Consolation De Lamartine

heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi …………………………………………………………………………… …. p 11 Charles Baudelaire Chanson d'automne …………………………………………………………………p 12 Paul Verlaine Le Lac ………………………………………………………………………………p 13-14 Alphonse de Lamartine Le Pont Mirabeau …………………………………………………………………… p 15 Apollinaire La fuite du temps……………………………………………………………………. p 16 Zhu Ziqing Préface La fuite du temps est quelque chose de très difficile à expliquer et à définir. La fuite est l’action

allons voire si la rose Le baroque : Saint-Amant : Plainte sur la mort de Sylvie Le classicisme : François de Malherbe : Consolation à Monsieur Du Périer (gentilhomme d'Aix-en-Provence) sur la mort de sa fille Nicolas Boileau : Air Le romantisme : Alfred de Musset : A une fleur Alphonse de Lamartine : Le lac Le symbolisme : Charles Baudelaire : L’ennemi Stéphane Mallarmé : Brise marine Le surréalisme : Paul Eluard

Le Lac Lamartine Les Méditations poétiques de Lamartine (1790-1869) est un recueil poétique publié en 1820 qui regroupe initialement vingt-quatre poèmes. La publication de ce recueil fût un événement poétique : il est le premier manifeste du romantisme français en poésie. Ce texte est reconnu comme pionnier et un exemple de modernité dont tous ces contemporains ont salué comme singulier, nouveau et moderne. Il connût un succès époustouflant dans la première moitié de XIXe siècle. Lamartine y transcrit

prédiction a l’amante d’une errance amoureuse, caractérisée par l’orgueil et l’illusion v10&14 puis une sombre consolation pour le poète dont le dernier quatrain résonne comme une morale universelle au présent de la vérité générale. Conclusion Nous pouvons conclure que ce poème évoque un « adieu » particulier à l’être cher, en effet aucun recours a la plainte élégiaque comme chez Lamartine, pas de lyrisme déploratif comme chez Goethe. Une modulation de la voix en demi-teinte avec une alternance de

Second livre des Amours, Pierre de Ronsard, 1578 « Assieds-toi sur le bord... », Le Mépris de la vie et de la Consolation, Jean-Baptiste Chassignet, 1594 « Hélas ! Qu'est-ce de l'homme orgueilleux...  », Jean Auvray, 1623 « A mes amis », Evariste de Parny, 1778 « Le Lac », Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine, 1820 « Chanson d'automne », Poèmes Saturniens, Paul Verlaine, 1844 « Le ballet des heures », Poésies

lui offrir de réconfort durable. La religion, si elle ne donne pas la force de vivre, accorde tout au moins cette consolation de rejoindre l’aimée dans la mort. Affligés par le mal de vivre, par le sentiment d’être incompris, par l’impossibilité d’aimer, les poètes romantiques dont Vigny, Musset et Lamartine sont de parfaits représentants, pleurent et font pleurer ( élégie). Lamartine : »Je n’imitais plus personne, je m’exprimais moi-même pour moi-même. Ce n’était pas un art, c’était un soulagement

et guide -recours systématique au «je» : pour les grands romantiques, parler de soi c'est encore parler du monde. Ex/ Lamartine Retour au formalisme en poésie Le parnasse = théorie de l' Art pour l'Art , exposée en 1835 par Gautier : → se veut anticonformiste : apparaît en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme irrité de la poésie de Lamartine et de Musset, qui met en avant les épanchements sentimentaux aux dépens de la perfection formelle du poème. → Gautier

Les Méditations poétiques, titre de l’œuvre de Lamartine (1790-1869) est un recueil poétique publié en 1820 et regroupant 24 poèmes. Le lac est le 10ème poème du recueil et portait le titre initial d'Ode au lac de B...qui est en fait le lac du Bourget à Aix-les-Bains en Savoie. La forme de ce poème est classique, constitué de quatrains d'alexandrins coupés à l'hémistiche, entrainant ainsi une harmonie et un équilibre lent adaptés à la description des sentiments de l'auteur. Ce poème nous livre

antiques » L’Hellade est pour lui la partie de la beauté, où les artistes étaient « triomphants, honorés, dieux parmi les mortels » (Les vœux stériles , 1830) Vers 1830, époque où le publique se détourne de la poésie pour la vie politique et où Lamartine, Hugo, Vigny veulent à la fois êtres poètes et hommes d’actions. Lui, se détourne de l’action et de la poésie sociale. Le poète, dit-il doit être uniquement poète et ne doit pas faire de politique. Il sera donc poète lyrique. Pour lui sa poésie émane

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Alphonse de LAMARTINE (France) (1790-1869) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont commentées (surtout ‘’Méditations poétiques’’). Bonne lecture ! Il est né à Mâcon. Il vécut ses dix premières années en petit campagnard, dans le village de Milly, près de Mâcon, où son père, échappé aux cachots de la Terreur, exploitait le maigre domaine familial. Au charme de la nature s’ajoutait la douce influence de