Conséquences Du Capitalisme Sur Le Monde

Hobbes, Le Léviathan, 17ème siècle, dans cette œuvre il se propose de fonder la science politique. Il considère que ceux qui ont écrit avant lui n’ont pas vraiment élaborés une science. C’est une nécessité de fonder la science politique parce que le monde dans lequel il vit est traversé par les conflits, or la science politique nous permet de saisir pourquoi il y a conflit et nous permet aussi de résoudre une partie de ces conflits. Au moment où Hobbes écrit, il y a deux conflits majeurs : - la guerre

réparation, si un des deux premiers principes ou les deux ne sont pas respectés, le possesseur original ou l'individu qui en as souffert pourra demander réparation. Si on suit ces trois principes, on peut dire « qu’une distribution est juste si tout le monde est habilité à la possession des objets qu’il possède selon le modèle de distribution »8. Les néolibéraux disent que seuls le libre-échange et un État minimal peut nous accorder ce modèle de distribution puisqu’ils ne nous contraignent pas à donner

— Progrès techniques et scientifiques comme facteur de croissance : PAGEREF _Toc285622960 \h 9 IV — Cycles de croissance et de crises (1973 à nos jours) PAGEREF _Toc285622961 \h 9 A — Origines et conséquences de la crise de 1973 PAGEREF _Toc285622962 \h 9 1 — L’ du prix du pétrole et ses conséquences : Crise de la demande et chômage (1973) PAGEREF _Toc285622963 \h 9 2 — Choc pétrolier (1979) : impact moindre car mise en place de politiques ultra – libérales et solidarité moins forte dans l’OPEP

membres du peuple, la classe des prolétaires, qui payent et qui subissent les conséquences de la crise notamment en perdant leur emploi. Cette nouvelle situation chez les prolétaires va les pousser vers la criminalité, la déviance et tout autre moyen facile d’obtenir de l’argent peut importe les conséquences. Dans le même d’ordre d’idée, Marx fait par d’une loi, la loi tendancielle, une loi affirmant que le capitalisme exploitera les petits travailleurs soit en diminuant le salaire des prolétaires

LA CRISE FINANCIERE MONDIALE DE L’AUTOMNE 2008 On dit souvent que le capitalisme est synonyme de crise, qu’il se nourrit des crises qu’il provoque, ou encore que sa « faculté d’adaptation » est sans limites, laissant ainsi entendre qu’il est indestructible. En réalité, il faut distinguer les crises cycliques, conjoncturelles (on connaît les célèbres cycles de Kondratieff), et les crises systémiques, structurelles (comme celles qui ont eu lieu entre 1870 et 1893, lors de la Grande Dépression de

XIXème siècle. I- 1850-1945 : L’entrée du monde dans la croissance A- Les facteurs de la croissance L'essor démographique : Entre 1850 et 1939, la populations européenne a doublé et la populations américaine a quintuplé. 1ère Révolution Industrielle (1850) : Machine à vapeur (James Watt, 1769), Charbon, sidérurgie, textile, Chemins de fer 2ème Révolution Industrielle (1880-1890) : Pétrole, électricité, automobile. 1. L’essor du capitalisme : Système économique fondé sur la propriété privé

triomphante  ✓ Domination du monde dans tous les domaines : technique, financier et économique ✓ Les européens ont peuplé l’Amérique du Nord ✓ Les européens ont des colonies en Afrique, en Asie et en Océanie - Suprématie Européenne contestée par : ✓ USA, devenue Première puissance industrielle ✓ Le Japon, affichait ses ambitions en Asie - L’affirmation de la triade ✓ s’inscrit dans un système économique sans rival : le capitalisme (profit et concurrence) qui

communication, plutôt que par l’agression.http://cbs.wondershare.com/go.php?pid=5242&m=dbCependant, de tels comportements moraux ne présupposent pas forcément de motivations morales : elles pourraient ne résulter que d’une logique mécaniste, conséquence de la génétique des populations. toute théorie quant à la naissance des sentiments moraux et des règles de comportement morales devrait mettre en cohérence des processus biologiques et des processus culturels, et pas tout tenter d’expliquer

mise en place du « temps » dans les sociétés contemporaines, s’articulant autour d’une organisation capitaliste. En effet, c’est la société industrielle urbaine, qui s’épanouit au cours des XIXème et XXème siècles, qui, à la différence du monde rural, segmente les temps, les temps du travail (découpage taylorien des gestes ouvriers) comme les temps de la vie (institutionnalisation de la scission entre périodes d’activité et de repos). Comme l’affirme Michel Lallement , ce rapport au temps

LA DECROISSANCE SOMMAIRE Introduction I. Les limites de la croissance 1. Les PIB, un bon indicateur de bien-être? 2. Les risques de la croissance 3. La surconsommation et ses conséquences II. Le concept de la décroissance 1. La naissance de la notion 2. La décroissance aujourd'hui 3. Qu'est ce que la décroissance ? III. La décroissance est-elle possible? 1. Les critiques de la décroissance 2. La décroissance : vers un mouvement ? 3. La décroissance est-elle réalisable ? Conclusion