturel de la population : lorsque des classes d’âge « creuses » se présentent sur le marché du travail et remplacent des classes d’âge « pleines », la population active augmente faiblement. Cela a été le cas en Europe pendant les 30 glorieuses. A l’inverse, lorsque des « classes pleines » (celles du baby-boom) prennent la place des classes « creuses » (celles de l’entre-deux-guerres en Europe), la population active augmente fortement. Cela a été le cas en Europe au cours des années 1970

économique des années 30. Keynes est un capitaliste convaincu mais modéré, il est conscient des imperfections du marché, dont il critique le libre fonctionnement (vision libérale) et il tente de proposer des solutions à ces imperfections qui passe souvent par une intervention de l'Etat. La question provocatrice “Faut-il brûler Keynes ?” pose avant tout le question de la valeur à accordé à l'héritage keynésien. Le terme brûler, très fort et qui rappelle les autodafés nazies des années 30 donne au débat

consommation et ce qui permet au chinois de consommer plus est la croissance. Le PIB a augmenté de 5% par an et par hab il a triplé, revenus ont augmenté à peu près au mm rythme et la consommation aussi. Donc le pouvoir d’achat des ind a triplé pdt les 30 glorieuses. En Chine, les revenus et la conso n’ont pas autant augmenté que la production car les salaires versé n’augmente pas aussi vite que la productivité par tête donc taux d’épargne car ne consomme pas tout et permet d’investir. Dans les 70’s, les salaires

centrale aura pour conséquence une hausse de l'endettement des ménages qui vont se mettre à acheter plus de biens. Dans ce cas, la croissance part à la hausse (la quantité de transaction dans l'économie aussi) et s'il y a bien une hausse des prix, celle-ci sera compensée par le fait qu'une hausse de la croissance engendrera une hausse de l'emploi et donc des revenus au niveau global – c'est ce qui est montré par la courbe de Phillips, faisant apparaître une relation négative entre chômage et inflation

s'explique par la plus grande longévité des femmes. La population comprise entre 30 et 60 ans est globalement en saillant. Ces classes pleines représentent la génération du baby-boom. Ce phénomène a été particulièrement long en France. Il débute dès 1941 (les soldats français n'étaient alors plus mobilisés) et se poursuit jusqu'au début des années 1970, soutenu par la période de forte croissance économique (les Trente Glorieuses). Ce baby-boom a eu un effet de rajeunissement considérable sur la population

(1948) II) Catégories fondamentales : 2.1 La foule : c’est une réunion d’individus en grand nombre (100 à 1000 ind), sur 1 même lieu au même moment, qui n’ont pas cherché à se réunir, ont une même motivation individuelle qui peut être positive ou négative. Les individus présentent un état psychologie particulier : - passivité de tout ce qui ne concerne la satisfaction immédiate de la motivation individuelle - l’absence de relation interpersonnelle et contacts sociaux - phénomène de contagion

d’achat, les ouvriers vont pouvoir à leur tour acheter des produits Ford : ce sont les premiers pas vers une société de consommation de masse. Paternalisme : né au XIXème siècle, quand les patrons ont de vrais projets de vie pour leurs salariés Les conséquences de cette politique : - croissance spectaculaire du nombre de voitures produite (1910 120 000 ; 1927  5 000 000 donc la production est multipliée par 40) - productivité meilleure (1910  14h ; 1927 : 1h20 donc le nombre d’heures est divisé par