Consolation De Lamartine

proposer mais qui gère seulement. Nouvelle forme de mélancolie : « l'ennui, ce mal horrible qui s'est attaché à la génération présente plus qu'à tout autre époques qu'à une autre » George Sand. Lamartine à la tribune de la chambre des députés le 10/01/39 « la France est une nation qui s'ennuie. Vous avez laissé le pays manquer d'actions » Caractéristique du seconde romantisme = l'énergie. Aspect délaissé derrière

Fonde en Dieu seulement, estimant vanité Tout ce qui ne te rend plus savant et plus sage.   Jean-Baptiste CHASSIGNET (1570? - 1635?), Le Mépris de la vie et consolation contre la mort. Explication : Il s’agit d’un poème écrit par Chassignet, homme de loi catholique qui a vécu entre 1571 et 1635. Il est extrait de Mépris de la vie et consolation contre la mort, qui est son unique œuvre. Ce poème se veut rassurant. Il a pour but de montrer au lecteur la présence de Dieu. Il est typique de l’esthétique

romantisme est un courant littéraire et artistique qui nait en europe au 18 i siècles en Allemagne avec Goethe et en Angleterre avec Byron. ils allient le lyrisme personnel (expression du "mal du siècles " ) et l engagement politique. en France Lamartine, Musset, Vigny compose cette époque don le chef de file est victore hugo -1802-1885-. c est un polygraphe : poète avec les contemplation-1856-avec Hernani -1830- et romancier avec les miserable -1862-. son engagement contre napoleon 3 et le second

exécute la Graziella de Lamartine, dont il trouve la fin particulièrement ratée. Il en propose donc une réécriture plus à son goût, en prenant Voltaire comme modèle. C'est à cette occasion qu'il fait part de son admiration pour la fin de Candide, « bête comme la vie ». Voltaire auquel Flaubert fait référence rapidement et entre parenthèses, semble représenter pour lui le meilleur antidote au romantisme échevelé des sentiments poétiques. Pour Flaubert, la fin de Graziella, que Lamartine a rédigé « tout d'une

idées que l'on fait des vers c'est avec des mots. (...) II faut, en poésie, céder l'initiative aux mots. » et Malherbe, poète su XVI-XVIIème siècle, était toujours entrain de défendre la beauté de la langue française comme il a fait dans son poème Consolation à monsieur Du Perier où il faisait attention à chaque mot et à sa beauté poétique pour trouver la perfection. Les poètes classiques pensaient que chaque mot avait sa partie de poétique et qu’il fallait savoir où et comment l’utiliser. En second

savez présentement autant que moi. Je me suis assez bien trouvée de mes eaux, j’en ai bu douze verres. Elles m’ont un peu purgée, c’est tout ce qu’on désire. Je prendrai la douche dans quelques jours. Je vous écrirai tous les soirs ; ce m’est une consolation et ma lettre partira quand il plaira à un petit messager qui apporte les lettres, et qui veut partir un quart d’heure après : la mienne sera toujours prête. Madame de Sévigné, Lettres choisies. [pic] En parlant d’eau... 1. Voici deux expressions

ce que l'on est. " Paul VALERY (XX°) " Parler pour parler est la formule de délivrance. " NOVALIS (poète allemand fin XIX°) " On n'écrit que par nécessité, pour se libérer un moment. " Henri MICHAUX (poète français XX°) " Etrange, mystérieuse consolation donnée par la littérature, dangereuse peut-être, peut-être libératrice. " Franz KAFKA (XX°)  Et tant mieux, dirait MONTAIGNE, si en plus quelque lecteur peut y trouver quelque chose...  II) Ecrire pour agir, parce qu’on veut dire " Moi, j'écris

te serai comme un prêtre fidèleQui passera ses jours en un change immortel. Anthologie poétique« Autour du baroque »I. « L´Homme et la Mer » Charles Baudelaire 1857II. « Le pont Mirabeau » Guillaume Apollinaire 1913III. « Le Lac » Alphonse de Lamartine 1820IV. « L'amour par terre » PAUL VERLAINE 1869V. « Chanson d'automne » Paul VERLAINE 1866VI.   « Chapitre 86 » Anna de Noailles 1924VII. « Leurs yeux toujours purs » PAUL ELUARD 1926VIII. « Elsa » (1959) Louis ARAGON 1959IX. « J'ai tant rêvé de

humain La force que le temps abrévie et consomme : Le nom sans varier nous suit jusqu’au trépas, Et combien qu’aujourd’hui celui ne sois-je pas Qui vivais hier passé, toujours même on me nomme. Jean-Baptiste Chassignet, « Mépris de la vie et consolation contre la mort », 1594. Le Lac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? Ô lac ! l’année à peine a fini sa

impressionniste (saisir l'instant) ( Réflexion sur le thème de l'eau : de la représentation au symbole (composante du paysage, symbolique, jeux poétiques que le thème engendre) Lectures analytiques : 1. J-B Chassignet, Mépris de la vie et consolation contre la mort, « Assieds-toi sur le bord d'une ondante rivière... », 1594. 2. P. de Marbeuf, Recueil de vers, “ Je disais l’autre jour… ”, 1628. 3. P. Verlaine, Romances sans paroles, « Ariette III », in « Ariettes oubliées » 4. L.-S. Senghor