Consommation intermédiaire

de ces chiffres ont fait l'objet d'un toilettage, ce qu'on appelle dans la terminologie des comptes nationaux un « changement de base ». Cela signifie que la définition exacte de nombreuses données et le contour de tous les grands agrégats (PIB, consommation, investissement, solde des administrations publiques, etc.) sont modifiés. Corrélativement, le niveau et, dans une moindre mesure, la chronique de ces données sont modifiés sur l'ensemble de la période couverte par les comptes nationaux, c'est-à-dire

d'industrialisation A – Gains de compétitivité : En délocalisant les moyens de production, les firmes sont amenées à voir se réduire leur coûts salariaux du fait de leur faible coût de main d’œuvre. Ces firmes voient aussi réduire leur consommations intermédiaires et ont ainsi accès à des gains de productivités permettant la croissance de l'entreprise. Les entreprises qui délocalisent améliorent leur compétitivité en répondant à la demande par la production de masse (production intensive) de

le besoin inférieur. 2.1.3. La création de valeur ajoutée La valeur ajoutée se définit comme le supplément de richesse et de valeur apporté par l’entreprise à ses produits entrants ou consommation intermédiaire (produits détruits ou transformés lors du processus de fabrication) VA=Prod-Conso intermédiaire La valeur ajoutée se répartie entre les salariés, l’État (taxes, impôts), les banques (intérêts), les fournisseurs, les actionnaires (dividendes) et les réserves d’autofinancement. 2.2

non marchandes à leurs coûts de production. La production d'un pays ne peut pas être calculée comme la sommes des productions des agents, ou de leurs chiffres d'affaires, sous peine de compter plusieurs fois les mêmes flux. En effet, les consommations intermédiaires étant livrées par un agent à un autre agent, elles apparaissent deux fois : dans la production de celui qui vend et dans la production de celui qui achète. Pour éviter de comptabiliser deux fois les mêmes choses, il faut faire la sommes

ajoutée) + droits de douane - les subventions. On comptabilise dans le PIB la valeur ajoutée des entreprises et des administrations. Pour la VA des administration on l'estime à partir des couts des facteurs de productions et on en déduit les consommations intermédiaires. PIB marchand : il correspond à la VA dégagé par la production de biens et services vendus sur le marché à des prix permettant au moins de couvrir les couts de production. PIB non marchand : il correspond à la valeur ajoutée dégagée

biens d’équipements : machines et outils * Intermédiaires (transformés par d’autres entreprises) – composition d’autres biens. * Consommés (achetés pour être consommé) La production immatérielle : * Non financiers (transports, distribution, communication…). * Services financiers (banques, assurances…). Elles procèdent ainsi pour la compétitivité. C. L’entreprise assure la répartition Valeur ajoutée = Valeur de production (richesse) – consommations intermédiaires (électricité) Dans une entreprise

ventes pendant l'année) le montant total de ses consommations intermédiaires (c'est-à -dire la valeur des produits achetés à d'autres entreprises pour être incorporés dans la production), aux variations de stocks près (quand l'entreprise ne vend pas toute sa production, elle augmente ses stocks et cela correspond quand même à de la production). On a donc, schématiquement : Valeur ajoutée brute = chiffre d'affaires - consommations intermédiaires La valeur ajoutée est dite "brute"

ajoutée est consacré aux salaires mais depuis la partie consacré aux salaires a nettement diminuer, 58,9% en 2007. La valeur ajoutée permet de mesurer la valeur créée par un agent économique. Elle mesure l'écart entre la somme des valeurs consommations intermédiaires et la somme des valeurs des produits ou des services qu'il vend. En quoi la valeur ajoutée permet elle de déterminer la croissance économique d’un pays ? Dans une première partie nous expliquerons les causes du changement du partage de

considérablement de -14% en N3 avec un taux qui passe de 48,5% en N2 à 45,3% en N3 du fait de la dégradation du CA de -5,5% en N3, l’entreprise crée moins de richesses. On voit également que les consommations intermédiaires progressent beaucoup alors que le PT est en baisse. Cette progression des consommations est sans doute liée aux investissements dans la construction, aux installations techniques, matériels et outillage. Ainsi on peut dire le cout élevé des investissements en N3 a fortement dégradé

salariés VENTILATION DES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES (**) Autres charges externes 72% Crédit-bail 2% 1 588 M€ 1 500 1 000 881 M€ 714 M€ 500 Coût personnel extérieur 1% Sous-traitance incorporée 1% Achats pour la revente 4% Achats incorp. hors ss-traitance 20% 0 Chiffre d'affaires Conso. interméd. Valeur ajoutée (*) Le calcul de la Valeur ajoutée est : Production élargie (Chiffre d'Affaires + Prod. Stockée + Prod. Immobilisée) - Consommations intermédiaires (**) Entreprises de 30