Conte Recit Imaginaire

demander si la fantaisie et l'humour ne servent qu'à faire rêver et à plaire au lecteur? Ou s’il n’y a pas aussi une forme de double énonciation? Nous allons aborder les effets de la fantaisie sur le lecteur de manière à montrer que l'apologue est un récit qui plait puis nous feront émerger les réelles volontées de l'auteur : faire réfléchir et réagir le lecteur. La fantaisie et l'humour servent à divertir et à faire rêver le lecteur. C’est pourquoi l'auteur utilise des personnages atypiques et au

– vision d’un monde parfait ou tout est beau – «dans le meilleur des mondes». Voltaire contre Leibniz – dénonce malheurs des hommes – «le monde est un petit enfer». En France – intolérance – fanatisme religieux. Conte philosophique –récit imaginaire – forme de conte – transmet idées et concepts philosophiques. Candide – personnage naïf parcourant pays inconnus – critique des mœurs et institutions ( clergé’ noblesse, guerre, esclavagisme) a travers son regard neuf. Chapitre 1 Présentation

indirecte permet une réflexion sur différents sujets par le biais de récits fictifs. Dès l’enfance, elle fait partie intégrante de l’éducation lorsque celle-ci a recourt à la fiction et aux personnages inventés pour faire passer un message éducatif. Considérée comme un genre argumentatif moins sérieux que les autres formes d’argumentation par les adultes, ces derniers, portant plus d’attention aux faits réels, oublient le goût du récit fictif mais le retrouvent cependant au théâtre, au cinéma ou dans

Similitudes et différences entre le conte philosophique et le roman épistolaire Le roman et le conte philosophique ont des différences mais aussi des points communs. Le roman épistolaire est une œuvre rédigée sous la forme d’une correspondance entre deux ou plusieurs personnes et les différents chapitres sont souvent organisés par les lettres écrites entre les personnages. Le conte philosophique quant à lui, utilise par contre la forme de récit imaginaire véhiculé par le conte pour transmettre des idées

leur « « symbolique » permet une lecture à n’importe quel âge . Les contes , sont un support de plus en plus utilisé en psychothérapie , permettant de développer les richesses de notre imaginaire . Dans son ouvrage : « psychanalyse des contes de fées » , Bruno Bettelheim Démontre que le conte merveilleux a une place importante dans l’apprentissage de la maturité chez l’enfant ; celui-ci , puisant dans l’histoire une source qui « « travaille « et exacerbe les profondeurs de son

permet de dégager les caractéristiques de ce récit, les particularités du héros et de son parcours, ainsi que la portée de cette histoire. Au premier abord, L’apprenti loup présente les caractéristiques principales du conte, en particulier du conte merveilleux, mises en lumière notamment par V. Propp et P. Larivaille. En effet, il commence par la formule liminaire traditionnelle « il était une fois » qui plonge le lecteur dans un monde imaginaire et merveilleux où les animaux peuvent parler,

de fées : Les contes de fées ont pour fonctions de séduire et instruire. Ce double rôle s'adresse directement aux enfants. À un certains âge l'enfant ce pose beaucoup de questions, mettre de l'ordre dans sa tête, c'est alors à ce moment là que le conte l'aide à comprendre mieux. Les contes sont aussi connus comme montrer à l'enfant la route qu'il doit suivre, le droit chemin : la période oedipienne ( relative à l'œdipe, au complexe d'Oedipe, qui se caractérise par un attachement sexualisé de l'enfant

indirecte Présentation Le rôle de l’implicite y est important. Le genre privilégié de l’argumentation indirecte est l’apologue (récit allégorique qui comporte une histoire et dont le lecteur peut tirer une leçon morale). L’apologue se lit donc à deux niveaux : il a un sens littéral et un sens symbolique. La thèse peut être explicite ou implicite. La fable Court récit en vers, elle comporte des personnages souvent simplifiés, symboliques, du merveilleux ou du surnaturel et une morale ou leçon.

attribués des traits plus ou moins nombreux et précis appartenant d’ordinaire à la personne, c’est-à-dire à un être humain de la réalité. I. L’évolution du personnage de roman A.L’héritage du théâtre et du conte Une riche tradition fait du personnage un être franchement imaginaire, destiné à illus­trer des catégories d'humanité, des vices ou des vertus, des théories, et ne recherche en rien son assimilation avec un individu réelle­ment vivant. Le théâtre occidental, né dans la Grèce an­tique

implicite, soit moins compréhensible par les lecteurs. Nous verrons d’une part la façon dont elle est utilisée dans l’apologue et d’autre part dans le conte philosophique, pour enfin comprendre son niveau d’efficacité par rapport aux notions abstraites et morales. L’apologue sert lui aussi de support à des stratégies argumentatives. Ce type de récit tire une instruction morale à l’aide éventuellement d’idées implicites et emporte ainsi l’adhésion du lecteur de manière indirecte. Le meilleur exemple