Constante de Planck

description corpusculaire de la matière remonte à la nuit des temps. Démocrite, dit-on, fut le premier à spéculer sur le sujet. La chimie eut une contribution décisive. Une propriété remarquable est que les proportions des ingrédients restent en rapport constant, par exemple 2 g d’hydrogène pour 16 g d’oxygène pour la synthèse de l’eau. Si on met 5 g d’hydrogène et 32 g d’oxygène, il reste 1 g d’hydrogène non brûlé dans le récipient. L’explication la plus simple est que l’hydrogène, l’oxygène et l’eau sont

vitesse de M devient: V ( M / R) = Rωeϕ , et le vecteur accélération se réduit à: γ ( M / R) = −Rω2 e ρ . L'accélération du point M est alors normale à sa trajectoire (l'accélération tangentielle est nulle, car le module du vecteur vitesse est constant). En coordonnées intrinsèques, l'arc M 0 M = ∆s = Rϕ( t ) , . ds d'où V ( M / R) = T = R ϕT , dt .. . 2 d 2s v2 et l'accélération est γ ( M / R) = 2 T + N = R ϕT + R ϕ eϕ . dt Rc Et γ ( M / R ) = γ t e ϕ − γ n e ρ , donc e ϕ = T

dQ .dT ( V ).dP T P T P En posant alors : U H Q U H (à V constant), c p (à P constant), l cv P et finalement h V T T T V P On aboutit à : dQ cv dT ldV et dQ c p dT h.dP (I.6) En utilisant ces relations, puis d’autres que je ne détaillerai pas ici, on peut aussi démontrer des relations du type : dU V ( P T ).dP Où et sont respectivement les coefficients de compressibilité à température constante et de dilatation thermique à pression constante définis par : V P et T , ni V T (I.7) P , ni

l’axe de rotation de la planète et donc une plus grande stabilité de paramètres tels que la température moyenne. La Lune est aussi à l’origine des marées sur Terre et certains chercheurs pensent que le phénomène de marée fait des zones côtières et du constant va-et-vient de la mer une situation idéale pour la formation des premières molécules. Les types d’étoiles favorables à la vie Remarquons d’abord qu’un système à étoile unique comme le nôtre semble a priori plus favorable car les planètes se retrouveront

à aucune poussée. En particulier, il pensait que la Terre était au repos. Mais il découle des lois de Newton qu’il n’y a pas de norme unique de repos. On pourrait aussi bien dire que le corps A est au repos et que le corps B se déplace à vitesse constante relativement au corps A, ou que le corps B est au repos et que c’est A qui se déplace. Par exemple, si l’on fait un moment abstraction de la rotation de la Terre et de son orbite autour du Soleil, on peut tout aussi bien dire que la Terre est au

à aucune poussée. En particulier, il pensait que la Terre était au repos. Mais il découle des lois de Newton qu’il n’y a pas de norme unique de repos. On pourrait aussi bien dire que le corps A est au repos et que le corps B se déplace à vitesse constante relativement au corps A, ou que le corps B est au repos et que c’est A qui se déplace. Par exemple, si l’on fait un moment abstraction de la rotation de la Terre et de son orbite autour du Soleil, on peut tout aussi bien dire que la Terre est au

à comprendre que l’instituteur et le catéchiste ne parlent pas de la même chose, même s’ils emploient souvent le même mot de création. L’instituteur parle du commencement du monde, tandis que le catéchiste parle de son origine et de son maintien constant dans l’être au cours du temps. Car la création est continue et elle enveloppe toute l’évolution du monde et des espèces vivantes. Précisons encore la différence entre les deux mots. Le récit du commencement - et nous avons vu plus haut que la science

M´canique quantique e ´ Cours de l’Ecole polytechnique Jean-Louis Basdevant et Jean Dalibard F´vrier 2002 e Table des mati`res e Avant-Propos 7 Constantes physiques 13 1 Ph´nom`nes quantiques e e 1 L’exp´rience de Franck et Hertz . . . e 2 Interf´rences des ondes de mati`re . . e e 3 L’exp´rience de Davisson et Germer . e 4 R´sum´ de quelques id´es importantes e e e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

GENERALES Exercices corrigés de structure de la matière et de liaisons chimiques 11 Définitions et notions devant être acquises : Atome - Electron -Proton – Neutron- Nucléon –Isotope- Elément chimique- Nombre d’Avogadro (N) – Constante de Planck (h)- Constante de Rydberg (RH)- Célérité de la lumière (c) -Masse molaire (M)- Mole - Molécule -Unité de masse atomique - Défaut de masse. Exercice I. 1. Pourquoi a-t-on défini le numéro atomique d’un élément chimique par le nombre de protons

GENERALES Exercices corrigés de structure de la matière et de liaisons chimiques 11 Définitions et notions devant être acquises : Atome - Electron -Proton – Neutron- Nucléon –Isotope- Elément chimique- Nombre d’Avogadro (N) – Constante de Planck (h)- Constante de Rydberg (RH)- Célérité de la lumière (c) -Masse molaire (M)- Mole - Molécule -Unité de masse atomique - Défaut de masse. Exercice I. 1. Pourquoi a-t-on défini le numéro atomique d’un élément chimique par le nombre de protons et non