Conséquence De La Dégradation Des Finances Publiques

déficitaire du fait du recul des recettes d’exportation et d’une dépendance marquée au niveau des importations car la Grèce reste très fortement importatrice de biens industriels, de produits alimentaires et de pétrole. Autre problème majeur, la dette publique du pays devient exorbitante (123% du PIB) s’accompagnant d’un déficit de l’Etat important (plus de 12% du PIB). Pour cause, le clientélisme – c’est-à-dire la pratique qui permet à un Etat ou à des personnes disposant de richesses d'obtenir, moyennant

programmation militaire (LPM) 2009-2014, déclinaison législative du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale. 2/ Une politique de relance ou plan de relance est un ensemble de mesures de politique économique, consistant de dépenses publiques supplémentaires et de réduction de certains impôts, et donc dégradant le solde public, décidées par le gouvernement d'un pays ou d'une zone économique, dans le but de provoquer une « relance économique », c’est-à-dire une augmentation de l'activité

infrastructures (investissement) et donc du PIB. La redistribution anime l’augmentation des dépenses publiques dans la santé et l’éducation pour donner en dernier lieu une augmentation de l’IDH pour un bien être probable. (Processus de développement) L’état intervient en prélevant (impôts, TVA) pour financer les investissements et pour les entrepreneurs innovateurs. La croissance permet alors, de financer le développement par la recherche et l’innovation, nécessitant au préalable, une éducation et une

................................................. 63 BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................. 66 3 Introduction La crise économique qui a secoué la finance et plus largement l’économie mondiale entre 2007 et 2010 est la première crise systémique du siècle. Elle aurait coûté d’après les dernières estimations du FMI en avril 2010 près de 2300 milliards de dollars en termes de dépréciation bancaire (soit

Saint Pierre 1- La crise racontée à la télé. Le discours dominant sur la crise actuelle est globalement assez simple. Depuis les années 80, sous l’impulsion de Thatcher et Reagan, le courant néolibéral s’est imposé dans le monde occidental. La finance s’est peu à peu découplée de l’économie réelle et l’État providence a laissé de plus en plus de place à la régulation de l’économie par le marché. La baisse des prix de l’immobilier aux EU a mis en difficulté les banques qui avaient pris des garanties

Les conséquences du chômage. « Dans très peu d’années – j’entends au cours de notre propre existence – il nous sera peut-être possible d’accomplir tous les actes que demandent l’agriculture, l’extraction des mines, et la fabrication des objets en ne fournissant que le quart des efforts auxquels nous sommes habitués. Actuellement, l’extrême rapidité avec laquelle se produisent tous ces bouleversements nous blesse, et nous oblige à résoudre de difficiles problèmes. Les pays qui souffrent le plus modérément

DES PAYS EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT Tous les pays ont une dette, privée ou publique, intérieure et extérieure ; le champion du monde toute catégorie sont les États Unis avec une dette globale (publique et privée de 22000 milliards de dollars (on ne prête qu'aux riches), soit près de la moitié de la dette mondiale (45000 milliards de dollars). On estime que les États Unis absorbent prés de 70% de l'épargne mondiale. Une conséquence de cet attrait pour les USA concerne en particulier le Japon, premier créancier

laquelle prédominait une consommation finale excessive et, conséquemment, un accroissement du déficit en ressources. Celui-ci sera artificiellement entretenu et financé par l’aide publique et l’endettement extérieur. Le boom pétrolier avait favorisé des emprunts publics à des taux relativement faibles. A la faveur de l'augmentation de la dette publique des Etats dans les années 1980, les marchés financiers sont arrivés aux commandes. Cela s'est traduit par une augmentation des taux d'intérêt, dont le niveau

des fondamentaux trouve une explication dans une série de facteurs : 1) Au niveau externe, dans la dégradation des perspectives de croissance dans la zone euro et ses retombées négatives sur les exportations tunisiennes. 2) Et au niveau interne, les facteurs responsables du glissement échappent au contrôle de la BCT, et puisent leurs racines dans trois sources majeures. D’abord, dans la dégradation du climat sécuritaire qui a provoqué la chute des IDE et des recettes touristiques. Ensuite, dans le

ingénieure générale des Mines et avec le concours de Thierry Francq, conseiller du Directeur général du Trésor novembre 2013 Rapporteurs Direction générale du trésor Commissariat général au développement durable Robin Edme Conseiller Finance responsable auprès du Chef de service de l'économie, de l'évaluation et de l'intégration du développement durable Emmanuel Massé Sous-directeur des politiques sectorielles Joffrey Célestin-Urbain Chef du bureau environnement agriculture