Conséquences De La Mondialisation Sur Le Burkina Faso

70 73 76 80 93 95 98 107 123 123 124 131 Fonds monétaire international | Avril 2012 iii PERSPECTIVES DE L’ÉCONOMIE MONDIALE : UNE REPRISE EN COURS, MAIS QUI RESTE EN DANGER Chapitre 4. Fluctuations des cours des produits de base et conséquences pour les exportateurs Fluctuations des cours des produits de base et résultats macroéconomiques Les déterminants des marchés de produits de base et leurs effets macroéconomiques Les ripostes budgétaires optimales aux chocs sur les marchés de produits

livre 100 sous à un fonctionnaire pour n’en recevoir aucun service, c’est comme s’il les livrait à un voleur »[15]. La théorie de « l’impôt échange » a repris de la vigueur à la fin du XXe siècle dans le contexte de la libéralisation et de la mondialisation des économies. Sous l’appellation de « principe d’équivalence » (selon lequel la répartition de l’impôt doit se faire en fonction de l’utilité que chacun retire des services collectifs ainsi financés), la théorie de « l’impôt échange » a été

minimale des taux de changes, Afin de limiter à la fois les conséquences néfastes de fortes fluctuations et de déséquilibre durable du taux de change sur les économies nationales. Malgré la volatilité du taux de change a pris de l’ampleur. A la suite de l’écroulement du système de taux de change fixe de BRETTON WOODS en 1973 et des fortes variations de taux de change qui ont suivis les discussions sur le taux de change et les conséquences sur leurs fluctuations sur les économies . Problématique :

milliards en 2006 contre 466,1 milliards un an auparavant, une augmentation des crédits à l’économie et un repli des créances nettes sur l’Etat (-570,3 milliards), l’Etat améliorant sa situation globale déjà créditrice face au système bancaire. n conséquence à toutes ces évolutions, la masse monétaire croîtrait de 56,1 %, s’élevant à 701,9 milliards à fin décembre 2006 contre 449,7 milliards à fin décembre 2005. Selon les projections, l’année 2007 se caractériserait par une croissance économique en

environnementaux, mais aussi la différenciation spatiale et les relations qui existent entre les États du monde. L’articulation nécessaire des échelles pour comprendre les réalités géographiques est poursuivie en classes de première et de terminale. La mondialisation est un fait majeur de l’époque actuelle, mais l’intégration des différents pays ne signifie pas uniformisation du monde. Non seulement des résistances culturelles s’y produisent, mais surtout le processus asymétrique induit des relations de dépendance

devons relever aujourd’hui est de faire en sorte que la mondialisation devienne une force positive pour l’humanité tout entière. Car, si elle offre des possibilités immenses, à l’heure actuelle ses bienfaits sont très inégalement répartis, de même que les charges qu’elle impose. Nous reconnaissons que les pays en développement et les pays en transition doivent surmonter des difficultés particulières pour faire face à ce défi majeur. La mondialisation ne sera donc profitable à tous, de façon équitable

Afrique et en Asie au XXe siècle. Ce principe consiste à imposer à l’État successeur, dans les cas de décolonisation, les frontières qui ont été établies par l’État prédécesseur. Dans l’affaire 1986 « différend frontalier entre le Mali et le Burkina Faso », la CIJ a précisé que c’était un principe longtemps considéré comme une règle d’application régionale, mais qui a été reconnu comme un principe général logiquement lié au phénomène d’accession à l’indépendance ou qu’il se manifeste. Dans la

et dépourvus d'envergure et de personnalité pour relever les défis auxquels le pays est confronté. Ce qui fait que le régime d'ATT a une lecture fataliste face aux problèmes qui se posent au pays : crises acridienne, alimentaire et scolaire etc. Conséquences: « On ne devient pas responsable au Mali parce que l'on a le mérite. Pas forcément ! (...) La plupart du temps, il faut prouver une grande proximité avec les centres du pouvoir, ou une grande capacité de nuisance pour se voir confier des postes

milliards en 2006 contre 466,1 milliards un an auparavant, une augmentation des crédits à l’économie et un repli des créances nettes sur l’Etat (-570,3 milliards), l’Etat améliorant sa situation globale déjà créditrice face au système bancaire. n conséquence à toutes ces évolutions, la masse monétaire croîtrait de 56,1 %, s’élevant à 701,9 milliards à fin décembre 2006 contre 449,7 milliards à fin décembre 2005. Selon les projections, l’année 2007 se caractériserait par une croissance économique

cours des siècles précédents. La technologie n’est pas étrangère à ces modifications importantes. L’évolution des techniques a modifié en profondeur les relations internationales. Exemple : la technique a permis de réduire les distances. La conséquence est directe sur les relations diplomatiques. Avant la diplomatie se faisait à travers les ambassadeurs. Mais désormais les chefs d’états voyagent plus facilement donc rencontrent leurs homologues étrangers. Autre exemple : la découverte de la