Conservatism

Idéologie et identité, du pareille au même? De gauche à droite, démocratie à absolutisme et communisme à conservatisme nous pouvons dire que les individus tout autant que les temps ont changé. En fait, nous affirmons que les temps ont effectivement changé et bien sûr si les temps change les individus en font pour autant. C'est-à-dire que, en fonction du temps la société développe de nouvelles idéologies ce qui crée une nouvelle identité pour non seulement le peuple mais, chaque personne individuellement

caractérisé par cet état d'esprit qui s'est installé au sein de la communauté scientifique et qui considérait que les lois et théories acquises jusqu’alors constituaient une base certaine et ne doivent en aucun cas, être remises en cause. Ce type de conservatisme et de soumission envers le paradigme régnant continu jusqu’au moment où un esprit hors du commun lui portera des coups durs et cela n'advient, en général que lorsque la théorie accumule des objections, des contradictions et des problèmes non résolus

croissance illustre l’essoufflement de l’économie soviétique : les équipements sont vétustes, les investissements insuffisants, la production de mauvaise qualité. -Quand Brejnev meurt en 1982, le régime est figé, les institutions immobiles, le conservatisme généralisé, la gérontocratie stérilisante, la société étouffée. Le modèle soviétique a perdu beaucoup de son pouvoir d’attraction, quels que soient les acquis et les progrès qui ont pu survenir pendant cette longue période. Dès la mort de Staline

aussi. Grands projets agricoles, comme la mise en valeur des steppes du Kazakhstan, mais c'est un échec. Succès spectaculaires dans la conquète de l'espace. Mais Krouchtchev se heurte à l'hostilité de la nomenklatura. En 64, il est évincé. Conservatisme et stagnation Direction collégiale mise en place, avec à sa tête Brejnev, principal représentant de la nomenklatura, de 64 à 82. Immobilisme, période de stagnation (zastoï). Seul parti autorisé : le PCUS. Tentative de réforme des entreprises

la foi en la démocratie d'un citoyen américain lui ont permis de devenir une icône . Il montre la lutte pour la reconnaissance des droits des "gays", dans un pays où de rares oasis de liberté peinent à éclairer dans un contexte marqué par un conservatisme moral encore très majoritaire à San Francisco des 1970's . Cette lutte va être incarnée par un personnage opiniâtre et charismatique, Harvey Milk[->0], qui saura fédérer sa communauté et bien au-delà, pour devenir le premier homme politique ouvertement

(ici) est novateur dans une société d’Ancien Régime très inégalitaire. - Le valet tutoie son maître (qui le vouvoie), use de l’impératif et se permet de prendre de haut les maîtres à qui il s’adresse. 2. Mais un conservatisme involontaire- Comme le dit Silvia : « Aucun de ces deux hommes n’est à sa place ». Ce qu’elle dit ici involontairement, c’est qu’être gentilhomme ne s’improvise pas (« on est homme de mérite à bon marché » ajoute-t-elle dans un aparté l. 10). Alors

Dystopie et conservatisme D'autres critiques envisagent la dystopie comme un genre essentiellement conservateur et réactionnaire, œuvrant à l'encontre des forces du progrès social. En effet, en s'opposant à des courants idéologiques en plein essor au moment de sa rédaction, la dystopie défend de fait le statu quo et valorise implicitement le présent, fût-il critiquable, au détriment des projets progressistes. Cet avis est celui de Régis Messac qui, pendant l'hiver 1936-37, publie La Négation

concerne l’applicabilité de la loi. Exemple loi anti-perruche) La jurisprudence est donc une véritable source de doit même s’il est bien évident que toutes les décisions jurisprudentielles ne se valent pas. La jurisprudence hésite entre le conservatisme et le progrès elle reproduit souvent ce qui a été jugé, mais elle recherche également l’évolution. Ce qui est sur c’est que la jurisprudence est un droit savant, parfois intolérant même si la cour de cassation est capable d’attitude généreuse

égalitaires. * Pourquoi démocratie en Amérique ? Rôle de la religion ; répartition de la terre ; le fédéralisme américain * Les risques de la démocratie : 1. Anarchie 2. Despotisme 3. Individualisme 4. Conformisme culturel et conservatisme * Pourquoi l’égalité est inatteignable selon Tocqueville. 2.4. Karl Marx (1818-1883) * Des sociétés « capitalistes » * Propriété privée des moyens de production * Recherche du profit * La force du changement social :

Soumission du Président à La Cour Suprême Le président doit se plier à la Cour et prêter serment devant son président lors de son élection II. Un Pouvoir puissant mais régulé Gouvernement des juges (1835-1937): aujourd’hui, retour au conservatisme de la Cour  Contrôle la constitutionnalité des lois et assure la cohérence du système institutionnel  Impartialité des juges  Conclusion Le Président: Maître absolu d’un exécutif fort MAIS Système de contre-pouvoirs et de limites efficace