Conséquence De La Faillite De Lehman Brothers

Zone euro : Evaluation des canaux de transmission de la politique monétaire 8 % Taux pratiqués aux SNFs (jusqu'à 1 an) 7 Observé 6 Simulation 5 4 3 2 1 0 Graphique 2 Sources : BNP Paribas, BCE Après la faillite de Lehman Brothers en septembre 2008, les marchés étaient au bord du précipice tandis que les tensions et les taux d’intérêt ne cessaient de grimper. Les taux ont par la suite commencé à baisser, les banques centrales ayant engagé une politique de détente

Réalisé par l’étudiant : ELHOUR Saïd Année universitaire : 2008-2009 [pic] Introduction générale Partie I : Présentation de la crise financière internationale I- le contexte général de la crise II- Les origines et les conséquences III- Les mesures prises par les Etats Partie II : L´impact de la crise sur le secteur financier et bancaire marocain I : analyse administrative (les autorités monétaires) II : analyse critique Conclusion [pic] L’instabilité

Les risques de hors bilan : le cas Lehman Brothers | | | | |Par Frédérique Garrouste | |le 06/05/2010 | |

empêché de connaitre une quasi-faillite de certains états réputés solides du point de vu économique. En revanche, cette crise financière a eu le mérite de mettre en évidence la fragilité du système capitaliste face aux dérives spéculatifs et face à la spirale de la dette. Le fort impact qu'a eu la crise financière sur les économies des pays développés et émergents a poussé plusieurs économistes et analystes à se pencher sur les raisons de la crise, ses conséquences, ainsi que les moyens qui doivent

parfois permis aux cabinets d’investir de nouveaux secteurs d’activités, comme ce fut le cas de Deloitte Haskins & Sells qui avait un département fiscal et Touche Ross qui avait développé le conseil en gestion. (ii) Une consolidation aux conséquences ambigües L’impact de ce mouvement de consolidation sur le comportement des opérateurs de ce marché n’est pas facile à décrypter. Certes, sur le long terme, la concentration de l’industrie de certification des comptes a indubitablement augmenté

politiques de relance est très controversée, au cours des années 1970 ont été souvent reconnues comme des échecs qui ont aggravé la stagflation car elles creusent les déficits et la dette publique à cause de l’augmentation des impôts. Elles ont pour conséquences négatives une hausse de l’inflation (ex : en 81 un record avec 14% en France). Renchérissement des couts salariaux pour les qui entrainent une perte en compétitivité. Chômage à deux chiffres. - Une inefficacité des politiques keynésiennes (incapacité

La monnaie n’a pas d’effet sur la Y et l’emploi, elle est neutre au regard de l’activité réelle, elle n’est qu’un voile. Friedman a la fin des 50s : la monnaie est neutre à long terme. A court T les variations de la masse monétaire peuvent avoir conséquences sur la Y et l’emploi mais pas a LT. L’argument de Friedman est celui de la critique de la courbe de Philips (idée qu’en acceptant l’inflation on réduit le chômage), pour Friedman, la relation inverse entre inflation et chômage n’est valable qu’a

ont procédé à des abaissements des notes de la quasi-totalité des Etatsmembres de la zone euro, et notamment de pays AAA comme l’Autriche et la France. Ces dégradations avaient toutefois été largement anticipées par les marchés et n’ont pas eu de conséquences sur les niveaux des coûts d’emprunt de ces Etats. janv. 07 sept. 07 janv. 08 sept. 08 janv. 09 juin 09 oct. 09 juin 10 mai 07 mai 08 févr. 10 févr. 11 Parallèlement à la divergence des taux belges, autrichiens et français, les rendements

comme un but important de politique étrangère, laquelle « construirait une ère de prospérité dans une hémisphère de liberté ». Si ce but était vraiment si important, alors les Etats-Unis viennent de subir un revers considérable. B. Les conséquence de la crise Argentine Dans les mois qui suivirent, le gouvernement conçut fébrilement des solutions pour essayer de résoudre la crise. Pour apaiser la population, fut créée une aide sociale de 100, et un peu plus tard 150 pesos adressée aux chefs

une « cartographie des risques ». Exercice périlleux s’il en est car il nous expose à deux possibles reproches : sous-estimer, en les passant sous silence ou parce que nous ne les aurions pas détectés, des risques qui pourraient être lourds de conséquences pour les marchés et leurs acteurs ; sur-estimer, au contraire, la dangerosité d’un phénomène, dont nous cernerions mal les effets possibles ce qui nous amènerait, au nom du principe de précaution, à en exagérer la portée. - C’est un double