Consonne labiale

voyelle ne doit pas être compté. Sans / rien / voir / au / de / hors, // sans / en / ten / dr(e) au / cun / bruit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 ● Le « e » suivi d'une consonne doit être compté et entendu. Tris / t(e), et / le / jour / pour / moi // se / ra / co / mme / la / nuit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Attention, le poète peut faire prononcer

futur: chanterai, irai. 1º pers du passé simple: dansai, parlai. 1º pers. du sing. présent de l’indicatif du verbe “avoir”: j’ai. Et conjonction. [Ɛ]: Mi-ouverte è mère, pèlerin. ê fête, être. e en syllabe fermée: berc, cerf. e suivi d’une consonne non prononcée suivi que R, Z, F, D: es, bonnet. ëNoël, Israël. ei neige, Seine. ey jersey. ai maison, vrai. ay Orsay,Raymond. aînaître, fraîche. [a]: Ouverte a bal, arme. à là, à e femme, femmelette, solennel, solennellement. e dans les

la + amie > l’amie ; la + hirondelle > l’hirondelle  le + ami > l’ami ; le + homme > l’homme  si + il > s’il ; que + elle > qu’elle; que + il > qu’il ; que + on > qu’on · enchaînement : la dernière consonne prononcée d’un mot s’enchaîne avec la voyelle du  mot suivant, à l’intérieur d’un même groupe rythmique :  une grande amitié [yngYSdamitje]  une amie [ynami] · liaison : la consonne finale d’un mot se prononce devant une voyelle ou un h muet :  un ami [C‿nami]  petits enfants [pBti‿zSfS]  petit homme [pBti‿tCm]  Remarque :  La tradition distingue deux

création du rythme. >>>> Lire la fiche sur les rythmes. TYPES DE RIMES / CARACTÉRISTIQUES Richesse des rimes. - Rimes pauvres : la voyelle seule est semblable. Il ne s'agit que d'une simple assonance (ex. ami / pari). - Rimes suffisantes : la consonne précédant la voyelle accentuée est la même dans les deux mots (ex. bannir / finir). - Rimes riches ou très riches : présence de plusieurs syllabes identiques de son et d'articulation (trois sonorités ou plus : ex. vaillant / travaillant). Pour

/s/~/z/, /m/~/n/. Info : On parle de permutation lorsque deux phonèmes apparentés changent mutuellement de place au sein d’un même signifiant. Exemple : salé [sale], lacets [lase].Info : La syllabisation a comme base la syllabe qui est un groupe de consonnes et ou de voyelles. * L’expression chez HJELMSLEV = signifiant. Le contenu chez HJELMSLEV = signifié. Laglossématique repose sur le glossème qui est la petite unité du langage humain / parole, il peut correspondre à un ceneme, ou un plérème. Le

groupes de mots dans un ordre inversé Oxymore : figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires ex : un silence éloquent Diérèse : décomposition de 2 voyelles consécutives en 2 syllabes Allitération : répétition d’une consonne ou d’un groupe de consonnes produisant un effet d’harmonie imitative ou suggestive. Funeste : qui apporte la mort, le malheur

il y a plusieurs classifications des consonnes (En voici un très bref aperçu) -selon l'obstruction de l'air créé (consonnes constrictives : occlusives (ouverture brutale de la bouche : p, b, t, d, kg), fricatives (frottement : f, v ; s ; z ) ou sans obstruction (les consonnes liquides r et l ; les sonantes nasales m et n) -selon la cavité de résonance : orales (toutes sauf les nasales m et n) -selon le point d'articulation : les dentales t, d ; les labiales p, b, m, les palatales k, g sifflantes

J’ai choisi de construire ce dossier à partir d’évènements observés et de questionnements qui en ont découlé, sur mon 1er lieu de stage au C.S.D.A, Centre Spécialisé pour Déficients Auditifs du Bon Sauveur d’Alby. Ce centre existe depuis le 20 novembre 1832 et est agrée au terme de l’annexe XXIV Quater. Il accueille en mixité des enfants et des adolescents de 3 à 20 ans atteints de déficience auditive (loi n°2002-2) et dysphasiques (arrêté préfectoral du 17 décembre 2002), avec un agrément pour 120

lui et à faible distance. - attirer l’attention de la personne sourde (par un geste par exemple) avant de s’adresser à elle. - le débit de parole ne doit ni être trop rapide, ni exagérément ralenti ( ce qui entraîne des difficultés de lecture labiale), l’articulation doit être claire mais pas exagérée elle non plus. - parler à intensité habituelle : il ne sert à rien de crier. - éviter ou atténuer les bruits de fond, parasites pour la personne sourde. - faire des phrases simples et reformuler

compensatoires permettant aux personnes sourdes et malentendantes de communiquer : - La lecture labiale : elle nécessite d’articuler fortement en faisant attention a bien bouger les lèvres et se placer face à la personne sourde afin de faciliter sa lecture. - La langue des signes : c’est un moyen de communication gestuel - Le langage parlé complété : code manuel autour du visage complété de la lecture labiale. - La boucle magnétique : c’est un système qui permet de transmettre un son directement à