Consonne vélaire

PORTA(M)>puerta etc.) palatalisation des groupes -LL- et -NN- latins en [ʎ] et [ɲ] (ANNU(M)>año etc.) bêtacisme, c'est-à-dire disparition de l'opposition entre les phonèmes /v/ et /b/ (sauf dans certains contextes d'hypercorrection)11. sonorisation des consonnes occlusives sourdes intervocaliques (VITA>vida ; LACU(M)>lago etc.), trait commun aux langues romanes occidentales. aspiration puis disparition du F- initial latin, conservé sous la forme d'un « h » muet dans la graphie usuelle (FILIUM>hijo ; FACERE>hacer

d’articulation Ɂ [Ɂ] ء occlusive laryngale sourde2 B [b] ب occlusive bilabiale sonore T [t] ت occlusive dentale sourde ṯ [θ] ث fricative interdentale sourde Ǧ [d͡ʒ] ج affriquée prépalatale sonore ḥ [ħ] ح fricative pharyngale sourde X [x] خ fricative vélaire sourde D [d] د occlusive dentale sonore ḏ [ð] ذ fricative interdentale sonore R [r] ر alvéolaire vibrante sonore Z [z] ز fricative alvéolaire sonore S [s] س fricative alvéolaire sourde S [ʃ] ش fricative prépalatale sourde ṣ [sʕ] ص fricative

principales différences entre le sanskrit védique et le sanskrit classique : Le sanskrit védique avait une fricative bilabiale sourde (/ ɸ /, Upamādhamīya) et une fricative vélaire sourde (/ x /, jihvāmūlīya) — qu'il a utilisé jusqu'à ce que le souffle visarga apparaisse devant les consonnes sourdes labiales et vélaires respectivement. Les deux ont été perdues en sanskrit classique. Le sanskrit védique avait une rétroflexe approximativement latérale (/ ɭ /), qui a été perdue dans le sanskrit

disparaissent: Murum>mur sauf le A qui donne un e muet les voyelles non accentuées ont tendance a disparaître ex: matutinu>matin, arborem>arbre laridu>lard les consonnes: ne se conservent pas quand elles sont intervocaliques ex: vita>vie (la graphie est conservatrice) les consonnes finales disparaissent aussi ex:factum> fait les consonnes vélaires (postérieur) [k], [g] elles se sont palatalisées ex: cervum>cerf [K]>[s] circum>cirque K+i/e> [s] Gelum>gèl argentum>argent G+i/e> [ʒ] canem>chien K+a>[ʃ ]

un système à l’intérieur duquel chaque unité (phonème) peut être identifiée grâce à certains traits. Les phonèmes [p] et [b] par exemple, se distinguent par le trait « voisement » : [b] est une consonne voisée (sa production est accompagnée par la vibration des cordes vocales) et [p] est 28 une consonne non-voisée (il n’y a pas de vibrations des cordes vocales lors de sa production). Il est possible d’observer d’autres variations de son dans la production langagière : dans certaines régions de

unités minimales distinctives > graphèmes. Phonèmes -Corrélation utilisées dans le classement des consonnes -Mode d’articulation : fermeture + ou – totale de la cavité buccale. Occlusives et constrictives = obstruantes. ≠ voyelles, semi-consonnes, liquides (l r) et nasales (m n gn) = sonnantes. - Lieu d’articulation : labial (p b m), dental (f v), apico-alvéolaire (t d n l r), palatal (gn), vélaire (k g) - Nasalité : d / n -Voisement : p / b -Latéralité : l est la seule constrictive alvéolaire

façon. Voici tout d'abord un tableau phonématique (mais utilisant l'orthographe standard); les étudiants ne se souciant pas de linguistique (ce qui est dommage :-)) peuvent passer directement à la suite : labiales dentales alvéolaires palatalales vélaires occlusives sonores b d j g occlusives sourdes p t ch k fricatives sonores v dh z gh fricatives sourdes f th s sh h mi-nasales occlusives mb nd nj ng mi-nasales fricatives mv nz nasales m n ny ng' liquides l; r glissées w y

limite par sa structure même la création de néologismes. D’une part sa dérivation, essentiellement radicale, ne permet pas de fonder facilement une forme sur une autre, à moins que celle-ci ne comporte un squelette consonantique de trois ou quatre consonnes. D’autre part, cette langue ne possède pas de procédés de composition; de là naissent des difficultés qui, malgré les efforts des Académies, ne sont pas résolues. Les problèmes d’ordre syntaxique ne préoccupent pas autant les auteurs modernes. En

Onomatopées Symbolisme phonétique Expressivité Déformation phonétique (tabous linguistiques) •  Exploitation des caractéristiques acoustiques des phonèmes: •  (1) degré d’occlusion des consonnes: occlusives, constrictives, médiales •  (2) consonnes aigües (dentales, palatales) vs. graves (labiales, vélaires) •  (3) consonnes à haute sonorité (nasales, rhotiques, latérales) •  (4) spectre sonore des constrictives: labiovélaires (« bruit rouge »), chuintantes (« bruit rose »), sifflantes (« bruit blanc »)

L’arabe est riche en consonnes il compte 28 phonèmes. Le français en compte 17. Les systèmes consonantiques 26 Typologie d’erreurs par contamination linguistique dans des productions écrites d’étudiants en situation bilingue des deux langues ne s’ordonnent pas autour des mêmes corrélations : l’arabe compte pour les consonnes trois corrélations : celles de sonorité, de nasalité, et de vélarisation, le français n’a que les deux premières. L’arabe comporte des consonnes qui n’existent pas en